Haziran 5, 2023

mes debuts de salope

ile admin

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mes debuts de salope
Ce soir là, nous avions prévu d’aller, mon mari et moi, au cinéma.

Mais en rentrant de son travail vers dix huit heures trente, il était de mauvais poil et nous nous sommes chamaillé comme cela arrive de temps en temps à tous les couples.

Je lui faisais la gueule, mais comme à chaque fois, il tentait d’arranger les choses :

– Aller, on en parle plus, fait toi belle et on y va… voir ce film.

Mais cette fois-ci, je n’étais pas d’humeur à me réconcilier aussi vite et s’il croyait que cela allait s’arranger sur l’oreiller, alors là, il se m’était un doigt dans l’œil.

Vous connaissez les femmes… je m’étais décidé à abuser de la situation, j’allai l’allumé toute la soirée et puis arriver au moment venu je me refuserai à lui, cela le fera réfléchir et je vengerai mon ego.

Sitôt dit, sitôt fais, petite douche, parfum délicat, dessous plus que provoquant, escarpins à talon haut, petite robe légère et vaporeuse agrémentée d’un décolleté plus que provocateur.

Le miroir reflétait une image de moi très sexy et glamour, j’étai sure d’atteindre mon but, l’exciter comme un fou.

Ce petit jeu m’avait un peut émoustillée malgré moi, me préparer ainsi, imaginant son excitation avait fini par me chauffer légèrement le bas du ventre et me rendre un peut moite, mais j’était néanmoins décidée à aller jusqu’au bout de mon stratagème.

En sortant de la salle de bain, j’ai aperçu son regard avec un léger sourire, d’une part, il me confirmait que je lui faisais de l’effet mais aussi qu’il croyait avoir réussi a m’apprivoiser et que sa soirée allait se passer comme il l’espérait.

Nous sommes donc aller au cinéma, il y avait du monde, dans la file d’attente, les regards des autres hommes me confirmaient l’attirance que je provoquai dans ma jolie robe.

La salle était déjà bien remplie, et l’ouvreuse à eu du mal à nous trouver deux places cotes à cotes, c’était dans les derniers rangs et je me suis retrouvée à coté d’un homme d’environ la cinquantaine, grisonnant, plutôt bel homme et qui me regarda de la tête au pieds alors que je m’installai dans le profond fauteuil.

Je doit avouer que son regard m’a troublé, profond et insistant, parcourant lentement mon corps et malgré que cela n’ai duré que quelques secondes, cela a suffit à me faire rougir avec même une légère panique naissante.

A tel point que j’ai demandé a mon mari de me passer sa veste pour me couvrir les jambes que je trouvai trop exposées avec cette petite robe qui était d’un seul coup trop courte a mes yeux.

– Tu as froid ? me demanda mon mari.

– Pas encore, mais tu sais dans ces salles il fait toujours un peu frisquet.

Soudain, la salle tomba dans la pénombre, pour laisser place au film, ce qui ma rendue encore plus mal a l’aise, j’avais l’impression que cela venait de créer une sorte d’intimité entre cet homme et moi alors qu’il n’en était rien.

Je cherchais à me donner une certaine contenance, en repensant a ce début de soirée et au plan que je m’étais fixé pour en quelque sorte punir mon mari, mais mon esprit se concentrait bien plus sur le regard que les hommes avaient porté sur moi alors que nous faisions la queue au guichet, des regards appuyés sur les formes de mon corps et sur le coté sexy de ma tenue.

Ces pensées, avaient malgré moi encore augmenté ma sensibilité et mon excitation, se sentir belle, ainsi désirée ne peut laisser aucune femme insensible et je ne pensais déjà presque plus à mon désir de vengeance mais je n’étais vraiment plus attirée par le film sur l’écran.

Je repensais à mon voisin de fauteuil, son regard sur moi et à la promiscuité de nos corps, l’un à coté de l’autre, je ressentais un certain érotisme à cette situation tout en me sentant parfaitement en sécurité avec mon mari à coté de moi.

C’était finalement plaisant comme situation, de se laisser aller à ressentir le désir de tous ces inconnus tout en ne courant aucun risque, c’était même très excitant, mon corps semblait apprécier car une douce chaleur envahissait petit à petit mon ventre et mes mains étaient légèrement moites, ce sont des signes qui ne trompent pas.

C’est bien pour cela que je n’ai même pas réagi lorsque le bras de mon voisin est venu doucement s’appuyer contre le mien en se posant sur l’accoudoir qui nous séparait. Je me sentais bien et j’ai pris cela comme une suite logique à toute cette situation, également lorsque j’ai aussi senti son pied venir contre le mien.

Je comprenais très bien que mon manque de réaction, pouvait laisser penser à cet homme, des intentions qui n’était pas les miennes, mon corps lui, ne m’a pas permis de réagir, comme s’il voulait laisser l’excitation m’envahir. Mon cœur battait plus fort et plus vite, je ne pouvais plus bouger faisant semblant d’être concentré sur le film alors que tous mes sens étaient en ébullition.

Mon mari, lui ne s’apercevait de rien, plongé dans l’écran, trop sur de lui, se délectant peut être par avance des suites qu’il envisageait pour la soirée comme un petit égoïste, du moins c’est les pensées qui m’ont traversé l’esprit à ce moment là comme pour me déculpabilisé de l’excitation qui me submergeait.

J’ai compris que j’étais prête malgré moi à subir des choses, comme si je ne pouvais rien y faire, laissant le destin se faire et peut être même désirant que cela ce fasse.

Comme si les intentions de mon voisin étaient claires et précises alors que peut être il n’en était rien, d’ailleurs que pouvait-il faire ? là, à coté de mon mari et des autres gens, c’est surement cette douce situation qui me faisait divaguer tel un fantasme qui ne peut et ne doit pas se réaliser mais qui nous fait rêver.

Mais cette forme d’acceptation du contact, lui a libéré toute retenue, comme je le craignais et l’espérais à la fois, j’ai senti sa main se faufiler lentement sous la veste de mon mari qui me cachait les jambes, très lentement comme pour vérifier à chaque centimètre mon consentement et mon abandon.

Il remonta tout aussi doucement et du bout des doigts les pans de ma robe afin de pouvoir découvrir la chaleur de ma peau, comme si de rien était, sans aucun regard ni mot, une fois sur ma cuisse, il marqua une pause.

Ce contact ma complètement électrisée et fait tomber les ultimes pensées raisonnables que se doit d’avoir toute femme mariée et sérieuse.

Il a commencé à caresser tendrement ma cuisse, remontant à chaque fois un peut plus jusqu’a venir frôler le fin tissu de ma lingerie intime, ultime rempart pouvant protéger mon intimité.

Mes sentiments s’affolaient, envie de le laisser faire, laisser le plaisir me submerger mais aussi peur des conséquences.

Et si mon mari ou quelqu’un d’autre s’apercevait de ce qui se passait là sous cette veste, que pouvait bien avoir en tête cet homme qui abusait de moi, jusqu’où
allait-il aller, j’avais honte, mais malgré moi je ne pouvais réagir.

Puis j’ai senti ses doigts s’immiscer sous la fine dentelle de mon minuscule string ouvrant au passage les lèvres de mon sexe qui transpirait de plaisir, je doit l’avouer je dégoulinais bien malgré moi, quelle sensation extraordinaire de se faire ainsi doigter avec ce mélange de peur et de plaisir intense, mon mari juste à coté, ne se doutant de rien.

Mais là, je crois qu’à ce stade des choses, je ne contrôlais plus rien, je ne pensais qu’a m’offrir encore plus à ses caresses indécentes, je me surprenais à avancer mon bassin plus en avant dans le fauteuil et à écarter encore plus mes cuisses, offrant la totalité de ma vulve à ses doigts qui me fouillaient savamment.

Mon inconnu a semblé apprécier cette initiative car il a empoigner mon sexe a pleine main comme pour tâter une marchandise dont il devenait petit à petit propriétaire.

Je restais là, offerte, les yeux mi-clos, dans l’attente de la moindre de ses initiatives tout en espérant quelles soit encore plus osées.

Comme s’il avait compris mes plus profonds désirs, d’un geste expert il appuya son pouce fermement sur mon clitoris, puis il me pénétra profondément avec son index et son majeur avec une facilité déconcertante tellement je dégoulinais de mouille.

Ensuite, il vint me titiller l’anus avec les deux doigts encore disponibles, je ne sais pas comment expliquer la perversité de la scène, il faisais cela avec une lenteur de félin tout en appuyant fortement le moindre de ses mouvements pour me prodiguer le maximum de plaisir.

cette discrétion me rassurais, il ne comptait pas affronter mon mari mais juste profiter de mon corps sans aucune permission.

Ses deux derniers doigts venaient de me pénétrer la rondelle tout aussi facilement, deux doigts dans la chatte et deux dans le cul, le tout en présence de mon mari et devant tant d’autres personnes avec en plus cette pression du pouce sur mon clitoris il n’en fallait pas beaucoup plus pour faire monter en moi la jouissance.

Je me suis mordue les lèvres pour ne pas crier, j’ai crispé tout mon corps pour ne pas laisser la jouissance transparaître mais elle était là, elle explosait en moi, puissante et dévastatrice, je me suis laisser aller à jouir sous les doigts de cet inconnu, devant mon
mari avec juste sa veste sur moi, cachant à peine ma dépravation la plus intime.

Les doigts de mon inconnu sont rester un moment en moi comme pour libérer les moindres gouttes de plaisir qui pouvaient encore circuler en moi.

Mon sexe était une vrai fontaine, ma cyprine i maculait tout mon sexe et la main de mon inconnu prenait plaisir a me fouiller les deux orifices tendrement et avec une certaine tendresse.

Mon esprit fut comme réveillé par mon mari, qui me prenant la main me souffla à l’oreille

– alors, ça ta plu…

Cela ma complètement paniqué, avait il tout vu ? un bref instant je me suis cru perdu

– beau film, n’est ce pas ?

Ouf, il n’en était rien, j’était rouge de honte et d’une voie enroué de tant de plaisir je lui ai dit :

– effectivement, très beau film, je n’aurai pas souhaité le rater, non, pour rien au monde…

Entre temps, j’ai senti les doigts inquisiteurs se retirer lentement, sans aucun bruit, tout en douceur avec néanmoins une dernière pression sur mon clitoris qui a subi encore un soubresaut de plaisir, comme pour me laisser le meilleur des souvenirs, puis glissant entre mes lèvres gluantes il a caresser ma cuisse jusqu’au dernier petit bout de peau encore sur son chemin.

Je n’avais pas subi autant de jouissance et de tendresse mélangé depuis des lustres et j’ai eu beaucoup de mal a accepter de nouveau l’éclairage de la salle qui ma ramener brutalement a la réalité.

Prenant mon mari par la main, nous sommes sortie du cinéma, j’ai recherché vainement mon inconnu du regard, il avait disparu dans la foule qui se dispersait.

J’étais emplie de gratitude pour cet homme qui m’a fait jouir comme jamais, aucun homme de toute ma vie ne s’était préoccupé de mon seul plaisir, même pas mon mari qui me baisait que pour satisfaire sa propre jouissance.

Nous somme rentrés à la maison et comme je m’y attendais mon mari ma plaqué sur le coin de la table du salon, jambes écartés, il a relevé ma robe, écarté mon string et a glissé plusieurs doigts dans ma chatte.

– hum.. tu vois que tu aime çà, tu dégouline ma salope… çà te manque une bonne bite..

Si il s’avait… son sexe était déjà dur et il ma pénétré facilement tellement mon inconnu m’avait fait mouiller, j’ai fermé les yeux et imaginé que c’était lui qui me baisait ce qui a décuplé mon plaisir, ondulant les fesses et cambrant les reins pour qu’il me baise plus profond, cela devenait bestial, jamais je n’avais ressenti un tel désir de me faire prendre.

J’ai tellement exprimé mon plaisir que mon mari n’a pu se retenir et a joui très rapidement.

– et bien… tu était en manque… tu a pris un pied comme jamais, c’est le film qui ta exciter ?

– soit pas bête, je s’avais bien ce que tu avait derrière la tête et cela ma émoustillée toute la soirée.

Nous en sommes resté là, nous couchant fatigués pour reprendre la routine de la vie et ce n’est que le lendemain que j’ai découvert dans ma pochette une carte de visite sans nom, avec juste un numéro de téléphone et le mot suivant :

– appelle moi, je veut te revoir…

Après cette première et singulière aventure extraconjugale, je me dois de vous faire un minimum de présentations :

Je me prénomme Emilie, la quarantaine, cheveux mi-long châtain clair, jolie corps aux formes pulpeuses et poitrine généreuse qui attire bien les regards.

On me dit belle femme malgré ma peau blanche et mes taches de rousseur, je dis ” malgré ” car j’aurai aimé avoir un teint plus bronzé, mais bon, mon mari m’aime comme cela depuis plus de vingt ans.

Mon mari, grand brun costaud et encore très séduisant malgré l’approche de la cinquantaine, nous avons eu deux enfants, autonomes depuis peu, ce qui nous redonne plus de liberté et de temps libre, voilà pour vous situer les personnages.

Depuis cette soirée au cinéma, ma vie tentait de reprendre son quotidien, je suis commerçante dans le prêt à porter ce qui me permet d’être toujours bien habillée, féminine et glamour de la tête aux pieds, cela plait énormément à mon homme et aux autres si j’en crois les regards.

Je dois avouer que cette soirée ma profondément marqué, laissant en moi un subtil mélange de culpabilité, de remords, de peur et malgré tout de plaisir.

Jamais ne n’aurai pensé être capable d’un tel laissé aller, me laisser abuser ainsi et par un inconnu aussi beau et séduisant qu’il pu être.

Comment cet homme a t’il réussi à profiter de la situation à ce point, sans même me connaître, juste à coté de mon mari et presque sous le regard de tous.

Ces pensées m’on hantés jour et nuit pendant les semaines qui suivirent, créant malgré moi une sorte d’excitation permanente, revivant la scène dans ces moindres détails avec toujours le même plaisir indescriptible.

Je n’étais plus la même, même au travail je ne pensais plus qu’à ça, recherchant surement à revivre cette jouissance honteuse qui ma bouleversé et c’est avec ces pensées, qu’un jour, j’ai remis la main sur la carte de visite que cet inconnu avait glissé dans mon sac à main.

Prenant mon courage à deux mains et bravant tous les risques je me suis décidée à le rappeler, après tout je ne risquai pas grand chose, pensant qu’il ne me voulait que du bien et il me l’avait d’ailleurs prouvé au travers de cette délicieuse expérience.

C’est donc le cœur battant que j’ai composé son numéro, une, deux… et quatre sonneries… et soudain le répondeur :

– Vous êtes bien en contact avec Marc, je ne suis pas disponible mais laissez moi votre message après le bip…

– Bip…

Je suis resté là, sans pouvoir sortir un son de ma bouche et j’ai préféré raccrocher comme soulagée de son absence, c’était un signe me disais-je, une femme sérieuse n’aurait jamais fait cela.

