Béatrice sur un chantier
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Béatrice sur un chantier
Le lendemain, nous nous promenions dans les environs, nous venions de traverser un tout petit hameau et nous nous dirigions vers un barrage, une retenue d’eau et un joli paysage à voir, nous l’espérions…
En arrivant à un petit pont, nous vîmes des bâtiments abandonnés et des petits baraquements. Nous hésitâmes ; il y avait la petite route amenant au barrage et une autre en moins bon état qui s’élevait elle aussi vers un endroit sympathique, nous sembla-t-il. Dans un premier temps, nous décidâmes d’aller jusqu’au barrage, comme prévu, et au bout de quelques kilomètres enfin le barrage, et la route très vite se termina en cul-de-sac…
Après avoir admiré longuement le paysage, nous redescendîmes afin d’aller emprunter notre deuxième route. Arrivés de nouveau au petit pont, nous empruntâmes la route qui, par rapport à l’autre, était en piteux état. À un tournant, de nouveaux baraquements et un chantier avec un bulldozer et une camionnette, chantier qu’il nous fallait traverser pour continuer notre chemin.
En roulant très lentement, à cause de la route et du bulldozer, nous approchâmes du groupe. L’engin, encore plus impressionnant vu de près, stoppa, son conducteur, un brun trapu, en descendit et vint vers nous avec deux ouvriers nord-africains.
Nous nous demandions si l’endroit n’était pas interdit, nous n’avions pas fait attention à d’éventuels poteaux indicateurs. Je dis alors avec un sourire enjôleur d’avancer et qu’on allait leur demander gentiment si on pouvait passer pour aller se promener ; en même temps, je remontai ma robe déjà courte de manière à laisser entrevoir mon string et fis sauter deux boutons de mon haut que je portais sans soutien-gorge…
Je leur fis un signe, joyeusement, en agitant la main et ils vinrent naturellement de mon côté. Lorsqu’ils se penchèrent vers la portière, bouche bée, les yeux allant de la poitrine offerte à l’entrecuisse moulé par mon string… Et moi, coquine, qui tout en discutant m’agitais, fermais et ouvrais mes cuisses. En me tournant pour att****r la carte sur la banquette arrière, un de mes seins faillit jaillir hors du vêtement, le téton dardé resta, lui, bien visible ! Le trapu et poilu comme un singe, qui paraissait être le chef, après avoir avalé sa salive et s’être raclé la gorge nous conseilla d’avancer et de laisser la voiture juste à l’amorce, en amont du chemin, car celui-ci était vraiment impraticable, et qu’il se terminait dans quelques mètres.
Nous écoutâmes ses conseils et laissâmes la voiture à l’endroit indiqué. Lorsque je descendis du véhicule, la courte distance nous séparant des ouvriers me permit de voir, aux bosses caractéristiques des pantalons, l’effet que j’avais produit ! J’en rajoutai un peu en me déhanchant plus que nécessaire lors de la montée du chemin, et tout en m’enlaçant vicieusement pour bien faire monter la pression aux malheureux ouvriers, j’avouai à mon ami que de sentir leurs regards brûlants sur mes fesses me faisait mouiller comme une folle… Il me fit remarquer en riant que ce n’était pas bien d’exciter des hommes qui ne devaient pas avoir de femmes depuis pas mal de temps et que cela pouvait être également dangereux ! La perspective d’un viol me fit, au contraire, éclater de rire !
En très peu de temps, effectivement, nous arrivâmes au bout du chemin, nous admirâmes une dernière fois la vue splendide et, après quelques minutes de contemplation, nous entreprîmes de redescendre.
Après avoir fait faire demi-tour à la voiture, nous fûmes surpris de ne pas apercevoir les ouvriers, mais il est vrai que les heures légales de travail étaient passées, nous n’avions pas fait attention au temps.
Lorsque nous arrivâmes à l’autre bout du chantier, le bulldozer était engagé sur le chemin du retour et il nous était impossible de passer ! Laissant la voiture, nous descendîmes jusqu’aux baraquements aperçus à l’aller.
Les trois hommes étaient devant l’un d’eux et buvaient l’apéritif en discutant, nous nous approchâmes pour leur demander de déplacer le bulldozer, ils rigolèrent et nous proposèrent de boire l’apéritif avec eux. Mon ami commençait à être un peu inquiet par cette situation, mais pas moi, au contraire je souris… Ce qui encouragea les hommes ; le trapu et un des Arabes se levèrent, me prirent chacun par un bras et m’entraînèrent vers la table de fortune composée d’une planche sur deux tréteaux, et le trapu me fit asseoir à côté de lui sur la caisse qu’il occupait un instant plus tôt.
