Deux soeurs attachantes (2ème partie)
Deux soeurs attachantes (2ème partie)
2° journée
Alors que j’arrive à la cuisine pour prendre mon petit déjeuner, je reste
bloqué sur le seuil, bouche bée.Il faut dire qu’être accueilli par une femme aux
formes généreuses en nuisette bleue longue quasi transparente sous laquelle un boxer
féminin assorti en dentelle a de quoi laisser sans voie. D’autant plus que lorsque la
dame se retourne, seins semblent vouloir déchirer le tissu. Nous installant, nous
débutons notre petit déjeuner. Alors que j’arrive difficilement à me nourrir et à
tenir une conversation, mes yeux littéralement scotchés sur ma compagne de repas, mais
mon sexe dressé. C’est alors que la sœur arrive, dans une tenue aussi « austère ».
Autant dire que je préférerais embrasser ces poitrines qui me font face avant de
m’abreuver aux fontaines à plaisir de ces dames plutôt que de finir mon repas et
rejoindre la base.
Après une journée riche en émotions aquatiques, où l’eau froide de ce début eu
bien soin de me remettre les idées en place, je rentre à mon hôtel avec une érection
déjà bien présente en souvenir des événements précédents. Ma visite à la salle de bain
pour prendre une bonne douche après ma journée dans l’eau de mer suffit à durcir mon
sexe lorsque je découvre, en plus des dessous féminins, deux godes sur le bord de la
baignoire. Autant dire que j’arrive à l’apéro en étant un peu fébrile, ne sachant plus
vraiment comment me comporter devant ces femmes pourtant si correctes, si bourgeoises.
J’en deviens de plus en plus maladroit dans mes prises de paroles et mon regard essaie
d’éviter au maximum le leur ainsi que leur anatomie, si joliment mise en valeur dans
une jupe de cuir et un chemisier en tulle pour l’une avec des bottes à talons aiguille
pour l’une, un tailleur assez décolté avec des escarpins aux talons aussi vertigineux
pour l’autre.
Alors que nous nous installons dans le salon pour l’apéritif, j’ai bien du mal
à trouver une position confortable avec cette érection qui ne me quitte pas. Après
avoir parlé chacun de notre journée, Patricia allume la télé sur laquelle je découvre
mes exploits de la veille en vidéo. Sous cette douche froide, je perd pied, ne sachant
que dire.
C’est alors qu’Isabelle prend la parole : « alors que ma sœur t’accueille, tu
te comporte comme un petit voyou qui fouille les placards. Déjà que tu n’est qu’un
sale petit voyeur… Maintenant, à toi de choisir, ou tu acceptes tout de nous sans
conditions, ou nous envoyons cette vidéo à ta femme et je ruine ta réputation sur le
site de covoiturage, ce qui risque de faire du bruit si je me rappelle bien. Il me
semble que certaines personnes de ton entourage risque d’être fort déçus si j’annonce
à tous que tu es un vicieux qui se montre caressant avec ses passagères. Une
réputation se fait si vite… Si tu acceptes nos conditions, je ne pense pas que tu
sois déçu des prochains jours au vu de tes lectures. Et nous ferons attention à ce que
personne ne puisse se douter de rien. Maintenant, si tu acceptes, tu te lève et te
déshabille tout de suite. Ne t’inquiètes pas, on t’a déjà vu nu et le chauffage est
remonté pour que nous ayant tous assez chaud »
Me sentant pris au piège, excité également par ces promesses qui pourraient
répondre à mes fantasmes, j’hésite peu, me lève et quitte mes vêtements. A la demande
de ces dames, je met mes mains dans le dos et me tourne vers Patricia. Cette dernière
s’amuse avec mes attributs pendant que sa sœur passe à mes poignets dans des menottes
avant de venir me caresser les fesses. Le contact de ces 4 mains sur mes fesses et mon
sexe me font frémir, mon sexe retrouve très rapidement toute sa rigidité et mon gland
commence à perler.