Ma culpabilité reprenait soudain le dessus, libérant doucement mes esprits de cette vilaine excitation, lorsque la sonnerie de mon portable ma surprise, numéro inconnu mais j’ai néanmoins décroché :

– allo…

– Bonjour, vous avez cherché à me joindre ?

Mon dieu, c’était lui… il avait une voix grave et envoûtante, légèrement enrouée ce qui lui procurait un charme fou et c’est avec une vois toute tremblante que je lui ai répondu :

– Non… heu, oui…désolé… je ne voulais pas vous…déranger.

– Vous êtes cette jolie femme que j’ai rencontré au cinéma, n’est-ce pas ?

– ….oui… mais… excusez moi, ce n’est pas bien… je ne doit pas….

J’allais presque raccrocher lorsqu’il à repris.

– Attendez !

– Ne raccrochez pas, je comprends votre désarroi, mais quoi de plus normal que de pouvoir nous parler après cette délicieuse expérience.

Le son mélodieux de sa voix m’envoutait et ses belles paroles m’ont rassuré :

– C’est un réel plaisir pour moi que vous m’ayez rappelé, vous ne m’avez donc pas oublié…

– Non, comment aurai je pu… vous oublier, après ce que nous avons fait, j’en suis encore toute troublée…

– je le ressens bien ainsi, nous avons donc envie de nous revoir pour mieux nous connaître, quand dite vous ?

Il s’avait faire tomber les moindres résistances qui subsistaient, rien qu’au son de ses mots je ressentais le plaisir monter en moi, un vrai charmeur.

– Comment pourrais-je me passer de revoir une jolie femme, telle que vous…

– Cela restera notre secret… se laissé aller de temps en temps il n’y a aucun mal à cela.

– Le simple plaisir de se revoir et de se parler un peut, quant dite vous ?

Toutes ces belles paroles finirent par me convaincre et nous avons convenus d’un rendez vous pour le déjeuner du lendemain.

Je suis restée excitée comme une gamine pour tout le reste de la journée qui me parue très, très longue, imaginant qu’elle petite robe sexy j’allai bien porter, avec quels escarpins, qu’elle lingerie fine allai-je porter en son honneur ?

J’ai même eu du mal à m’endormir tellement cela me hantait et ce n’est pas la présence de mon homme dormant à mes cotés qui aurait pu me retenir, car malgré tout, même en l’aimant sincèrement je ne pouvais ou voulais plus faire marche arrière.

Le lendemain, c’est donc toute émoustillé que je me suis rendue au travail.

– waouh… s’écria ma vendeuse, que vous êtes belle et sexy aujourd’hui…

Tout en lui rendant sa bise :

– oui, une fois n’est pas coutume mais j’espère que cela ne fait pas vulgaire ?

– Pas du tout, je vous assure Emilie, mais c’est plus sexy que d’habitude et c’est cela qui ma surpris.

– J’ai un rendez vous important ce midi et je veux faire bonne impression

– si c’est un banquier, il ne pourra pas dire non, çà j’en suis sure…

– justement a ce sujet, si jamais j’étais en retard cette après midi, vous ouvrirez seule la boutique jusqu’à mon retour.

– Ok pour moi, ne vous en faite pas

Sur ce petit mensonge, nous avons vaqué chacune à notre travail jusqu’à l’heure du déjeuné, ma vendeuse partie j’ai sagement attendu l’arrivé de mon bel inconnu car je lui avais donné rendez vous devant la boutique.

Une jolie voiture aux vitres opaques s’est garé juste devant et il est apparu, beau comme un dieu et dégageant un charme fou.

J’ai fermé la boutique et suis allez le rejoindre comme hypnotisée, il m’ouvrit la portière en me tendant sa main.

– Bonjour, comment allez-vous ?

Un vrai gentleman, j’ai apprécié qu’il me vouvoie malgré qu’il ait déjà fouillé mon intimité.

– Bien merci, et vous ?

– De mieux en mieux, ébloui par tant de beauté…

Il ne m’en fallait pas beaucoup plus pour me faire rougir.

M’installant confortablement dans le siège en cuir j’ai dévoilé mes jambes gainées de bas de soie et ce presque jusqu’au niveau de la dentelle des jarretelles, ce qui n’échappa aucunement a son regard inquisiteur.

S’installant au volant il se tourna vers moi et me dit :

– vous êtes terriblement belle et séduisante, puis je caresser l’espoir que cela soit pour moi ?

– Peut être… lui répondis je, avec un regard espiègle

Il démarra la voiture et s’immisça dans la circulation.

– où m’emmenez-vous donc ?

– c’est une surprise… vous aimez bien les surprise, n’est ce pas ?

Sans un regard de plus, il posa sa main chaude sur le haut de ma cuisse encore dévoilée ce qui me procura un frisson de volupté, je n’osais dire mot pour ne pas casser ce tendre moment de plaisir interdit et pourtant si agréable.

Sur le trajet, il s’est contenté, si je puis dire, de me caresser tendrement l’intérieur de la cuisse, sans parler, comme concentré sur sa conduite, mais frôlant parfois la chair nue.

J’étais comme vexé de cette délicatesse, car devant mon évidente acceptation j’aurai espéré un peut plus d’audace de sa part.

C’est donc avec un semblant de naïveté que j’ai bougé pour pouvoir écarter mes jambes un peut plus, libérant ainsi un passage vers mon intimité avec le secret espoir que le dernier rempart de dentelle ne soit plus un obstacle pour sa progression.

Mais il n’en a eu cure, délaissant mon sexe sans même le frôler, cela a fait monter d’un cran mon excitation avec de douces chaleurs dans le bas du ventre.

Non, cela ne pouvait être de la timidité, ni un surplus de tendresse, c’était plutôt comme une certaine maîtrise des gestes et des émotions pour décupler la moindre sensation.

Soudain il s’est engagé dans une descente de parking souterrain, deux, trois niveaux plus bas, il se gara et coupa le moteur.

– Nous sommes arrivé… mais avant de sortir j’aimerai que vous fassiez quelque chose pour moi, acceptez vous ?

– oui, bien sur si cela est dans mes possibilités ?

– Alors, enlevez votre petite culotte et déposez la dans la broîte a gants !

Le ton était devenu ferme conservant néanmoins un minimum de douceur

– hum… ?

Je l’ai regardé dans les yeux ne pouvant cacher ma surprise, mais son regard était sans équivoque il fallait que je m’exécute ou bien… ou bien j’aurai pu tout stopper, mais sincèrement qu’auriez vous fait à ma place ?

N’étais je pas dans un rêve plein de sensations délicieuses ?

Aurais-je la chance de revivre cela dans ma vie de femme ?

En une seconde je me suis posé un millier de questions.

Mais alors que mon esprit cherchait encore des réponses, d’un geste langoureux j’ai levé une à une mes jambes pour pouvoir retirer délicatement le minuscule petit bout de dentelle transparent.

Il venait de remporter encore une victoire et suivait la scène avec gourmandise.

J’ai ensuite ouvert la broîte a gants pour y déposé la petite boule de tissu comme il me l’avait demandé.

– C’est bien, je vois que vous avez compris ce que j’attends de vous !

Mon cœur battait plus fort, ce contraste d’autorité avec le vouvoiement était plutôt surprenant, maintenant une certaine distance entre nous et cela n’était pas pour me déplaire, mélangeant en moi la crainte et le plaisir.

Il sorti du véhicule, fit le tour, m’ouvris la portière et me tendant la main il m’a conduit vers un ascenseur.

Appuyant sur le bouton du dernier étage que nous avons atteint rapidement, la porte s’est ouverte sur le hall d’un centre commercial au niveau des restaurants.

Il était noir de monde, déambulant dans un sens et dans l’autre, certains se promenant d’autres déjà attablé pour déjeuner.

Voyant cela, j’ai eu comme un geste de recul, ce n’était pas l’endroit que j’attendais, avec tout ce monde quelqu’un pourrai me reconnaître, je pourrais croiser une de mes cliente.

La panique m’a soudainement submergé, là les risques étaient plus grands et je ne l’avais pas prévu du tout.

Il a ressenti ma crainte car il ma serré fermement la main et ma conduit dans la foule.

Je devais être rouge écarlate, là aux yeux de tous avec un amant que je ne connaissais pas plus que çà.

Et surtout, sans même la moindre culotte sous ma jolie petite robe qui d’un coup devenait vraiment trop courte.

J’avançais tête baissé, cherchant à ne croiser aucun regard qui aurait pu me compromettre, tiraillée entre la honte et un plaisir malsain qui s’installait en moi.

Je me suis laissé guider, sans volonté, par celui qui allait de toute évidence me pervertir.

Nous arrivâmes devant une pizzéria où déjeunai déjà beaucoup de monde et un homme vint vers nous en souriant et levant les bras au ciel.

– Salut Marc, que me vaut ce plaisir… hum… mais qui est donc cette belle demoiselle que tu nous amène là ?

L’homme parlait fort avec un accent typique, sans gène aucune, attirant les regards vers nous ce qui accentuait ma gène, une chose était sure ils se connaissaient déjà.

– Bonjour Tony, c’est la femme dont je t’ai parlé l’autre soir, mais as-tu une petite table pour nous ?

Mon cœur ni fit qu’un tour, il avait parlé de moi à son ami qui était le patron de cette pizzeria,

Que lui avait il raconté ?

Surement la soirée du cinéma, d’un coup je me suis sentie trahie, encore plus coupable et honteuse.

Mais peut être que je me trompais, il avait été si courtois et tendre jusqu’à là, malgré son petit jeu autoritaire dans la voiture je ne pouvais croire qu’il en fût autrement.

Tony nous installât dans un petit coin au fond de la salle.

– Voilà, une table pour deux avec une confortable banquette pour ce monsieur et cette maraviliosa madame.

– Je vous apporte m’on petit apéritif maison.

Dit-il tout en me fixant profondément le décolleté.

J’avoue qu’il était plutôt… très provocateur, mais ne l’avais je pas choisi en l’honneur de mon amant ?

– Vraiment elle est Bellissima, Marc tu as bien de la chance.

C’est bien connu les italiens sont tous des dragueurs mais là dans ces circonstances particulières c’était troublant.

Me tenant toujours la main comme pour me rassurer :

– Je vous sens perturbée… n’ayez aucune crainte, je veille sur vous…

Il s’avait jouer avec mes émotions, passant de la surprise à la crainte pour pouvoir mieux m’attendrir quelques secondes après et croyez-moi, c’est très, très, déstabilisant.

– Néanmoins j’aimerais que vous fassiez encore quelque chose pour moi…

– Oui, si cela…

Pas le temps de finir ma phrase qu’il reprit d’un ton plus ferme :

– Relevez votre robe et posé vos magnifiques fesses nue directement sur la banquette.

Il me dit cela en me fixant dans les yeux et devant la lenteur de ma réaction, il rajouta :

– Vous m’avez bien compris, qu’attendez-vous pour vous exécuter ?.

Je me suis surprise à lui obéir comme un robot sans volonté, levant lentement ma robe pour reposer ma chair directement sur le cuir froid, ne cherchant même pas à vérifier autour de moi si quelqu’un pouvait me voir.

– C’est bien, vous apprenez vite… je suis satisfait.

– Vous êtes, comment dire… prometteuse.

Je ressentais cette douce chaleur qui reprenait le dessus, bien ancré au fond de mon ventre et qui accélérait sensiblement mon rythme cardiaque, j’étais toute humide et ma vulve suintait de plaisir.

Tony nous apporta nos verres, et toujours charmeur il dit :

– Pour toi et pour la bellisima…

M’habituant à la situation, je lui rendis son sourire tout en levant mon verre vers mon amant.

Tchin… à notre santé.

– Oui, à notre santé et aux plaisirs à venir.

Nous avons ensuite déjeuné pendant plus d’une demi-heure, simplement en discutant de tout et de rien.

Quelques verres de vin, sans plus.

Pas une ambiguïté ou allusion érotique pendant ce tendre moment, j’étais aux anges et comblée comme je ne l’avais été depuis fort longtemps.

Il restait toujours en moi cette douce chaleur humide pour me rappeler que j’étais là pour le plaisir et que cet homme assis là face à moi était en fait un agréable prédateur.

Un charmeur qui a réussi à s’immiscer dans ma vie de couple, profitant de je ne sais quel moment de faiblesse pour abuser de moi.

Mais il était beau et élégant, avec en plus ce comportement très coquin qui ne pouvait que plaire à la femme que j’étais devenue après ces quelques années de mariage.

Nous n’y étions pour rien, ni moi, ni mon mari, la vie est ainsi faite, le temps fini par éroder les montagnes et croyiez moi l’amour physique n’en est pas une, seul l’amour du cœur peut résister.

Mais bref, tout ça pour vous dire qu’il avait ravivé ma féminité et cela faisait très longtemps que l’humidité de mon entre jambes n’avait été aussi abondante.

J’étais là, cul nu sur cette banquette avec un tas de gens autour de moi et cet inconnu légèrement pervers qui ne pensait qu’à abuser de moi.

Je prenais conscience que malgré le soupçon de lucidité qui me restait encore, à compter de ce moment, cet homme pourrait faire de moi tout ce qu’il voudra.

– Vous êtes très pensive, quelque chose vous tracasse ?

– Non, pas du tout, je savoure ce moment.

– Mais toute bonne chose à une fin et je dois vous ramener à la réalité.

Nous nous sommes levé, il a laissé deux billets sur la table et fait signe pour dire au revoir à son ami qui était occupé avec des clients.

Puis il m’a fait sortir du restaurant avec sa main posé sur mes fesses, sous le regard gourmand de tous les hommes présents comme pour leur montrer sa propriété.

Mais bizarrement, cela ne me gênais plus, bien au contraire, j’éprouvais même une certaine fierté à être ainsi exhibée.

Nous avons ainsi traversé le centre commercial, plutôt lentement comme pour faire durer le plaisir, repris l’ascenseur où j’ai enfin pu me lover contre lui un court instant.

Là, il m’a levé tendrement le visage avec son autre main, pour enfin m’embrasser d’un baisé passionné tout en me malaxant les fesses.

J’étais enflammée, je me frottais impudiquement à lui comme pour l’exciter d’avantage tout en répondant à son baisé, je me sentais comme transporté dans un autre univers.

A cet instant, il aurait pu me prendre au beau milieu de cet ascenseur et ce même si il y avait eu du monde avec nous, je me serais laissé volontiers faire.

Il n’en fut rien, la porte s’ouvris sur le parking, reprenant mes esprits nous nous dirigeâmes vers la voiture qui était quelques mètres plus loin.

Il m’ouvrît la porte, et en me glissant une petite tape sur la fesse il me dit :

– Allez, il est temps du aller.

Mais non, il n’était pas temps… maintenant c’est moi qui en voulais plus et il fallait que j’obtienne ma dose.

A peine était il installé au volant que je me suis jeté sur sa bouche pour reprendre notre baisé, ma main sur la braguette j’ai ressentie l’épaisseur de son désir, l’engin me sembla de bonne taille et plutôt appétissant pour une affamée.

En moins de deux, ma main s’était faufilé sous le caleçon et saisi de sa chaude virilité, il semblait bien apprécier le moment ne cherchant point à s’échapper.