Un des Arabes remplit des verres avec des rasades de pastis impressionnantes ; le moins que l’on puisse dire c’est que nous n’avions pas affaire à des musulmans ! Très vite, je me mis à rire pour un oui pour un non. J’étais de l’autre côté de la table avec l’autre arabe, qui se baissait sans cesse pour voir le spectacle que je lui offrais : cuisses entrouvertes qui laissaient bien visible mon string qui moulait les lèvres de ma chatte !
Très vite, le trapu, Pablo, avait posé une de ses grosses pattes velues sur mon cou et avait tendance à descendre vers mes seins et l‘autre sur le haut de ma cuisse. Moktar, lui non plus, n’avait pas perdu de temps et s’étant accroupi à côté de moi, m’avait mis la sienne également sur ma cuisse, très près de mon string. Je fis ma chatouilleuse et en profitai pour me cabrer, faisant saillir mes seins, cambrant les fesses, ouvrant et refermant les jambes. Les mains des hommes en profitèrent pour prendre possession d’autres parties de mon corps, bas du dos, sur ma croupe tendue. Pablo avait réussi à défaire un peu plus le haut et maintenant, lorsque je bougeais ou me cabrais, un sein sortait, pointe dressée. Les hommes bandaient ferme, mon ami aussi…
C’est à ce moment que je choisis de me lever et de vouloir partir ! Je trouvai qu’il se faisait tard et j’avais chaud ! Les hommes eux étaient en transe ! Pablo m’attrapa et me fit asseoir sur ses genoux, mes fesses carrément sur sa bite, Mohamed me remplit à nouveau mon verre et vint près de moi pour me faire boire, car j’étais coincée entre Pablo assis et Moktar qui me tenait fermement. Mohamed, en me faisant boire, renversa vicieusement une partie du liquide entre mes seins. Je poussai un cri, et vite on se proposa de m’essuyer et plusieurs mains se portèrent volontaires…
Pablo, frisant la crise d’apoplexie, et qui avait défait sa chemise découvrant son torse plus poilu qu’un gorille, glissa cette fois ses deux mains sur mon ventre et, remontant, emprisonna mes deux seins en exposant à la vue mon très joli nombril, puis, il m’embrassa dans le cou et une de ses mains libérant un sein, très vite récupéré par Moktar, descendit et m’empoigna la chatte et commença à la caresser, sous les yeux de Mohamed accroupi à dix centimètres, qui me tenait fermement les genoux écartés… Je me laissai faire en me tortillant doucement et en émettant des petits soupirs de contentements qui enchantèrent les ouvriers…
Moktar et Mohamed à leur tour me caressèrent le sexe, mes seins étaient maintenant complètement à l’air et les trois hommes les malaxaient, les embrassaient, pinçaient et titillaient les pointes dressées… Je me plaignis à nouveau de la chaleur, il est vrai que le temps n’était pas le seul responsable, le pastis et le reste, davantage…
Pablo proposa alors une douche, que tout le monde approuva. Je me levai tout sourire, très excitée et très excitante. Nous nous dirigeâmes donc vers un baraquement à quelques pas. Moktar ouvrit la porte et nous nous retrouvâmes dans une pièce plongée dans une demi-obscurité et partagée en deux, une première partie avec banc et portemanteau servant de vestiaire et la deuxième partie avec plusieurs douches en commun sans aucune séparation…
Je commençai à enlever très lentement mes vêtements. Lorsqu’il ne me resta plus que mon string, j’allai accrocher ma robe à un portemanteau, mais je la fis tomber à terre par « maladresse ». Je me courbai donc doucement pour la ramasser, ce qui permit aux hommes d’admirer ma croupe ; je m’attendais à entendre hennir les mâles.
Puis j’ai demandé aux hommes s’ils avaient l’intention de prendre la douche tout habillés ! Je m’assis sur un banc pour les regarder faire tout en écartant les cuisses. Les ouvriers entreprirent de se déshabiller à la vitesse grand V, le regard rivé sur ma chatte encore moulée par le string, les deux lèvres étant nettement visibles sous le fin tissu.
Lorsque les hommes furent nus, je contemplai un instant les braquemarts fièrement dressés en me passant la langue sur les lèvres, puis je me levai, fis descendre très lentement mon string, tournai le dos et me dirigeai vers les douches…
Pablo se précipita pour ouvrir les vannes et l’eau commença à s’écouler des pommeaux… Je me mis en dessous de l’un d’eux, bientôt rejointe et entourée par les trois mâles en rut, mon ami restant pour l’instant à l’écart.