Me sentant extrêmement réceptif, les deux sœurs me demande de me mettre à
genoux devant elles pendant qu’elles savourent une bouteille de champagne ouverte pour
l’occasion. Patricia me tend alors son pied et me demande de lui lécher ses bottes et
m’attire au bout de quelques minutes vers son entrejambe qu’elle écarte. Ma tête se
glissant sous sa jupe, mes lèvres ne rencontrent aucun obstacle avant de toucher ses
lèvres humides. Sans qu’elle ait besoin de demander quelque chose, je me met lui
prodiguer un cunnilingus en vue de lui apporter le plus de plaisir possible. Alors que
ses premiers soupirs de plaisir commencent à se faire entendre, je sens un pied venir
me caresser le sexe, me torturant délicieusement les boules. Après plusieurs minutes,
Patricia jouit sous ma langue.
Alors que je m’attend à devoir donner le même plaisir à sa sœur, je suis
surpris d’entendre Isabelle annoncer que l’on passe à table et m’y conduis par la
bite. Une fois assis, les mains libérées, nous mangeons comme si de rien n’était. Seul
ma tenue rappelle ce qu’il s’est passé précédement. Après le repas, je participe à
desservir la table et fait la vaisselle, les deux femmes passent, me caressant les
fesses ou le sexe, saisissant parfois mes tétons pendant que je finis ma tâche.
Respectant mon besoin de repos, je suis conduit à ma chambre où les femmes
m’attachent sur mon lit, écartelé. Aussitôt, elles se déshabillent mutuellement en
s’embrassant langoureusement, se caressant au pied lit avant de d’y monter et d’y
prolonger leurs préliminaires. Pendant de longues minutes, j’ai ainsi droit à des
caresses accidentelles de ses deux femmes qui se donnent mutuellement du plaisir à
côté et sur moi. Et soudain, Isabelle vient me chevaucher le visage pendant que sa
sœur, après avoir mis une capote sur mon sexe, s’empale sur ce dernier.
Cherchant régulièrement mon souffle, j’aspire le clitoris d’Isabelle, écarte
ses lèvres pour y plonger ma langue le plus profondément possible pendant que mon nez
est écrasé par ses fesses. Pendant ce temps, elle caresse le clitoris de Patricia qui
s’agite sur mon sexe, jusqu’à jouir la première. Elle quitte alors mon membre et se
lève au moment sa sœur jouit sur ma bouche. Non rassasiée, elle avance le bassin pour
sentir ma langue sur son petit trou, que j’assouplis progressivement. Lorsqu’elle
s’écarte, c’est pour que sa sœur me fourre entre les lèvres un gode-ceinture qu’elle a
attaché à sa taille ; elle m’annonce que ce sera le seul lubrifiant utilisé. Craignant
pour mon petit trou, je m’applique alors qu’Isabelle se place en amazone sur ma bite.
Changeant de position, Patricia libère ma bouche et vient se placer derrière sa sœur à
qui elle offre ainsi une double pénétration.
Le contact du gode contre ma bite à travers la paroi du vagin d’Isabelle me
fait rapidement éjaculer dans mon préservatif. Alors que je souhaite libérer mon sexe
soudain très sensible, Isabelle l’enfonce plus profondément en elle et s’agite sur les
deux membres qui la remplisse. Après de longues minutes passées ainsi, elle finit par
s’écrouler de jouissance sur ma poitrine. Je sens les mains de sa sœur qui lui caresse
les seins encore quelques instant avant de déculer et de me présenter le gode à sucer
que j’avale sans réfléchir, dans un état second. Isabelle déshabille alors mon sexe et
vide le contenu du préservatif dans ma bouche en m’invitant à en avaler tout le
contenu. Soumis, j’obtempère avant que les deux femmes ne me quittent pour rejoindre
leur chambre.
Malgré la fatigue, je peine à trouver le sommeil et me réveille plusieurs fois
dans la nuit, toujours attaché, mon sexe me semblant toujours bien tendu