Là, c’était moi la maîtresse de la manœuvre, sans me soucier d’un éventuel voyeur, j’ai fait émergé à l’air libre l’objet de ma convoitise, quelle était belle cette verge fièrement dressé entre mes doigts.

je ne me reconnaissais pas, jamais je ne m’était conduite ainsi avec mon mari, mais là je n’en pouvait plus, il me fallait faire l’amour, là tout de suite.

Relâchant notre baisé, j’ai baisé ma tête jusqu’a prendre ce sexe entre mes lèvres, salivant sur le gland dur et gorgé de sang pour mieux l’avaler plus profondément.

Il libéra un soupir qui m’indiquait que je suivait le bon chemin, sa main caressant mes cheveux tendrement m’encourageant à prolonger ce doux traitement.

J’étais fière de moi, décidée a donné le meilleur de moi même, je le suçai surement comme jamais je n’avais sucer un autre homme, ni même mon époux.

La torture devait être bonne car je ressentais déjà des palpitations le long de sa tige et des bourses que je caressais consciencieusement.

Soudain, il me pris par les cheveux et stoppa la scène en me tirant vers l’arrière, approcha son visage du mien et d’un ton très autoritaire me dit :

– c’est moi qui même la dance, vous vous obéissez… est ce bien compris…

Surprise et désemparé, j’ai baissé mes yeux par réflexe et écouté la suite.

– J’aime les femmes dociles, elles sont rares alors ne gâchez pas les compétences que j’ai décelé en vous…

Sur ces mots il me réinstalla sur mon siège, toujours en me serrant la chevelure.

– Ecartez les jambes et remonter votre robe, il est temps que je calme vos ardeurs.

Pendant que j’ouvrai largement mes cuisses, il ouvrit une trappe entre nos sièges et en sortis un godemiché de bonne taille, réplique d’une belle verge.

Il mis l’engin en route et le posa aussi vite sur mon sexe, ce contact soudain et les puissantes vibrations mon carrément électrisé, j’ai ressentie comme une décharge qui m’a traversé le corps faisant bander mes tétons durcis.

Je prenais conscience que j’étais sa chose et que c’était lui seul qui pouvait jouer de mon corps, l’intensité du plaisir décuplé par l’humiliation jouissive qu’il me faisait subir rendait acceptable tous ses désirs.

Si c’est cela la soumission, alors moi je signe tout de suite pour l’éternité, mon avenir ne sera que volupté, plaisir et jouissance entre les mains de mon maître.

Les yeux à demi clos, bouche ouverte pour pouvoir respirer, j’ai laissé les vibrations du gode se propager en moi, fendre ma chatte pour remonter le long de la moelle épinière et pénétrer mon âme.

La déflagration de mon orgasme fut extraordinaire, j’ai crié comme jamais avec des spasmes et contractions dans tout le corps, décollant carrément du siège à chaque soubresaut.

C’est avec une sensation de fatigue que lentement je reprenais mes esprits blottie au fond du siège en cuir.

Le gode était déjà rangé comme si de rien n’était, et c’est les jambes toujours impudiquement ouvertes que je l’ai entendu dire :

– Et bien, vous en aviez vraiment besoin…

– Hum… que ma tu…heu pardon, que m’avez vous fait ?

– C’est maintenant que vous devez me sucer la bite.

Là maintenant ?

Son regard m’a suffit, j’ai repris son sexe en bouche, toujours aussi dur et chaud pour l’avaler goulument et en reprenant ses couilles dans le creux de ma main comme pour les soupeser.

Les derniers frissons de ma jouissance me parcouraient encore le corps et me rendaient redevable envers lui et c’est a ce titre que je me suis appliqué à le sucer.

Je me sentais pute au sens noble du terme et cela ne me déplaisait vraiment pas, je me sentais si bien avec cette grosse bite dans la bouche, satisfaite de lui apporter du plaisir à mon tour.

L’humidité et la douceur de ma bouche, l’application de ma langue et les vas et vient de ma main sur sa tige ont rapidement obtenus résultat.

Un soupir, des respirations saccadés et de plus en plus rapides avec des contractions de la verge de plus en plus rapprochés, il était à point.

Une dernière succion et il posa ses mains sur ma tête, cela voulait tout dire…

Les premiers jets chauds vinrent me remplir la gorge, je les avalais difficilement au regard de la quantité mais je me devais de lui faire bonne impression, tel une experte je me suis appliqué pour satisfaire le mâle.

Le sexe ramollissait déjà, j’ai lapé la dernière goute fière de moi tout en le regardant dans les yeux.

C’était vraiment chaud et je dois vous avouer que je n’avais jamais avalé de sperme de ma vie, mon mari n’avait jamais eu cette chance.

J’aurai trouvé cela répugnant et sale, mais là… c’était venu naturellement et je n’en éprouvais aucun regret, finalement ce sont les circonstances qui font que.

Lui, il ne m’avait rien demandé et pourtant il a obtenu, allez comprendre ?

Nous nous sommes rajusté et il m’a ramené jusqu’à mon quotidien.

Arrivés devant ma boutique, nous sortîmes de la voiture et alors que j’allais lui parler, il a posé délicatement deux doigts sur ma bouche.

– Chut… il ne faut juste savourer le moment…

Il me déposa un tendre baisé sur le front.

– A bientôt….

Je suis resté là un long moment regardant la voiture s’éloigner, maintenant il me fallait affronter mon quotidien et peut être les remords.

Pour moi, ce fut une journée extraordinaire en émotions, malgré mes quarante printemps il était évident que j’étais une novice en matière de sexe et cela décuplait le plaisir et les sensations ressenties, telle une jeune fille qui découvre les plaisirs de la chair.

Depuis j’observais les femmes autour de moi, recherchant à deviner leur niveau d’expérience en la matière comme si cela était une évidence, quel marqueur particulier pourrait m’orienter en ce sens ?

Seules mes sensations personnelles pouvaient pour l’instant m’éclairer, j’étais plus joyeuse et désinvolte que d’habitude, je me sentais plus légère, surement plus belle et désirable, il me semblait pouvoir palper le plaisir en moi et autour de moi.

Pourtant je n’étais pas amoureuse de cet homme, c’était une certitude, l’amour je le ressentais toujours pour mon mari malgré l’érosion des années, ce n’était plus cette attirance physique de nos vingt ans mais une solide confiance ceinturé de tendresse et entretenue par des compromis réciproques.

Lui, je le voyais comme une belle rencontre, fruit du hasard ou du destin, à mes yeux il était beau et très séduisant, charmeur, tendre et autoritaire à la fois.

Il avait soudainement bouleversé ma vie de femme, m’apportant peut être ce que toute femme est en droit d’éprouver, car il n’y a rien de meilleur que de se laisser allé dans le plaisir en toute confiance.

J’avais encore besoin de cette sécurité que m’apportait mon époux et j’éprouvais une terrible attirance pour l’aventure que me proposait mon amant.

Il avait éveillé en moi des sensations inouïes, découvrant le plaisir au travers de la honte et la culpabilité, aimer être manipulé parfois sous une certaine contrainte, jouir de la crainte et de la peur en atteignant des niveaux de jouissance jamais ressentis.

J’avais palpé l’interdit et découvert qu’il n’y a surement rien de meilleur, exacerbé ma curiosité et développé une forme de dépendance au plaisir.

Dés le matin je ne pensais plus qu’a çà, je choisissais mes vêtements et ma lingerie en conséquence, me rendant toujours plus sexy et désirable.

Je souhaitais le surprendre pour qu’il me rendre au quintuple ce plaisir tant convoité, me sentir femme fatale aux yeux du monde pour le rendre fier de m’avoir apprivoisé.

Le genre de pensées que rejetterait toute femme naturellement constitué, moi-même si on m’en avait parlé ainsi quelques semaines avant, j’aurai crié au scandale, comment une femme peut elle aimer la soumission ?

Éprouver du plaisir dans la contrainte et la honte, ce ne sont pas des sentiments normaux et acceptables pour toute femme qui se respecte.

De toute façon c’est contre nature et réprimé par la morale, et oui la revoilà celle fameuse morale, l’éducation religieuse, le bien et le mal, ce qui faut ou ne pas faire, etc.

Vous ne me croirez peut être pas, mais tout cela avait volé en éclats en à peine deux expériences, si mon corps avait éprouvé autant de plaisir c’est que cela ne pouvait être que bon pour lui.

J’étais bien décidé à vivre pleinement toutes les sensations que mon amant voudrait bien me faire découvrir et qui m’étaient surement encore inconnues, car il me semblait pourvu de bonnes capacités en la matière au regard de tout ce qu’il ma fait vivre et accepté en si peut de temps.

Le week-end est arrivé, plus difficile pour moi de me libérer, mon homme étant à la maison je me devais aussi de lui consacrer de mon temps, nous devions faire les courses, le ménage, la lessive et le repassage, etc.

Bref, tout ce qui tue l’érotisme dans le couple, le seul avantage est que je n’ai pas vue passer ces deux jours.

Bien sur que nous avons fait l’amour, mais vite fait bien fait comme souvent, n’éprouvant plus, ni moi, ni lui, cette passion qui enflamme les corps et les âmes, il a joui sans feindre et moi j’ai simulé pour ne pas le vexer.

Ne vous trompez pas, je suis heureuse avec l’homme que j’aime, il n’est pas avare de tendresse et de douceur, sa présence me rassure, me comble et c’est surement avec lui que je finirai mes vieux jours si rien ne vient perturber notre destin.

Mais coté sexe, il n’ose pas me pervertir, cela ne se fait pas, il aurait trop peur de me choquer moi sa chère et tendre épouse, la mère de nos petits, l’épouse se doit de rester pure et sage.

Pourtant je suis sure qu’il possède lui aussi des capacités insoupçonnés, mais peut être les réserves t’il pour une autre femme, un peut moins respectable, qui sait ?

Si tel est le cas, il est discret ou bien c’est moi qui suis trop naïve car je n’ai jamais rien imaginé, peut être ne suis-je pas jalouse tout simplement.

Mais n’aurait il pas peur de me perdre, il est simple de comprendre que le plaisir est une drogue, y gouter c’est ouvrir la porte à la dépendance, à la volonté du toujours plus, jusqu’à quel point un homme peut il pervertir sa compagne sans basculer dans la vulgarité ?

Multitude de question auxquelles je ne peu pas encore répondre

Mon amant lui n’a pas ses contraintes, il ne m’aime pas d’amour, il aime abuser de moi sans vergogne et n’a aucun remord à me pervertir, il n’en reste pas moins attentif à mon propre plaisir et tout en douceur il m’apprivoise.

Enfin le Mardi, à oui en fait, étant commerçante pour moi le weekend c’est du dimanche au lundi, petite précision sans réelle importance juste pour le fun du récit.

Donc ce mardi matin, c’est encore plus sexy que jamais que je suis allée à la boutique.

– Emilie… encore un rendez vous important ?

C’est avec un sourire et un regard qui en dit long que ma vendeuse m’a interpellé.

– Çà suffit, vous êtes trop curieuse… il n’est pas bon de tout savoir.

D’un clin d’œil complice elle reprit :

– c’est sur, mais là depuis quelques jours vous êtes plus radieuse que jamais et ça ce sont des signes qui ne trompe pas, mais vous avez raison cela ne me regarde pas.

Je me suis dit, si elle à compris mon petit manège, alors mon mari pourrait lui aussi s’en être aperçu, cela devenait évident et pourtant je n’ai pas ressenti de peur à ce moment là, plutôt une certaine et délicieuse excitation.

Maintenant je sais que le risque et la peur peuvent décupler le plaisir, mais à l’époque je ne l’imaginais pas du tout, certainement comme la plupart des femmes.

Vis-à-vis de ma collègue, j’avais décidé d’assumer sans me dévoiler plus, elle avait plus ou moins deviné mon adultère mais n’aurait pas plus de détails et cela serait bien comme ça.

Après tout je ne m’occupais pas de sa vie privé, avec qui elle vivait ou couchait t’elle ?

Je la s’avait célibataire, trentenaire très séduisante, petite brune aux formes parfaites qui déclenchaient beaucoup de ventes auprès de la gente masculine et même de beaucoup de femmes qu’elle charmait naturellement.

Moi-même, je ne restais pas insensible à son petit charme enjôleur, si j’avais été un mec elle ne m’aurait pas échappée tellement elle était belle et attirante, mais j’étais bien une femme et j’éprouvais parfois une petite pincé de jalousie pour sa jeunesse et sa beauté.

La vie est ainsi faite, parfois cruelle et injuste mais toujours sincère et pleine de vérité.

Mais revenons donc a nos moutons, car c’est moi qui ai actuellement le feu au corps, moi qui ne dort plus normalement depuis des jours, moi qui ne pense plus qu’à mon bel amant tout en m’apercevant que je ne s’avais rien de lui.

Cette dernière question m’avait interloqué, effectivement je ne s’avais vraiment rien de lui, a part son physique et sa voiture il était pour moi, un parfait inconnu.

Le plaisir était il si puissant pour que je m’importe peu de celui qui me le procure ?

Sous ce raisonnement, je pouvais aussi imaginer que peu importe celui qui te le procure, seul compte le plaisir, serait ce aussi simple ?

Soudain mon portable retenti…

– Bonjour, comment allez-vous ce matin ?

C’était lui, ma bulle se refermait sur moi et mes sens étaient tous aux abois.

– Merveilleusement bien, je n’attendais que votre appel pour parfaire cette journée.

– C’est trop d’honneur, je ne mérite pas telle impatience, mais puisqu’il en est ainsi, je vous propose de passer vous libérer de votre quotidien, est ce possible ?

– bien sur que oui,

– Comme d’habitude vers douze heures trente devant la boutique ?

– oui…

J’étais soudain redevenue cette jeune fille toute excitée de retrouver son premier amant, laissant le désir s’installer de nouveau, libérant toutes les hormones qui me mèneront au plaisir.

Devant la glace, j’ai réajusté mon décolleté dévoilant le plus possible mes seins pour attirer son regard, j’ai tiré sur ma robe pour qu’elle suive au mieux mes courbes voluptueuses sur lesquelles il aime poser ses mains et j’ai même vérifié si mon minuscule string était toujours aussi affriolent depuis ce matin.

Comme prévu, ma vendeuse est partie déjeuner et j’ai attendu, cinq…dix minutes, toujours personne, puis un scooter s’est arrêté, posant la béquille le coursier est venu toquer avec une petite broîte a la main.

– Bonjour, madame Emilie ?

– Oui, c’est moi

– Tenez signé là, ce paquet est pour vous

Sitôt le coursier parti, j’ai regardé le paquet, rien d’inscrit dessus, il était plutôt léger et son contenu ne faisait pas de bruit malgré mes secousses, je l’ai donc ouvert avec toute la curiosité requise.

Une enveloppe, un loup noir en dentelle et une petite pilule blanche.

J’ai ouvert l’enveloppe sur laquelle était noté mon nom et j’en ai sortie une lettre manuscrite sur laquelle j’ai pu lire :

Désolé pour ce retard, mais cela fait partie du jeu, nous s’avons tous deux que vous aimez jouer, vous trouverez donc dans cette enveloppe :
– un loup qui servira à dissimuler votre beau visage des regards indiscrets

– une pilule que je vous demande d’avaler rapidement avec un peu d’eau.