Les mains des trois ouvriers s’occupaient maintenant de moi. Les bras levés je me laissai faire. Pablo, Moktar et Mohamed me lavèrent les cuisses, le dos, les fesses, les seins, le nombril, la chatte… Je savourai, me pâmai, me tortillai, me cabrai et gémis quand ils me pétrirent les seins, quand un ou plusieurs doigts se faufilèrent entre mes fesses et dans ma chatte. Je sentis les grosses queues des mâles collés contre moi ; mes mains partirent elles aussi en exploration et se refermèrent sur des bites énormes. Celle de Pablo était particulièrement grosse, épaisse, avec un énorme gland, et ses lourdes couilles bien pleines, le tout dans une forêt de poils. Celui-ci me tenait plaquée contre son torse velu ; il avait d’ailleurs des poils partout, le ventre, le dos, les épaules, les bras, les jambes, je sentais sa bite contre mes fesses.
Mohamed, lui, m’embrassa les seins, descendit, tourna et retourna sa langue autour de mon nombril, puis descendit encore caressant le pubis et ma fine toison blonde et me mangea pratiquement la chatte. Sous le plaisir que déclencha sa bouche et sa langue chaude et humide, j’avançai mon bassin et rejetai ma tête en arrière sur l’épaule de Pablo, qui en profita pour m’embrasser sur la bouche. Sa langue s’insinua et trouva la mienne, je lui rendis son baiser mouillé en gémissant sous la langue de Mohamed, tout en branlant la queue foncée, longue et dure de Moktar, qui me dévorait un sein, l’autre toujours malaxé par Pablo.
Très, très lentement, je descendis et me mis à genoux ; les trois hommes pressèrent mon visage contre leurs queues. Je passai tout d’abord ma langue sur le gros gland de Pablo ; sa bite eut un soubresaut, et il se projeta en avant, m’obligeant à l’avaler toute ; il grogna de plaisir, me maintenant ainsi avec sa main posée sur ma tête. Je suçai doucement, salivant beaucoup, faisant un lent mouvement de va-et-vient, ma main soupesant et caressant ses grosses couilles velues. Il semblait apprécier ma bouche et ma langue, s’agitant sur le bout et autour du gland, descendant sur la hampe, sur les bourses… Je passai ensuite à Moktar, le regardant, pendant que ma bouche allait et venait sur sa longue queue bien raide. Il gémissait, parlant en arabe. Puis à Mohamed, sa bite était belle aussi, grosse, longue et dure. Je m’attardais sur sa queue, la léchant sur toute la longueur, jusqu’aux couilles revenant vers le gland, le titillant puis, d’un lent mouvement, l’absorbai et commençai à le sucer doucement. Je revins à Pablo, procédant de la même façon envers Moktar, puis Mohamed. Dans un même temps, Pablo s’était glissé sous moi et me bouffait la chatte à son tour, sa langue me rendait folle. Je me tordais dans tous les sens, gémissant de plaisir moi aussi, encouragée par des paroles arabes que je ne comprenais pas, mais qui devaient être des mots crus. J’étais déchaînée, et je suçais tour à tour les deux Arabes qui étaient aux anges…
Les gémissements et les cris de plaisir, ainsi que les injonctions en français et en arabe emplissaient le baraquement. Mon ami, de temps en temps, retournait sous l’eau pour se calmer, le sexe toujours dressé…
Sous moi, Pablo remonta en glissant entre mes cuisses et promena son énorme queue contre ma chatte ; je la guidai vers ma vulve et lentement je m’empalai. Les mains velues de Pablo agrippèrent mes fesses et il m’enfila à fond, tout en maintenant mon cul bien ouvert. Mohamed me lécha un moment l’anus, puis vint par-derrière présenter son gland à l’entrée de mon cul ; je grimaçai un petit peu lorsque le sphincter céda et que le manche s’enfonça. Mohamed resta immobile un moment, puis quand le conduit s’assouplit, il se mit à m’enculer doucement. Prise ainsi en sandwich, les seins contre la poitrine poilue de Pablo, je manifestai bruyamment mon plaisir, Moktar en profita pour me mettre sa grosse bite dans la bouche, et je le pompai goulûment…
J’étais en transe et les trois hommes étaient déchaînés. Le premier, Moktar jouit dans ma bouche, une éjaculation tellement abondante que je ne pus tout avaler et des filets de sperme coulèrent sur mon menton et dans mon cou, puis Mohamed explosa dans mon cul, m’inondant, et enfin Pablo s’arc-bouta et me souleva en jouissant tel un geyser… Mon ami s’approcha de moi, je tendis la main, caressant les couilles, puis le manche et je le fis jouir à longs traits sur ma poitrine…
Nous dûmes rentrer malgré l’insistance des trois ouvriers qui voulaient encore me baiser, mais nous leur fîmes la promesse de revenir les voir…