Ne réfléchissez pas cela nous ferait perdre un temps précieux

Pourquoi j’ai obéi à ces mots ?

Sans même chercher à comprendre, j’ai avalé la pilule et posé le loup sur mon visage, devant la glace on aurait dit un masque vénitien qui malgré la transparence de la dentelle ne permettait plus que l’on me reconnaisse.

J’ai trouvé cela amusant et plutôt rassurant, quoi qu’il eu en tête, il prenait soins de me protéger en quelque sorte.

J’ai donc attendue, là debout face à la porte, essayant de trouver une logique à la situation mais déjà mon esprit s’embrouillait, mon raisonnement ralentissait et mes pensés se perdaient dans le vide.

C’était surement cette pilule, que m’avait il fait prendre ? J’espérais que ce n’était pas dangereux, je me sentais bien mais l’esprit sans volonté, comme dans du coton.

J’ai vu la porte s’ouvrir et dans le contre jour une ombre est venue vers moi

– Je vois que vous avez été obéissante, croyiez moi c’est pour votre bien.

– Vous êtes très belle et cette petite robe vous va à ravir, mais j’ai prévu tout autre chose pour vous.

– déshabillez-vous !

Comme un automate j’ai fait tomber ma robe au sol restant debout et presque nue devant lui

– Malgré cette belle lingerie, aujourd’hui je vous préfère complètement nue sous la robe que voici.

Il ma tendu une robe longue magnifique, fendue très haut sur les jambes, un dos nu descendant presque jusqu’aux fesses et un décolleté plongeant à faire pâlir une star sur la croisette.

Il m’a aidé à retirer mon string et mon soutien-gorge pour que je puisse glisser mon corps dans cette robe somptueuse, l’ajustant parfaitement à mes courbes on aurait cru du sur mesure.

Bien entendu en m’aidant ses mains ont pleinement profité de mon corps, palpant ça et là mon intimité, caressant la chair nue de mes fesses et le long des cuisses, soupesant délicatement mes seins tout en titillant mes tétons déjà durcis par la monté du plaisir.

La robe était parfaitement ajustée elle laissait entrevoir mes formes les plus intimes, seins généreux et fiers que l’on devinait totalement libres sous le mince tissu, des anches voluptueuse sur lesquelles tout homme aurait aimé poser ses mains et des fesses rebondies très appétissantes captant encore tous les regards.

Malgré ma docilité médicamenteuse, je me sentais plus femme que jamais, tels un joli bijou que l’on va exposer aux regards pleins de convoitise.

Il me prit la main et me fis tourner sur moi-même, sifflant d’admiration :

– C’est encore plus beau que ce que j’espérais, vous êtes magnifique et vraiment bandante.

– Nous sommes près, c’est le moment d’y aller.

Il m’accompagna à la voiture, mais m’ouvris la porte arrière, malgré ma surprise mon esprit ne pouvais plus réfléchir et s’est en m’installant que j’ai ressentie une autre présence masculine qui dit aussitôt :

– Très, très, belle vous avez raison mon ami elle est magnifique.

Sans cette pilule je suis sure que je me serais révolté, peut être me serais je enfuie, mais là aucune réaction consciente incapable du moindre raisonnement.

La portière, coté conducteur claqua à son tour, il se tourna vers l’arrière pour dire à son passager :

– Ne vous avais-je point promis une belle prise, monsieur

– Effectivement, c’est une délicate attention, je les aime belles et dociles, celle-ci me semble, comment dite vous déjà ? Prometteuse, c’est bien le terme, prometteuse.

Tout en me glissant sans vergogne sa main entre les cuisses, il remonta rapidement vers mon sexe et avec deux doigts il écarta mes lèvres intimes pour vérifier la qualité de ma liqueur.

– Elle est vraiment à point, c’est son état normal ?

– oui, monsieur, je pense que si nous savons y faire elle ne nous refusera rien.

– Toutes les mêmes ces femmes mariées, trop sérieuses et prudes et pourtant si facile à convaincre, le temps et l’abstinence travaillent pour nous mon chers marc, difficile à croire que les maris n’en ai pas conscience, ils en tireraient bien profits, mais c’est mieux ainsi.

– J’espère que vous ne vous l’êtes pas enfilé ?

– non, monsieur, j’en ai abusé mais elle est encore vierge de toute pénétration sauf celles de son époux, il va de soit.

J’étais là, parfaitement consciente de leur discourt pervers mais toujours incapable de réagir sauf à éprouver ce plaisir malsain de la soumise consentante.

Je sentais ma chatte dégouliner sur les doigts qui me fouillaient, ma mouille gluante facilitait la pénétration jusqu’à la paume de la main.

Il forçait le passage avec un va et vient rapide de l’avant bras qui libérait des bruits caractéristiques de clapotis.

– Il me semble qu’elle aime ça, elle a déjà du être bien ramonée car elle s’ouvre vite et plutôt facilement.

Le salaud s’avais appuyé là ou sa fait mal, en une phrase il m’avait transformé en petite pute soumise, il était bien plus pervers que mon amant et s’avait y faire.

Il me tapota la fesse pour que j’avance mon bassin jusqu’au bord du siège, là il passa une de mes jambes par-dessus la sienne ce qui ouvrit plus que largement mes cuisses et toute mon intimité totalement exhibée aux yeux de marc qui ne perdait aucune miette de la scène.

Malgré mon impossibilité à réagir moralement, mon corps lui était parfaitement réactif au plaisir, les yeux mi-clos et bouche entre ouverte je respirais de plus en plus vite, savourant chaque coup de poing dans mon con gluant, espérant même qu’il puisse enfin transgresser le passage encore trop étroit pour une totale pénétration.

– Cette salope m’excite vraiment, elle est trop réactive je sens quelle va me bouffer le bras.

Mon bassin suivait le rythme des vas et vient, appuyant à chaque fois pour qu’il enfonce un peut plus sa main, ma chatte était en feu, dégoulinante de cyprine qui petit à petit lui facilitait le passage.

Jamais de ma vie je n’avais ressentie une telle dilatation, sauf lors des accouchements, mais là il y avait ce plaisir outrageant, mélange subtil de douleur et d’envie irrésistible, je n’étais plus une femme mais une simple femelle, ouverte au maximum pour être remplie par n’importe quoi et n’importe qui.

– A la pute… mon poing est entré, regardez comme elle se trémousse.

Il avait réussi à entrer sa main toute entière en moi, je regardais son poignet planté là dans ma chatte béante, c’était vraiment incroyable tout mon corps tremblait de plaisir.

Avec tout çà, je n’avais même pas remarqué que la voiture roulait, marc suivait la scène avec délectation dans le rétroviseur intérieur, ce qui décuplait mon plaisir.

Mon amant offrant mon corps à qui le veut, rien que çà m’aurai déjà fait jouir il y a quelques jours, mais là avec le bras d’un parfait inconnu me fouillant la moule je ne vous dis pas, l’extase.

– Elle est plus longue à jouir que celle de la semaine passée, vous ne trouvez pas ?

– oui, monsieur, celle là est exceptionnelle vous allez l’adopter pour un moment.

Ils parlaient de moi comme d’une banale marchandise, c’était humiliant et tellement jouissif.

– Marc, passez moi le gode.

Il sorti le godemiché qui m’avait fait si bien jouir l’autre jour dans la voiture et le passa vers l’arrière.

Son ami retira sa main de ma chatte me laissant un énorme vide dans tous les sens du terme, j’avais soudain comme un manque, une vrai frustration, je voulais qu’il m’enfourne encore et encore.

L’homme me souleva, écarta les pans de ma jolie robe et me posa sur ses cuises déjà nues, j’ai ressentie immédiatement son sexe durci contre mes reins.

Il m’écarta les cuisses de part et d’autre de ses jambes dévoilant de nouveau ma chatte encore toute gluante.

D’une main il écarta mes lèvres dégoulinantes et de l’autre il me pénétra d’un seul coup avec le gode, directement jusqu’à la garde et sans ménagement, d’un coup, environ trente centimètres mon pourfendu le ventre, il était gros mais rien à comparer au bras entier que j’avais avalé sans rechigner juste avant.

Quelques va et vient pour loger confortablement la bête en moi, les bruits de sucions et clapotis liquoreux prouvant la bonne lubrification de l’affaire, j’étais aux anges les cuisses largement ouvertes tout en me délectant de plaisir.

Ses deux salauds s’avaient vraiment y faire, en très peut de temps ils m’avaient transformé en véritable petite salope, jamais je n’aurai pu l’imaginer, ni même dans mes fantasmes les plus fous.

Ensuite il dénoua ma robe autour de ma nuque, libérant immédiatement mes seins aux bouts tendus, de sa main libre il les palpa à tout de rôle, les soupesant et malaxant tel un fruit mur.

– Même ses nichons sont des merveilles, marc vous me gâter vraiment

– Merci, monsieur, c’est un honneur pour moi

Le gode toujours planter en moi, il me souleva des deux mains, puis avec ses doigts il étala mon jus le long de ma raie, la quantité était là, ça dégoulinait de partout puis il glissa un doigt sur ma rosette insoumise.

Je devinais qu’il allait me fouiller le cul et peut être même encore plus, c’était nouveau pour moi jamais je n’avais accepté cette pénétration, mon mari n’avait jamais eu cette chance, mais là dépourvue de toute volonté je sentais ma corole s’entrouvrir lentement sous la pression du doigt inquisiteur.

Il entra très facilement, appelant les autres doigts qui se présentaient déjà à la porte, deux puis trois doigts dans le cul avec le gode planté dans la chatte, vous auriez vu la scène.

Mais il n’allait pas se contenter de me mettre ses doigts, qu’il retirait déjà après avoir ouvert le passage, présentant son membre dur et abondamment lubrifier de mon jus, il appuyas sur mes épaules pour entrouvrir ma grotte, j’ai sentie son membre m’empaler centimètre part centimètre, sans aucune douleur il m’a enculé jusqu’aux couilles.

Marquant un temps d’arrêt pour savourer cette victoire, il ma saisie les seins et dit à l’oreille :

– t’aime ça salope… t’aime que je t’encule… je le sens que t’aime ça…

Ho… que oui, que j’aimais ça, j’aimais tout ce qu’il me faisait, j’aimais qu’il m’avilisse, qu’’il me salisse le corps et l’âme, j’aimais être sa pute, leur pute à ses deux pervers.

Je couinais comme une catin, prenant chaque coup de bite pour une récompense, ondulant mon corps au rythme de la saillie et appuyant a chaque fois de tout mon poids pour mieux sentir cette grosse bite me labourer le trou du cul.

Devant tant de plaisir, j’ai saisie à deux mains le good toujours en moi et pendant qu’il m’enculait de plus belle je me suis labouré la chatte comme une damnée.

Malgré son expérience, mon enculeur n’a pu se retenir très longtemps, il a explosé en moi en criant, déversant tout son jus dans mes entrailles, je ressentais chaque saccade et contraction de la bite qui me défonçait, sentant le sperme chaud couler à flots.

Moi même je n’ai pu retenir ma jouissance dévastatrice, l’onde de plaisir ma submergée des pieds à la tête, étourdissant tous mes sens, je suais par tous mes pores et sentais le sexe à plein nez.

Nous sommes restés ainsi planté l’un dans l’autre un bon moment, parcourus de quelques soubresauts de plaisir, marc me fixait dans le rétro et semblait admiratif de mes exploits.

A quoi s’attendait-il ? Il a mis la dose pour me pervertir et là il semblait surpris de la facilité avec laquelle un inconnu pouvait m’enculer.

Le sexe ramolli est sorti doucement de son fourreau et toujours en me palpant les seins il a attiré mon visage vers l’arrière pour me rouler une pelle magistrale, sa langue humide ma carrément fouillé la bouche me faisant boire sa salive me laissant à peine le temps de respirer.

– Je n’en ai pas fini avec toi ma salope, maintenant tu m’appartiens.

Et bien oui, j’ai pris mon pied comme jamais, je pense même qu’il n’aurait pas eu besoin de cette pilule de docilité pour le même résultat.

Ils m’on ramené à la boutique où j’ai fait un brun de toilette avant, reprenant doucement mes esprits je les ai vu partir toujours sans s’avoir qui était marc ni même ce nouvel inconnu qui m’avait si bien baisé.

Mais ce n’était que partie remise, ils finiraient bien par se découvrir et m’en dire un peut plus sur eux et leurs intentions à mon égard, dans l’instant présent je savourais le plaisir et pensais déjà a demain.

Je me suis ressassé la scène toute l’après midi ce qui ma maintenue dans un état d’excitation incroyable, plutôt que le quasi viol presque consenti avec ce nouvel inconnu, c’est la présence de mon amant qui m’a le plus troublée, le fait qu’il m’ait offerte comme une vulgaire prostituée tout en observant avec plaisir les moindres détails de l’accouplement.

Comment expliquer le plaisir ressenti, vous êtes à ce moment là et plus que jamais le centre d’intérêt de vos partenaires, ils vous convoitent et ne pensent qu’a vous, ils valorisent votre corps plus que vous le faite vous-même et plus rien n’existe autour de vous.

Votre esprit se concentre sur la moindre sensation qui est amplifié puissance dix, une simple caresse devient extraordinaire de volupté, les regards magnétiques vous déshabillent et sondent votre esprit, vous ne pouvez ou n’avez pas envie de réagir, de stopper les ondes de plaisirs qui submergent progressivement la moindre parcelle de votre chair délicieusement offerte.

Petit à petit vous anticipez les moindres gestes, devinant l’étape suivante qu’ils vont vous faire subir, mais le pire c’est que vous prenez un malsain plaisir à tous les outrages libérant tous vos tabous sexuels, plus rien n’est interdit à qui veut l’obtenir et c’est en toute consciente que vous vous offrez corps et âme.

Tous ces délices m’étaient faits sans aucune v******e, malgré ma soumission et la contrainte consentie, je me sentais en totale sécurité avec le sentiment de pouvoir tout stopper, à tout moment.

Mon amant avait abattu toutes mes défenses, sexuellement il avait obtenu de moi ce que mon mari n’avait peut être même jamais espéré, en très peu de temps il avait transformé une femme mariée, fidèle et réservé en véritable nymphomane.

Ce soir là, mon mari m’a trouvé plutôt fatiguée et pensive, le pauvre s’il s’avait, j’avais les trous encore dilatés et douloureux.

Mais tout cela m’avais trop excitée et j’avais encore envie de me faire prendre par une bonne bite, justement là j’en avais une bonne devant moi.

Cela m’a fait bizarre de faire du rentre dedans à mon homme, chaude comme la braise, j’ai fait tombé ma robe devant lui tout en le dévisageant d’un regard gourmand.

– Whaouu… tu es nue…comment ça ce fait ?

Avec tout çà, j’avais complètement oublié que j’étais toute nue sous ma robe, j’aurais pu remettre mes sous vêtements avant de rentrer mais je n’y avais même plus pensé.

– Je vois que cela te fait de l’effet…

– J’n’ai pas l’habitude, c’est plutôt excitant.

– Je s’avais que tu ne résisterais pas.

Il s’ait approché de moi et ma prise dans ses bras, en m’embrassant goulûment il m’a caressé les anches puis les reins pour descendre doucement jusque aux fesses.

Nous étions encore dans l’entrée face au grand miroir, il m’a retourné d’un seul coup me plaçant face à mon reflet, restant collé contre mes fesses il continuait à me caresser les seins et le ventre.

L’image dans le miroir était très sexy, moi nue, jambes écartés, seins dressés et fiers d’être soupesés par des mains puissantes, avec ce mâle qui m’embrassait dans le coup et la nuque tout en me mordillant le lobe des oreilles, tout ce qui fallait pour attiser encore plus mon désir.

Quant à lui il se frottait de plus en plus contre mes fesses, je ressentais son membre durcir rapidement, ne pouvant m’empêcher de vouloir comparer sa taille à celle de mes amants, j’ai glissé ma main entre nos corps, ouvert sa braguette et glisser ma main dans le caleçon pour saisir son membre bandé.

Elle était bien dure et chaude et mon état d’excitation ne me permettait pas d’établir un score entre les mâles, je n’avais plus qu’une envie, qu’il me baise à son tour.

Tels des voyeurs, nous regardions les détails de la scène dans le miroir.

Il continua ses caresses en descendant jusqu’à mon sexe, ses doigts ont glissé entre mes lèvres entre-ouvertes, effleurant au passage mon clitoris déjà très réactif.

Poursuivant sa fouille, il a plongé ses doigts dans ma grotte dégoulinante déclenchant les clapotis si excitants.

– Non de dieu, mais tu es toute trempée.

– Hum… oui … j’ai très envie.

– çà, ce n’est pas que de l’envie… tu n’as jamais mouillée autant.

S’il s’avait le pourquoi de mon état, que je suis devenue une vraie petite salope obéissante avec le feu au cul, il ne réagirait surement pas aussi bien.

J’ondulais mes anches comme une petite allumeuse, frottant mes fesses contre son membre pour le rendre encore plus dur et encore plus gros.

– Mais qu’est ce qui t’arrive… tu n’as jamais été dans un tel état, tu as bu ?

– Tu n’aime pas ?

– Si, bien sur que si, mais… c’est surprenant, tu n’a jamais …

– Allez vient, regarde dans quel état nous sommes, nous devrions passer aux choses sérieuses, tu ne crois pas ?

Il était comme fou, mon comportement de fille facile portait ses fruits, il m’embrassait partout et me pelotai sans vergogne, ses doigts me fouillaient de plus belle me portant presque au bord de la jouissance.

Je me suis penché alors vers l’avant en écartant encore plus mes jambes, puis prenant appuis sur le miroir j’ai glissé une main entre mes cuisses pour saisir le membre convoité.

J’ai frotté sa bite entre mes muqueuses pour la lubrifier abondement et j’ai ensuite positionné le gland gorgé de sang juste à l’entrée du vagin espérant qu’il donne enfin le coup de reins libérateur.

Croyiez moi, il ne sait pas fait attendre, il a posé ses mains sur mes anches et tout en tirant mes fesse vers lui il m’a violemment défoncé la chatte, me pénétrant très profond.

J’étais enfin remplie et satisfaite, ondulant le cul au rythme des vas et vient de cette bonne queue qui maintenant me pilonnait en cadence.

C’était mon mari mais cela aurait pu être n’importe qui d’autre, à ce moment là seul le plaisir comptait, j’étais concentré sur la colonne de chair qui me pénétrait, à chaque coup de reins il butait bien au fond puis il ressortait de nouveau à l’air libre pour pouvoir replonger encore plus fort dans mes entrailles.

Tout en me pilonnant il me caressait délicieusement le clitoris pendant que moi je lui soupesais et malaxais les couilles de ma main libre, la tension était au summum, je sentais la jouissance monter en moi alimenté par chaque nouveau coup de queue.

Lui il commençait aussi à craquer car il transpirait comme un bœuf, redoublant d’efforts pour me claquer les fesses toujours plus fort et plus vite tout en criant :

– Han…Han…Han…

Soudain, j’ai lâché ma jouissance trop retenue, contractant mon vagin pour mieux ressentir la bite qui me labourait encore et tremblant de tout mon corps, j’ai joui.

– Haaaa…oui…oui…ouiiiiiii…

J’ai senti ses bourses durcir sous mes doigts, il s’est enfoncé en moi, à bloqué mes anches avec ses puissantes mains, son corps sait raidi, et…

– Houuuaaaa….

Des flots de jus bien chaud se sont déversés en moi, par saccades il s’est complètement vidé.

Nous étions tout deux anéantis, affaiblis par la jouissance tenant à peine sur nos jambes et recherchant appuis sur les meubles.

Il m’a pris contre lui en me serrant tendrement et posa un baisé sur mes lèvres.

– Tu à été merveilleuse, je ne m’attendais pas à tel comportement de ta part.

– Quel comportement ?

– Tu sais bien ce que je veux dire, jamais tu n’à été aussi… comment dire ?

– sexy ?

– non… plutôt… participative, entreprenante, oui c’est ça entreprenante.

– et alors, tu as aimé ?

– aimé, non… j’ai adoré, j’en rêvais sans oser te le dire, sans oser te le demander, j’avais surement trop peur de te choquer ou que tu me prennes pour un pervers.

– Mais là tu m’a complètement scotché, je ne m’y attendais vraiment pas, cela faisait longtemps que nous n’avions pas fait l’amour avec autant de passion.

– c’est vrai et je le regrette, la vie est ainsi faite, l’important sait d’aller de l’avant, quant pense tu ?
– Tu as raison mais j’aimerai savoir pourquoi ce changement soudain ?

Je te le dirais, mais pas ce soir, là tu vois nous sommes fatigués, avons besoin d’une douche et d’une bonne nuit de sommeil.

Nous nous sommes embrassés et endormis l’un contre l’autre.

Au petit matin, j’étais déjà dans la cuisine à préparer le petit déjeuné. Je repensais aux aventures de la veille, encore toute retournée d’avoir autant joui dans les bras de mes amants et pour finir avec mon mari.

Ne serai-je pas allé trop loin et trop vite, mon comportement avait vraiment surpris mon mari et maintenant je craignais qu’il ne découvre mon secret.

De toutes les façons, dans l’état de manque que j’étais je ne pouvais pas me contrôler, ces découvertes sexuelles me rendaient folle.

Maintenant il me fallait gérer les choses avec tact, je n’imaginais pas comment il pourrait réagir en apprenant tout cela et je n’avais vraiment pas envie de le perdre.

J’étais néanmoins convaincue que j’arriverais à lui présenter comme si elles pouvaient être à son avantage, ou plutôt à notre avantage, on pourrait accepter la situation et en retirer beaucoup de plaisir réciproque.
C’est avec cette conviction que j’ai fait couler le café.

– Bonjour mon amour.
– Déjà levé, vient boire un bon café.
Il ma prise par les anches et assise sur ses genoux
– Vient là ma belle, hier tu as vraiment été merveilleuse, c’est quant qu’on recommence ?
– Ho là, doucement… tu deviens trop gourmand, tu vois c’est peut être pour ça que j’évite la chose, car vous les hommes plus on vous en donne et plus vous en voulez.
– Les hommes ? C’est de moi qu’il s’agit, les autres je m’en fous et d’ailleurs que sait tu des hommes, tu n’a connu que moi.
– Oui… mais nous les femmes on sait bien comment vous êtes, tous les mêmes, vous ne pensez qu’a ça.
– Tu écoute trop tes copines, nous ne sommes pas tous pareils, moi je suis exceptionnel, non ?
– Mais si, mais si, allez boit ton café nous allons être en retard.

J’étais assez contente de moi, il ne se doutait de rien et tout ce passait pour le mieux.

Encore une belle journée en perspective, en ouvrant la boutique je me surprise à penser de nouveau à mon amant, allait il m’appeler et qu’allait il me préparer de nouveau, je sentais déjà d’agréables sensations dans mon ventre.
Ce matin, je portais une robe courte et très vaporeuse avec un décolleté avantageux, un peut trop transparente à mon gout, mais elle était destinée à mon amant, et pour lui rien de trop beau.

J’avais laissé mes seins totalement libres avec les tétons qui pointaient au travers du tissu, mes cheveux étaient attachés ce qui m’était encore plus ma poitrine en valeur.

Coté intimité, je ne portais plus de culotte, mais pour changer j’avais complètement épilé mon petit minou, j’espérais ainsi qu’il prenne encore plus de plaisir à le caresser et à le lécher.

La matinée est passé, je suis partie déjeuner et toujours pas d’appel, j’étais comme énervé, anxieuse et presque inquiète, pourquoi n’appelait il pas, il lui était peut être arrivé quelque chose ?
Il ne voulait plus de moi et s’amusait avec une autre, je l’avais peut être déçu ?

Vous le croyiez, je ressentais de la jalousie, moi la femme adultère qui prend plaisir à tromper son mari j’étais jalouse d’une éventuelle concurrence.

J’ai pris mon téléphone pour l’appeler à plusieurs reprises, mais toujours personne rien que le répondeur, malgré plusieurs messages il ne rappelait pas, du coup mon angoisse s’est encore accentué.
J’ai repris mon travail mais le cœur n’y était pas, j’ai laissé ma vendeuse quasi toute seule toute l’après midi, enfermé dans mon bureau à ruminer mon état de manque.

Le soir venu il n’avait toujours pas donné signe de vie, j’en ai même ressentis de la tristesse, résignée je suis rentré à la maison convaincue qu’il ne m’appellerait plus, que cette belle aventure était terminé.

Comme à chaque fois, mon époux a été charmant avec moi, me voyant triste il cherchait à me remonter le moral par tous les moyens, bien entendu il ne se doutait pas une seconde du pourquoi et du comment.
J’ai prétexté une mauvaise journée, des soucis avec la collection d’un fournisseur qui ne satisfaisait pas mes clientes, etc.
Je me surprenais à devenir une bonne menteuse, une vraie comédienne à tel point qu’il m’a laissé m’endormir tendrement blottie entre ses bras, j’adore ces petits moments de tendresse où il nous semble que rien ne peut nous arriver.

J’ai eu beaucoup de mal à m’endormir repensant sans cesse à cette mauvaise journée, cherchant tous les cas possible qui pourraient justifier son absence et ce terrible silence.
Cela dura quelques jours qui m’ont paru une éternité et toujours aucune nouvelle de lui, je désespérais de le revoir un jour, petit à petit je tentais de me faire une raison.

Et puis un nouveau matin s’est présenté, petit déjeuné en amoureux et petite tape sur mes fesses avec le bisou pour me souhaiter une bonne journée, mon homme est parti travailler le premier.
Pour ma part, étant un peut en avance sur l’horaire, je terminais quelques brins de ménage dans la cuisine lorsque la sonnette retentis.

– Ding-Dong.
– Oui j’arrive, juste un instant.

J’ai ouvert la porte pensant à une livraison quelconque et là quelle ne fut pas ma surprise, il était là devant moi, toujours aussi beau et élégant au point que mes jambes se sont mises à trembloter.
C’est la gorge sèche que j’ai réussi à balbutier :

– Bon… bonjour, vous… Vous êtes là ?
– Cela ne vous fait pas plaisir de me voir ?
– Si, bien sur mais… je croyais que…
– Et bien vous me laissé entrer ?
– Oui, vous voulez un petit café ?
– Non merci,

Il me colla une main aux fesses pour me pousser vers l’intérieur, sans se soucier si quelqu’un aurait pu nous voir, il à refermé la porte et m’a plaqué contre le mur pour m’embrasser à pleine bouche.
Ses mains ne restaient pas inactives car elles parcouraient déjà mon corps en passant sous ma robe qu’il avait relevé très facilement.

– C’est bien, je vois que vous êtes toujours bien disposée.

Je n’osais rien dire, trop heureuse de sa présence, je savourais le moment.
Sa main passa doucement sur mon ventre en me procurant d’agréables frisons, puis il la glissa plus bas, et encore plus bas pour venir me caresser la vulve.
Il sembla surpris et me chuchota à l’oreille.

– Hum… je constate que vous cherchez à me satisfaire.
– Vous aimez ?
– Qui n’aimerait pas ? Personne ne peut rester insensible à vos charmes.

J’étais de nouveau en transe, telle ces gamines qui rencontrent leur premier amour, mon cœur battait fort et ma respiration s’accélérait.
J’avais déjà oublié qu’il m’a fait languir plusieurs jours, attendant que monsieur veuille bien me recontacter.
Le salaud il savait y faire avec les femmes car là c’était moi qui n’en pouvait plus, lui était comme d’habitude, sur de lui et fier de sa conquête, de sa possession.

Il avait maintenant la garantie que je lui appartenais corps et âme, qu’il pouvait partir et revenir à sa guise et que je serais toujours là pour son bon plaisir.

Mon bassin ondulait sous sa caresse cherchant à approfondir le contact de sa main sur mon sexe, me tortillant pour espérer un doigt dans ma fente qui bavait déjà.
Comme si il avait entendu mon supplice, d’un doigt agile il écarta mes lèvres et s’est glissé pour me malaxer le bouton, déclenchant ces fameuses petites décharges électriques dont raffoles les femmes.

– Vous aimez çà ?
– Alors… j’ai rien entendu ?
– Oui… j’aime… ne vous arrêtez pas s’il vous plait.

Mais le salaud a fait tout le contraire, il a stoppé sa caresse pour venir me saisir la gorge tout en me pelotant les fesses de son autre main, il a approché son visage du mien et ma dit :

– Vous savez, tout dépend de vous et de votre obéissance.
– Vous obtenez déjà tout de moi, que voulez vous de plus ?

Comme pour m’amadouer, il reposa sa main sur ma chatte et fit vibrer ses doigts sur mon clito me provoquant des vagues de plaisir, j’ai aussitôt avancé mon bassin en écartant au maximum mes cuisses pour me frotter contre sa main.

– Doucement, vous êtes trop pressé, l’impatience est un vilain défaut, si vous continuez comme cela il va falloir que je vous punisse.

Sa main posé sur ma fesse se décolla et me claqua assez durement, puis elle recommença encore plus fort propagent le bruit dans toute la maison.

– Aïe… çà fait mal, je vous en prie.

Pour toute réponse il me pénétra brutalement avec deux doigts tout en appuyant fortement son pouce sur le clitoris, me serra fort la fesse pour m’asséner de nouveau une tape très intense qu’il a répétée plusieurs fois pendant qu’il me limait avec ses doigts et me branlait le clito.

– Et comme ça, vous supportez mieux la douleur ?

Il me prodiguait un savant mélange de douleur et de plaisir ce qui rendait la fessée plus que supportable voir même agréable, c’est avec les yeux clos que je laissais la jouissance monter en moi.

– Hum… oui… n’arrêtez pas… oui… plus fort.
– C’est bon, hein…vous aimez ça les fessées ?
– Oui…ho oui… c’est bon

C’est vrai que c’était bon, mais c’était plus cérébral que physique, le plaisir concentré sur le vagin était constant et montait très rapidement alors que la douleur sur les fesses était ponctuelle et venait refroidir la monté du plaisir, tout cela permettait d’atteindre un plaisir très intense et de le faire duré indéfiniment.

Sans la douleur j’aurais déjà jouis depuis longtemps, mais là non, j’avais l’impression de jouir en permanence entre chaque fessée la jouissance repartait de plus belle à m’en faire trembler les jambes et juste avant l’explosion fatale il m’assénait une nouvelle claque brutale qui faisait retomber l’extase.

J’étais en transe et lui continuait à m’envouter de mots crus

– Vous êtes trempé comme une petite pute, on dirait que vous aimez çà…
– Voulez vous que j’arrête ?
– Non…hum…oui continuez, je vous e prie
– Alors vous allez être très, très obéissante, n’est-ce pas ?
– hum…Oui… Tout ce que vous voudrez…Oui…
– Alors, vous allez nous invitez chez vous, mon maître et moi, pour nous présenter votre mari.

Avais-je bien compris, l’esprit embrumé par les vagues de plaisir je n’avais pas saisie du premier coût.

– Hein… oui… vous voulez quoi ?
– Vous avez bien compris ce que nous voulons.

En même temps qu’il me parlait ses mains redoublaient dans le labeur pour ne pas ralentir la cadence, il me maintenait au bord de la jouissance.
Mais une mince lueur de lucidité ma permit de dire timidement :

– Hum… non… ce n’est pas bien…hum…je ne peu pas…
– Ne discutez pas, vous devez obéir un point c’est tout.
– Non…pas mon mari…je vous en prie…

Il redoubla d’efforts pour me faire jouir, il enfilait maintenant plusieurs doigts dans ma chatte avec de rapides vas et vient qui me faisaient couiner comme une pucelle.

– Alors je n’ai rien entendu ?
– hum, oui…oui… tout ce que vous voudrez…
– Quoi ?
– Oui… mon mari…à la maison…oui…

Soudain la main fesseuse s’arrêta net et il la glissa entre mes fesses jusqu’à poser ses doigts sur ma rosette toute chaude, il glissa encore plus bas pour récupérer ma mouille baveuse et lubrifier mon petit trou qui se dilatait déjà.

Tout en me branlant il appuya fermement un doigt sur la corolle impudique, sans avoir à trop forcer la cavité s’est ouverte pour engouffrer un, puis deux doigts qui ont aussitôt cadencé un vas et vient sur ceux qui me pénétraient devant.

Sensation exquise que cette pénétration simultanée des deux orifices, les doigts coulissaient facilement dans chaque trou tellement j’étais lubrifiée.

– Alors qu’allez vous faire ?
– Hum… vous invitez… à … la maison… pour mon…mon mari
– Voilà, c’est bien on y arrive

Il accéléra la cadence de part et d’autre avec maintenant quatre doigts me pourfendant la moule et trois autres qui m’enculaient brutalement.

Je ne tenais presque plus sur mes jambes tellement c’était bon, écartant le plus possible mes cuisses pour lui faciliter la tache, je me sentais écartelée et fouillée de toute parts, j’ai même cherché son visage pour lui sucer la langue.

Il a répondu à mon baissé baveux, langue contre langue nous mélangions nos salives comme deux affamés.

– ouiii… c’est bon… vous me rendez… folle
– C’est bon de se faire mettre comme une pute ?
– oui…oui, c’est trop bon… faite moi jouir…je vous en prie.
– ok pour cette fois, mais si vous me contrariez encore…
– non, je… ferais… plus…hum…
– Alors tenez ma belle régalez vous.

Soudain il coordonna les mouvements des deux mains pour que les pénétrations soient simultanés dans les deux cavités, les doigts pénétraient et ressortaient en même temps de chaque coté m’élargissant les chairs plus que nature.
Les sensations ce sont décuplé, douleur intense et vive que masquait immédiatement les vagues de plaisir dévastatrices, il forçait la cadence et tapait de plus en plus fort contre mes organes libérant des flots de cyprine à chaque nouvelle pénétration.

J’entendais les bruits avilissants de ma mouille qui trahissaient mon état, ce qui rendait la scène encore plus perverse et participait largement à la monter de ma jouissance.

Tout en m’embrassant et me pilonnant les parties intimes, il me dit :

– Ne vous retenez pas, laissez vous partir

Mes jambes flageolaient sous les vagues de plaisir, j’ai perdue toute notion du temps et de la réalité pour me concentrer sur le plaisir, rien que le plaisir.
Et elle est venue cette putain de jouissance, puissante et dévastatrice, j’ai joui du cul et de la chatte en même temps, inondée par des flots de vibrations qui m’ont presque fait perdre connaissance, j’ai jouis intensément pendant plusieurs minutes c’était physiquement épuisant.

– Et bien, heureusement que j’étais là pour vous retenir, vous ne faite pas semblant.

Cherchant à reprendre mon souffle et mes esprits, je me suis blottie contre lui en le tenant par le coup.

– Que me faite vous subir, vous êtes cruel avec moi
– Si c’est cela la cruauté il me semble que vous aimez çà, non ?
– Suis-je normale de jouir autant et si facilement ?
– Je vous rassure toute à fait normale, mais vous n’avez encore rien vu car je compte bien utiliser tout votre potentiel et croyiez moi, il y en a.

Reprenant doucement mes esprits, je pris consciente de notre discussion pendant qu’il me faisait jouir, mon cœur si mit à battre plus fort et d’une voix presque timide je lui ai demandé :

– Tout a l’heure vous étiez sérieux… pour la maison et mon mari ?
– Vous doutez de moi, bien sur que c’est sérieux, pervers mais sérieux.
– Mais je ne peu pas, comprenez moi…c’est difficile, comment…
– Le comment ne nous importe pas, c’est à vous de faire ce qu’il faut, nous gèrerons le reste.

Je vous donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je vous souhaite une bonne journée.
J’étais encore nue lorsque il a ouvert la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue aurait pu me voir, un claquement de portière et j’ai entendu sa voiture s’éloigner.

Je suis restez là, seule pensant à comment j’allais bien pouvoir me sortir de cette délicate situation, les inviter chez nous et leur présenter mon mari, mais ils étaient vraiment fous, c’était tout simplement impensable.
Et puis qu’est-que cela pouvait bien leur apporter, où voulaient ils en venir, connaître mon mari pour quoi faire ?

Maintenant que je n’étais plus sous l’emprise du plaisir ma conscience reprenait sa lucidité naturelle et j’étais capable de mesurer les dangers d’une telle soirée il m’était donc impossible d’accepter leur volonté, il faudra bien qu’ils le comprennent.
C’est avec cette idée rassurante que je suis partie au travail, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui mais pas avec des risques inconsidérés.

J’avais une semaine pour leur annoncer mon refus, au bout du troisième jour j’étais toujours sans nouvelle de mon amant, il attendait surement ma réponse, mais je me disais qu’il aurait pu venir pour que l’on prenne un peu de plaisir car j’étais de nouveau en manque.

D’un autre coté si je lui annonçais trop vite mon refus, il se mettrait peut être en colère et ne viendrait plus me voir, il m’avait semblé très catégorique sur ce point et je ne voulais pas courir ce risque.
Il fallait que je trouve une excuse valable afin qu’ils comprennent que leur demande était déraisonnable et impossible à tenir.

Deux jours après, toujours aucun appel et ce depuis cinq jours. Je commençais à angoisser, il me fallait trouver une solution très rapidement.
Et j’avais toujours cette envie de sexe qui me tiraillait de plus en plus, malgré mon mari qui me baissait presque chaque soir tellement je l’allumais, mais cela ne me suffisait pas, je voulais aussi les intenses émotions que seul lui savait me prodiguer.

Le septième jour, j’en étais toujours au même point et aucune solution en vue, mais j’étais tellement paniqué à l’idée d’accepter leur ultimatum, tellement peur que cela dé**** et d’en perdre mon mari et ma famille que je ne pouvais que leur dire non.

Ma décision étais définitivement prise, tant pis pour moi je me résignais à penser que tous ces délicieux moments de plaisir étaient bel et bien terminés et que plus jamais une telle occasion de se représenterais.

Mais après tout, ce genre d’aventures étaient faits pour les jeunes filles et pas pour les femmes de mon âge, c’était surement exceptionnel de vivre cela à plus de quarante ans et je pense qu’autour de moi, dans toutes mes connaissances, je devais être la seule à avoir connu çà, du moins je le pensais et cela me permettait d’avoir moins de regrets.

Le lendemain après une très mauvaise nuit, j’étais resté sur ma décision et attendais avec beaucoup d’anxiété l’appel de mon amant qui ne tarda pas à venir.

– Bonjour Emilie, vous nous avez fait attendre, ce n’est pas bien de votre part.
– oui, mais ce n’est pas de ma faute… il faut que vous compreniez…
– Que l’on comprenne quoi ? Que vous désobéissez.
– Oui, heu non… ce n’est pas comme ça qu’il faut le prendre

Le ton de sa voix est devenu très dur

– Je pense que vous n’avez pas compris ma chère, mais vous n’aurez pas le choix car nous avons de quoi vous faire changer d’avis très rapidement.
– Comment cela ? Répondis-je d’une voix faible
– Mon maître avait prévu votre réaction, heureusement il a toujours un coup d’avance, regardez votre broîte mail et dite moi ce que vous en pensez.

Mon cœur sait soudainement accélérez et mon sang me chauffait les tempes, j’ai donc ouvert ma broîte mail pro car il ne connaissait pas ma boite perso et passant tous les messages j’ai vu un mail nommé (Comment vous faire changer d’avis).

L’ordinateur à mis du temps à le charger à causes de plusieurs pièces jointes assez volumineuses, c’était des photos et il y en avait cinq, pendant ce temps mon amant s’impatientait au téléphone.

– Alors où en êtes vous ? Je n’ai pas que ça à faire, j’attends votre réponse.

J’ai cliqué sur la première photo pour l’apercevoir sur l’écran et là j’ai failli m’évanouir comprenant d’un seul coup que j’étais piégé et à leur merci.

La photo me montrait à l’arrière de la voiture, jambes ouvertes avec la main de notre inconnu qui me caressait, on distinguait très bien mon visage il m’était impossible de nier la scène.

J’ai rapidement affiché les autres photos, sur la deuxième on distinguait la pénétration de plusieurs doigts de ce pervers et le pire c’est que je présentais un visage radieux et satisfait.
Sur la suivante j’avais carrément tout l’avant bras planté en moi, c’était vraiment obscène comment ses salauds avaient ils pu me faire çà.

La quatrième n’était pas mieux, j’étais à cheval cuises grandes ouvertes sur les jambes de ce salaud, les nichons à l’air et la bouche entre ouverte comme si je jouissais et en premier plan on distinguait sa grosse queue qui m’enculait à fond.

Et sur la dernière, c’était l’apothéose il m’enculait toujours mais je tenais des deux mains un gode énorme avec lequel je me défonçais la moule.
Malgré cette trahison et ma rancune naissante la vue de ses photos très explicites m’avait néanmoins émoustillé, mon esprit se rappelant le fantastique plaisir que mon corps avait retiré de cette expérience.

– Vous êtes des salauds…
– Oui ma chère, mais c’est pour cela que l’on vous manque
– Vous comprenez bien que nous avons un tas d’autres photos de vos exploits et que nous mourons d’envie de les partager avec… Votre époux.

A ces mots j’ai eu comme un malaise, mes mains se sont mises à trembler et j’étais paralysé par cette hypothèse que je redoutais tant.

– Non, ne faite pas çà, je vous en prie.
– Je pense qu’il est déjà trop tard, nous vous avions donné sept jours et pas un de plus, aussi je pense qu’a cette heure ci votre mari ne reçoive quelques exemplaires bien sélectionnés pour leur, comment dire… leur perversité.
– Non, non je vous en supplie…arrêté tout…j’accepte vos moindres désirs, je vous en prie ne faite pas çà.

Un long silence ma permis d’espérer que cela soit encore possible, que je pouvais encore sauver les apparences et mon couple, que tout çà n’était qu’un mauvais rêve.

– Bon, je vais voir avec mon maître ce qu’il est encore possible de faire et je vous rappel, pendant ce temps, vous allez imaginer cette fameuse soirée qui nous tient à cœur aux uns et aux autres.
Il a raccroché et j’ai éclaté en sanglots sur mon bureau avec toujours la dernière photo affichée sur l’écran de l’ordinateur.

Mon dieu, si mon mari voyait çà il tomberait surement en syncope, il ne me le pardonnerait jamais, tout en pensant à mes craintes mes yeux ne quittaient plus l’image et mes pensées virevoltaient entre le plaisir naissant et la colère encore présente.

Après tout la scène était plutôt excitante, c’était très chaud et dégageait une perversité torride, comme dise les hommes, c’était bandant et mes tétons qui pointaient ne si trompaient pas.

Perdue pour perdue, il me fallait maintenant assumer ma faute, ça passe ou sa casse, ma seule chance était d’abdiquer et de me soumettre à leur volonté.

Ils ne seraient peut être pas si ingrats que çà, même en rencontrant mon mari ils n’avaient aucun intérêt à faire capoter notre couple, c’était surement encore un jeu pervers pour m’exciter d’avantage, alors pourquoi pas.

Le soir venu au dîner alors que nous discutions mon mari et moi, j’ai abordé le sujet de mon travail comme si de rien n’était.

– Tu sais chérie, un de ces soirs j’aimerais bien te présenter un de mes fournisseur.
– Pourquoi pas, qui c’est ?
– Tu ne les connais pas, c’est une entreprise de lingerie avec laquelle j’ai de bons résultats sur mes ventes.
– De la lingerie, waouh… j’espère qu’elle est sexy…cette lingerie.
– Ne soit pas bête, bien sur quelle est sexy mais il y a de tout
– D’accord mais pourquoi veut tu me les présenter ? C’est bien la première fois que tu veux me présenter une relation de travail.
– Oui c’est vrai…mais là je veux jouer la carte amitié pour réussir à négocier au mieux de mes intérêts les futures collections, tu sais ça ce fait beaucoup dans notre milieu.
– Écoute ma chérie, si ça te fait plaisir… après tout cela peut être une soirée sympa et ça me permettra enfin de pénétrer ton milieu, si tu vois ce que je veux dire.
– Et voilà, tu te moque encore de moi avec tes idées polissonnes.
– Pas du tout mon amour je ne suis pas comme çà.

Nous partîmes sur un fou rire bien agréable, j’en étais d’autant plus contente que mon stratagème était passé comme une lettre à la poste, mon anxiété venait subitement de retomber et je me sentais beaucoup plus détendue.

Il me restait maintenant à organiser cette soirée au plus vite pour que je puisse me débarrasser rapidement de cette contrainte.

Dès le lendemain à la première heure mon portable vibra, nous étions encore mon mari et moi au petit déjeuné, jetant un œil discret sur l’écran j’ai aperçu (numéro masqué) ce ne pouvait être que mon amant et je faisais celle qui ne la pas remarqué.

– Chérie, tu ne réponds pas ?
– Oui…si, bien sur, qui peut m’appeler à cette heure ?

Je devais être toute rouge car je ne m’attendais pas à ce qu’il m’appelle dès le petit déjeuné et surtout avec mon mari à coté.

– Oui, allo ?
– Bonjour, comment allez-vous ce matin ?

Prenant une voix surprise, j’ai fin un tout autre dialogue.

– A bonjour Martine, que me vaut votre appel ?
– Je comprends que votre époux n’est pas loin, c’est plutôt excitant.
– oui effectivement, cela peut l’être, si vous le dite.
– Alors où en sommes nous de notre petite affaire ?
– Tout est ok, je vous rappellerais dans la matinée.
– Tout est ok, vous en êtes sur ou devons nous contacter votre mari ?
– non, je vous assure que tout le monde est d’accord.

Et j’ai vite raccroché pour que m’a gène ne soit pas trop visible.

– C’était qui cet appel ?
– Ma comptable… j’attendais quelle puisse me faire le point sur le stock, tu sais par rapport à ce fournisseur de lingerie.
– Il me semble qu’il te pose de vrais soucis ce fournisseur, pour que tu sois perturbé à ce point, j’espère qu’il n’y à rien de grave, tu ne me cache rien ?
– Mais non, il n’y à rien de grave, que va tu penser… c’est juste que ça représente beaucoup d’argent et le commerce n’est pas fameux en ce moment.
– C’est donc pour çà que tu veux les amadouer en les invitant à la maison, c’est çà ?
– Oui, tu vois qu’en tu veux, tu pourrais être un bon commercial
– Et bien organise cela au plus vite, nous allons les épater, tu va les éblouir, les hypnotiser, ils vont carrément tomber amoureux de toi tellement tu va les faire fantasmer.
– Ho la, doucement, ce n’est pas de la drague, ce n’est pas ce que je veux faire.
– Mon amour, tu n’y connais rien, si ce sont des hommes, tout puissant qu’ils soient ils ne peuvent pas rester insensibles aux charmes d’une belle femme, une fois qu’ils seront sous le charme tu pourras obtenir tout ce que tu veux de leur part, baisse de prix et bien d’autre choses.

Si tu le dis, alors nous allons les surprendre.

J’ai eu le sentiment qu’un piège sournois venait de se refermer sur moi, mon propre mari était entré tête-bêche dans leur stratagème, c’était impossible qu’ils puissent prévoir les réactions humaines à un tel point.
Connaissant mon époux il allait leur préparer le grand jeu et rien ne pourra l’arrêter, je vois déjà à l’avance le tableau, il va falloir que je soit le plus sexy possible, la plus accueillante possible, souriante et très agréable avec nos hôtes.

Mon pauvre chérie si tu savais, tu ne peux pas imaginer à quel point j’ai été accueillante avec ces hommes plus pervers l’un que l’autre, je ne sais pas ce qu’ils nous réservent mais si tu en rajoute de ton coté, je crains le pire.

Une fois mon mari parti au travail, j’ai rapidement rappelé :

– Allo ?
– oui c’est moi, je vous rappelle comme convenu
– C’est très bien, je n’en attendais pas moins de vous, alors comment cela se présente ?
– Plutôt bien, j’ai réussi à le convaincre, il croit que vous êtes des fournisseurs de lingerie pour ma boutique.
– Oui c’est bien çà, très bonne idée et plutôt excitante.
– Je dois vous inviter un soir à la maison pour les présentations
– Bien, alors organisez cela au plus vite car j’en connais un qui s’impatiente.
– Que diriez-vous de ce mercredi soir ?
– Nous préférons le samedi soir, nous serons ainsi plus détendus les uns et les autres, c’est le week-end et la soirée peut s’éterniser tard dans la nuit, qu’en dite vous ma chère ?
– Ben… d’accord pour samedi soir, vingt heure, çà vous va ?
– Bon pour vingt heures, à très bientôt…madame
– S’il vous plait, ne faite rien de…mal, je ne veux pas le perdre.
– Jusqu’à ce jour, est ce que nous vous avons fait le moindre mal ?
– Non…mais…
– plutôt du plaisir, beaucoup de plaisir, cela fait partie de votre éducation et vous avez encore beaucoup d’étapes à franchir, laissez vous aller et faite nous confiance.
– Oui…d’accord, alors… à samedi.

Ils voulaient que je leur face confiance, facile à dire car ils m’avaient bien piégé avec ces photos, comment pourrais-je les croire maintenant ?
De toutes les façons je n’avais pas le choix il me fallait exécuter leur volonté et préparer cette fameuse soirée pour le samedi suivant, soit dans trois jours.

J’avais peur et j’étais néanmoins très excitée par une telle situation, cela me rappelait un peut cette soirée au cinéma où j’ai rencontré Marc, c’est là qu’il m’a dévergondé pour la première fois.
Je me rappelle bien de cette puissante excitation que me procurait la proximité de mon mari pendant qu’il abusait de moi, ce mélange de peur et de plaisir est d’une puissance extraordinaire.

Depuis il m’a fait découvrir d’autres formes de plaisir et à chaque fois cela à été très intense, je me découvre des limites inavouables pour une femme mariée, jamais je n’aurais pu penser assouvir autant de perversités et je dois avouer que j’y prends de plus en plus de plaisir.
Malgré mes craintes et le fait d’avoir tenté d’éviter cela à tout prix j’étais presque heureuse que l’échéance fatale approche, soit pour en finir soit pour l’immense plaisir que j’allais en retirer.

Et en plus mon mari augmentait les risques de cette soirée sans le savoir, alors là je vous avoue que mon excitation était à son comble, je sentais le plaisir monter en moi avec une irrésistible envie que l’on me fasse du bien.
Les trois jours sont passés très vite et au petit déjeuné de ce samedi matin mon mari m’apportait ses derniers conseils pour la soirée.

– Je veux que tu sois la plus sexy possible, ta petite robe noire, tu sais la courte et légère que j’adore.
– T’est pas bien, elle est trop sexy pour ce genre de soirée, en plus elle dévoile trop mes formes.
– Justement, ils n’en pourront plus et tu seras irrésistible, ils ne pourront rien te refuser.
– Tu abuses et ensuite je mets quoi ?
– Je veux que tu mettes des bas à couture ça embelli tes magnifiques jambes, et tu mettras aussi ton petit string noir affriolant en dentelle.
– T’est fou ou quoi, que vient faire là mon string, tu ne vas quant même pas leur montrer mon intimité ?
– Mais non, çà c’est pour moi tout seul, j’aurais le plaisir de te savoir aussi désirable alors qu’eux n’en sauront rien, je trouve çà excitant pas toi ?
– Si çà te fait plaisir, t’en pis pour toi mon chérie.
– T’inquiète pas je gère et j’aimerai aussi que tu ne porte pas de soutien gorge, ta poitrine est très belle et tu es bien plus féminine quant tu ne porte rien.
– Ben voyions et les seins nu en plus, tu ne crois pas que tu abuse ?
– Mais non, mais non, crois moi tu vas adorer, çà va te chauffer toute la soirée et c’est moi qui vais en profiter après leur départ.
– En profiter après leur départ, tu es sur de ce que tu dis ?

Je n’en croyais pas mes oreilles, mon mari allait me jeter dans la gueule du loup, il voulait que je m’habille comme une vrai salope rien que pour les séduire, vraiment il n’imaginait pas ce qui pouvait se passer, n’ayant aucune idée de ce qu’ils sont capables de faire, ces deux là.
Mais après tout, en cas de dérapage cela pourrait m’arranger, je pourrais toujours lui dire que c’est de sa faute, qu’il m’a trop exhibée et comme tout homme qui se respecte ils auraient craqué et abusé de la situation, moi je l’avais prévenu.

La journée passa très vite et mon excitation était à son comble, je ne pouvais que penser à ce que ces deux pervers allaient me réserver.

J’ai pris un bain pour me relaxer, j’ai vérifié mon épilation pour maintenir ma peau douce jusqu’à ma vulve que j’avais rasé l’autre jour, elle est tellement douce sans aucun poil disgracieux, aucun homme ne pourrait y résister.
Brushing aérien, parfumé et bien maquillée, je me sentais très belle et désirable.

J’ai donc enfilé un mini porte-jarretelles avec des bas de soie noir couture, comme convenu je n’ai pas mis de soutien gorges laissant mes seins à l’air libre, mais j’ai tout de même désobéi en ne mettant pas de string car mon amant me préférait totalement nue sous mes robes.

Je me suis mise devant la glace de la chambre et j’y ai vu une très belle femme, apprêtée comme un cadeau que l’on va offrir, mon corps ainsi orné appelait aux plaisirs de la chair.

Ensuite j’ai enfilée cette fameuse petite robe noire, bien trop courte qui épousait parfaitement mes formes, comme je le craignais on distinguait mes seins et les pointes qui s’érigeaient déjà sous le plaisir naissant, c’était plutôt osé mais c’est mon homme qui le voulait ainsi.

J’ai enfin mis mes plus beaux escarpins en vernis noir qui sont venus parfaire ma tenue de femme fatale.
Si ce n’était que moi je n’aurais jamais osé me présenter devant d’autres hommes ainsi vêtue surtout en présence de mon mari, c’était une véritable invitation au crime, il aurait voulu qu’ils abusent de moi qu’il n’aurait pas fait mieux.

Je l’avais prévenu et ne pouvais répondre de rien, tant pis pour lui.
Mon homme quant à lui il avait préparé les festivités, si je puis dire, traiteur pour le repas, champagne prévu de l’apéritif jusqu’au dessert et pourtant il sait qu’il me monte trop rapidement à la tête.

Il avait prévu une table ronde pour le dîner, cela sera plus convivial ma t’il dit.
Il était presque l’heure lorsque il me dit :

– Tu es prête ma chérie ? Vient me faire voir comment tu es belle.

Je l’ai donc rejoint dans le salon en me déhanchant comme les mannequins lors d’un défilé…

– Waouh… quelle beauté, tu es vraiment appétissante, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous retenir ce soir.
– Comment ça ? Tu ne compte pas faire de bêtises, chérie rassure moi ?
– Mais non mon amour, c’est juste pour te dire qu’ils n’auront d’yeux que pour toi, il ne peut pas en être autrement, mais rassure toi je suis là et il vint m’embrasser affectueusement sur la joue.

Ding… Dong…

– A les festivités vont commencer.

Il me mit une tape amicale sur la fesse et me dit :

– A toi de jouer ma belle, va leur ouvrir la porte.

C’est avec le cœur battant que je me suis dirigé vers l’entrée, anxieuse et impatiente à la fois de revoir mes deux amants.

J’ouvris la porte et Marc dit de suite :

– Bonsoir, que vous êtes ravissante

Repris immédiatement par son ami et Maître

– Tout ça en notre honneur, mais nous ne méritons pas tant de beauté
– Je vous en pris messieurs, veuillez entrée je vais vous présenter mon époux.

Ils m’ont laissé passer devant et en ont profité pour me caresser les fesses au passage histoire de mettre l’ambiance pour le reste de la soirée.

J’ai immédiatement rougie comme une pivoine, la découverte de leurs mauvaises intentions confirmait mes craintes et décuplait mon excitation.

Mon amant me chuchota à l’oreille :

– Je constate que vous ne portez pas de culotte, nous apprécions ce geste.
– Bonsoir messieurs.

Repris mon mari qui se pointait au bout du couloir

Bienvenus chez nous, c’est un réel plaisir que de vous rencontrer, depuis le temps qu’Émilie me parle de vous.

– En bien j’espère, car nous ne sommes pas toujours tendre avec votre épouse.

Tout en disant ces paroles, Marc mon amant m’a regardé du coin de l’œil pour vérifier m’a gène avant que mon mari ne reprenne :

– Ce n’est rien messieurs ce sont les affaires, il faut parfois être dur et ferme, n’est-ce pas ?
– Vous avez parfaitement raison, et si je puis me permettre, nous ne sommes jamais assez durs et ferme avec les jolies femmes.

Ne voulant pas que cette discussion s’éternise au risque de toucher les points sensibles, je leur ai coupé la parole :

– Vous êtes tous des charmeurs mais passons au salon pour prendre un apéritif.
– C’est vous la reine de cette soirée nous ne pouvons que vous obéir.

Là encore, ils ont laissé mon mari passer devant en direction du salon et en ont profité pour me peloter outrageusement les fesses tout le long du couloir.
Rien que ces petits gestes déplacés ont suffis pour allumer le feu dans mon ventre, encore cette fameuse peur mêlé au plaisir pervers que j’aime tant.
J’ai néanmoins réussi à leur échapper de crainte qu’ils n’aillent trop loin et surtout trop vite.

– Installez vous je vais vous servir

Mon homme s’est posé dans un des fauteuils du salon, laissant ainsi nos invités sur le grand canapé face à la cheminé, puis il leur a proposé :

– Que désirez-vous boire messieurs ? Si je puis me permettre nous nous serons au champagne toute cette soirée, Émilie adore çà et j’aime lui faire plaisir.
– Cela nous convient aussi, le champagne est une boisson agréable et d’ailleurs cette boisson divine transforme les femmes, rajoutant à leur beauté la légèreté du cœur.
– Mais vous êtes un vrai poète et vous allez faire rougir mon épouse.
– Mais votre épouse n’a pas besoin de champagne au regard de sa beauté.

Tout en riant mon époux repris :

– Il va falloir que je la surveille si je comprends bien, tu entends çà ma chérie.
– Je te l’ai bien dit que ce sont des charmeurs, mais intraitables en affaires.

Nous avons trinqués aux affaires et à nos amours, mais au bout d’un moment mon mari ma demandé de m’assoir.

– Chérie assied toi un instant tu me donne le tournis en restant debout

Sauf que la dernière place disponible se trouvait dans le fauteuil face à nos deux compères.
Je me suis donc installé dans le profond fauteuil ce qui a immédiatement remonté ma robe presque à la limite des bas ce que personne n’avait pu louper ni même mon mari.

La scène était impudique et la rougeur de mes joues s’accentuait rapidement alors que mon mari regardait fièrement nos invités que ma position ne laissait pas insensibles.
Mon mari a de nouveau rempli nos verres.

– Alors messieurs, mon épouse ma dit que vous vendiez de la lingerie, c’est bien ça ?
– Effectivement, nous avons cette chance, travailler auprès de très belles femmes et au plus près de leur intimité.
– Cela doit être très agréable de voir tous ces jolis mannequins si légèrement vêtues.
– Oui bien sur, mais pas que les mannequins, nous avons aussi de belles clientes tel que votre magnifique épouse.

Marc rapportait toujours les discutions vers moi comme pour me mettre mal à l’aise, c’était vraiment gênant vis-à-vis de mon mari qui pourtant prenait très bien tous les compliments qu’il pouvait faire sur mon physique.

– J’ai effectivement beaucoup de chance d’avoir une si belle femme et croyiez moi, elle est très convoitée si j’en crois les regards que les hommes portent sur elle.
Là encore j’ai du intervenir pour éviter que les discutions ne dé****nt.
– Messieurs, nous ne sommes pas au travail et on peut parler d’autre choses, non ?
– Mais mon amour, au contraire c’est très intéressant, je découvre ton univers au travers de nos hôtes et quoi de plus agréable que de parler de lingerie.
– Tenez, vos verres sont déjà vides, tient ma chérie je sais que tu aime çà.
– Doucement, tu sais bien que je ne tiens pas l’alcool.
– Oui mais elle te rend encore plus désirable

Marc en profitas à son tour :

– Faites attention, plus désirable que çà et nous ne répondons plus de rien.
– Tu vois ces messieurs sont d’accord avec moi, trinquons à ta beauté.

Nous avons ainsi discuté un bon quart d’heure, les verres se vidaient et se remplissaient sans discontinuer, mon mari sympathisait avec mes deux amants, ils riaient et blaguaient sur les femmes.

Je l’avais rarement vu aussi détendu avec des inconnus on aurait presque pu croire qu’ils se connaissaient déjà, pour ma part l’alcool commençait à me chauffer les tempes ce qui me libérais aussi de tout tabous.
Je riais avec eux, me penchant en avant pour mieux les écouter je laissais ma robe remonter jusqu’à dévoiler le haut de mes bas et mon décolleté laissait entrevoir mes seins.
Les deux invités n’en rataient aucune miette, devant mon mari et sans aucun complexe ils redoublaient de compliments sur ma beauté mais surtout sur mon corps, mon époux semblait aux anges, naïf ou incrédule ?

Malgré mon état de gaieté lié à l’abus d’alcool, je me rendais compte que Marc détaillait très précisément mes courbes et formes anatomiques tout en parlant de lingerie, mon mari le suivait avec beaucoup d’intérêt mais sans rien dire.

L’ami de Marc se tourna vers moi pour me dire :

– Ma chère Émilie, se serait agréable d’avoir un petit fond musical pendant ces intéressantes discutions.

J’ai regardé mon mari comme pour lui demander son avis mais il était toujours concentré sur le discours de Marc, alors je me suis levé pour mettre un cd de jazz qui me semblait approprié, je me suis dit qu’effectivement ce fond musical rendait le moment plus agréable.

En retournant me rassoir, mon hôte m’a fait signe en tapotant sur l’accoudoir du canapé près de lui et m’a dit :

– Ma chère Émilie, ne me laisser pas seul, venez là près de moi.

J’ai de nouveau regardez mon mari, l’air surprise comme si je n’avais pas compris la demande formulé.

– Vous avez bien entendu, ne vous préoccupez pas de nos amis ils sont trop occupés dans leurs bavardages, venez là à mes cotés, nous avons tant de choses à nous dire.

Sans savoir si je devais le faire ou pas, je me suis approché doucement avec de nouveau cette angoisse malsaine qui me portait au cœur, je regardais vers mon mari réclamant surement ce que je devais faire.
Mais mon homme ne semblait pas percuter ce qui se tramait, il était totalement concentré sur le discours de Marc, qui tout en parlant me regardait avec des yeux gourmands cherchant à me faire comprendre que les choses sérieuses allaient commencer.
C’est la boule au ventre que j’avançais vers son ami, celui qui avait abusé de moi dans la voiture, il n’allait pas abuser de moi devant mon mari, il n’oserait quand même pas ?

Arrivée à sa hauteur, il me dit :

– Restez donc là, debout près de moi et ne craigniez rien nous sommes dissimulés par votre magnifique bouquet de fleurs.

Effectivement regardant vers les deux autres j’aperçus que le grand vase de glaïeuls sur la table base faisait comme un rempart visuel entre nous et eux.

Je restais donc là tel un décor, regardant toujours vers mon homme comme pour me rassurer, lorsque il me chuchota :

– Vous savez bien que vous n’avez pas le choix, alors pourquoi réfléchir ?

J’étais horrifiée en entendant ses mots, il était fou, quoi qu’il fasse mon mari allait forcément réagir il ne pouvait pas en être autrement.

Tout en restant fixée sur mon mari qui écoutait toujours Marc, j’ai senti une main remonter sous ma jupe jusqu’à venir me peloter les fesses, j’étais en stress total le cœur battant et la peau moite.

Je ne bougeais pas d’un centimètre espérant que mon mari ne s’aperçoive de rien, par contre se sentais très bien cette main qui me fouillait carrément sous la robe, des doigts inquisiteurs faisaient des vas et vient dans le sillon de ma vulve et entre mes fesses tout en badigeonnant le liquide poisseux qui dévoilait malgré moi le plaisir que me procurait cette situation.

Toujours en chuchotant il repris :

– Je vois que vous êtes toujours aussi réceptive.

Sa main a plusieurs fois parcouru mes jambes, caressant le voile des bas pour venir se poser sur la chair de mon entre cuisse me procurant a chaque passage d’agréables frissons.

Puis glissant un doigt sous une jarretière il est remonté jusqu’au bord de ma vulve qu’il a parcouru lentement appréciant surement l’absence totale de pilosité.
Son doigt s’est ensuite immiscé dans la fente humide séparant mes grandes lèvres qu’il a décollées facilement, il a ensuite glissé lentement au travers du sillon en direction de ma rosette jusqu’à venir sur ce petit trou interdit.
Il faisait cela avec une telle discrétion, semblant de rien il regardait lui aussi vers nos deux interlocuteurs qui ne se doutaient de rien.
Poursuivant son discours Marc n’en était pourtant pas dupe, il me regardait de temps en temps par-dessus l’épaule de mon mari, cherchant à deviner sur mon visage ce qui pouvait bien se passer sous ma petite robe.

Moi j’entrais petit à petit en transe, le traitement que ce pervers m’infligeait presque à la vue de tous commençait à porter ses fruits, j’avais du mal à rester calme et immobile.
Ce salaud devait bien le sentir, car il a décidé de poursuivre sa fouille, mouillant son doigt dans ma chatte à plusieurs reprises il retournait appliquer ce lubrifiant naturel sur mon petit trou, pénétrant a chaque fois un peu plus dans mon cul.

Après quelques vas et vient il a entré la totalité de son doigt et est resté ainsi sans bouger quelques instant comme pour habituer mon cul à cette visite anormale.
Au plaisir est venu se joindre la honte et l’humiliation d’être ainsi doigtée devant mon mari qui faisait toujours comme si de rien n’était, c’était irréel comment pouvait il ne s’apercevoir de rien et serait-ce ce point particulier qui m’excitait autant.
Je sentais maintenant le doigt qui coulissait dans mon cul cherchant à aller toujours plus profondément dans mes entrailles, le mouvement était facilité par l’abondance de ma lubrification à tel point qu’il a joint un deuxième, puis un troisième doigt à la fête.
Ma corolle s’ouvrait sans problèmes avalant tout ce qui se présentait avec une facilité déconcertante et cela m’humiliait encore plus, il a joué ainsi quelques minutes m’arrondissant littéralement le trou du cul tout en faisant semblant de suivre leur conversation.
J’avais les yeux mi-clos savourant mon plaisir, quelle salope je suis donc devenue, non seulement je prends un plaisir indescriptible à tromper mon mari mais là je suis presque en train de jouir devant lui sous les caresses d’un véritable pervers.

Une fois que mon cul fut bien dilaté il est ensuite venu faire le même traitement à ma chatte dans laquelle il est entré beaucoup plus facilement tellement j’étais humide.

Sans le vouloir, en me fouillant il à toucher à plusieurs reprises mon clitoris qui sous ce traitement à immédiatement déclencher les vibrations et les frissons me menant vers la jouissance.
Ayant compris que je partais pour le septième ciel il a immédiatement stoppé la vague dévastatrice en me pinçant fortement le clitoris, provoquant ainsi une douleur très vive et insupportable qui a effectivement stoppé net ma jouissance mais je n’ai pu retenir un petit cri de surprise.

– Humm…

Reprenant mes esprits j’ai enfin entendu mon mari.

– Et bien chérie, vous faites bande à part ? Vient donc resservir nos verres.
– Ne bouger pas je vais le faire

C’est tout naturellement et comme si de rien n’était qu’il s’est levé et a rempli leurs verres, se tournant vers mon mari il lui dit :

– Votre épouse et moi nous refaisons le monde, elle est fâchée que vous ne parliez que de travail.
– Je la reconnais bien là, mais continuez donc à refaire le monde, nous nous discutons de votre future collection de lingerie affriolante dont votre ami me montre en avant première quelques photos très agréables.

Mon mari avait du boire pas mal de verres car il semblait comme sur un nuage avec un comportement naïf que je ne lui connaissais pas, d’ailleurs j’ai réussi à apercevoir le clin d’œil que Marc a fait à son Maître alors qu’il revenait vers moi ce qui me laissait à penser que le pire était encore à venir.
En se rassoyant à sa place il a immédiatement replacé sa main sous ma robe pour se remettre dans ma chatte et me doigter de plus belle.

– Vous voyez que vous n’avez rien à craindre

Il m’a doigté pendant d’interminables minutes, me maintenant au bord de l’extase sans pour autant me laisser jouir, j’étais tellement excitée que ma liqueur coulait le long de mes cuisses.

Au bout d’un moment malgré ma tête dans les nuages je l’ai entendu dire :

– Voulez vous que je vous baise ?

Ais-je bien entendu ? Décidément là il pousse le bouchon trop loin, je lui ai répondu le plus doucement possible pour que personne d’autre ne m’entende.

– Vous êtes complètement fou, me caresser en cachette passe encore…mais pour le reste ce n’est pas possible.
– Je ne vous demande pas si c’est possible, juste si vous en avez envie
– Oui, bien sur…avec ce que vous me faite subir depuis une heure
– Alors venez allons dans votre cuisine
– Mais non…vous n’êtes pas sérieux…

Sans attendre il s’est levé et passant devant les deux autres il leur dit :

– Pendant que vous vous amusez, nous nous allons préparer le repas.

Mon mari la regardé et en souriant il lui a dit :

– Je vous en prie et faites ça bien, votre ami et moi nous nous occuperons du dessert.

Il ne pensait pas si bien dire, mon nouvel amant ma tendu la main en disant :

– Venez ma chère, nous avons du pain sur la planche.

Je l’ai rejoint sans dire mot, espérant me faufiler sans que personne ne me remarque, mais alors que je passais juste devant mon mari il s’est levé et ma pris dans ses bras pour m’embrasser en me tapotant la fesse.

– Je compte sur toi mon amour, préparez nous un bon repas

Puis en se retournant vers Marc il dit :

– Venez Marc, avec tout ça il faut que je vous montre mes photos

Et ils se sont dirigés vers le bureau pendant que mon amant me prenait par la taille en m’emmenant dans la cuisine.
Notre cuisine était ouverte sur le salon avec un grand meuble type bar qui faisait office de séparation, en étant accoudé à ce bar on avait la vue sur la totalité du salon, de l’entrée et du couloir qui menait aux chambres ainsi qu’au bureau.

L’endroit était stratégique pour maintenir une surveillance en cas de retour de mon mari et mon profiteur comptait bien se servir de cet avantage pour abuser un peu plus de ma personne.
Ça n’a pas loupé, sans dire un mot, il ma poussé contre le meuble en pliant mon bassin de façon à relever mes fesses, je suis resté ainsi appuyez sur mes avants bras le regard fixé sur le couloir d’où mon mari pouvait surgir.
J’ai senti ses mains sur mes fesses, les caressant comme un bel objet il a relevé doucement ma robe sur mes reins faisant apparaître la blancheur de mes chairs contre lesquelles il est venu frotter son sexe bandé au travers du pantalon.
Se retirant il m’a écarté les jambes pour dégager la vue et le passage vers ma vulve sur laquelle il a délicatement passé une main vérifiant du coup l’état de lubrification qu’il avait provoqué quelques minutes avant.
Tout devait être comme il le souhaitait car j’ai senti ses doigts écarter mes lèvres et de suite me les mettre profondément dans le con, quelques vas et vient au ralenti ont finis d’étaler ma cyprine sur toute la surface de mes parties intimes.

J’ai ensuite entendu le zip de la fermeture éclair aussitôt suivi par le chaud contact de sa verge se posant sur mon sillon, quelques vas et vient du bassin faisaient coulisser le sexe entre mes fesses en décalottant le gland a chaque passage ce qui le lubrifiait pour la suite des festivités.

J’étais concentré sur le couloir avec cette peur indescriptible de voir surgir mon homme d’un moment à l’autre et qu’il me découvre ainsi dans cette position de femme offerte tout en me délectant de la perversité de la scène.
Comment pourrais-je tenter de lui faire avaler que l’homme qui se vautrait contre mes fesses nues, la bite à l’air ne faisait rien de mal ? Que c’était un malentendu, que le fait qu’il veuille me prendre ainsi en levrette était tout à fait normal pour un invité et que mon chéri devrait être compréhensif, dite moi comment ?
Rien que d’y penser cela décuplait mon excitation, finalement je crois que j’aurai adoré que mon mec débarque juste au moment ou notre invité m’enfoncerait sa grosse bite dans la chatte, qu’il constaterait que j’adore qu’on me prenne comme une petite salope et que j’aime le faire cocu.
J’aimerai que mon mari reste là a nous regardez pendant que mon amant continuerait à me baiser et que je glousserais de plaisir à chaque coup de queue tout en le regardant dans les yeux, oui j’aimerais çà, ça m’excite vraiment.
Je divaguais encore dans mes fantasmes quant j’ai senti la queue me pénétrer centimètre par centimètre sur toute sa longueur pour venir buter contre mes ovaires, il me tenait fermement par les anches et a commencer à ce branler lentement en moi.

La scène était irréelle, je me faisais prendre par un inconnu, chez moi dans ma cuisine et avec mon homme dans la pièce à coté.
J’ai fermé les yeux pour me concentrer sur la colonne de chair qui m’écartelait la chatte, j’appréciais chaque aller retour me ramonant le conduit en espérant que cela dure le plus longtemps possible.

– Vous êtes merveilleuse, c’est tellement jouissif de vous baiser au nez et à la barbe de votre époux, ça décuple mon érection.
– Mais vous, aimez vous çà, au moins ?
– Hum… je vous en prie… taisez vous… baisez moi… vite
– Pourquoi vite, vous avez peur ?
– Oui… ils peuvent… revenir

Il accéléra la cadence comme pour me rassurer, venant claquer contre mes fesses à chaque coup de reins ce qui raisonnait dans la pièce.

– Mais… vous êtes…fou… hum, ils vont…entendre
– Alors puis-je vous enculer ?
– Hum…tout ce…que… vous voulez…mais vite

J’étais en transe au bord de la jouissance lorsqu’il a enfoncé d’un coup son membre dans mon trou du cul le dilatant sauvagement malgré l’importante lubrification, cela à immédiatement déclenché une première jouissance qui ma labouré l’épine dorsale jusqu’à la nuque.
Plusieurs aller retour puissants agrippé à mes anches et je l’ai senti se déverser en moi, à chaque soubresaut de sa queue je prenais une giclée de liquide chaud dans les boyaux, cela m’a de nouveau fait jouir à en agripper les bords du meuble pour que nous ne tombions pas au sol.
Il s’est appuyez sur moi de tout son poids la bite encore planté entre mes fesses et ma embrassé et léché dans le coup.

– Vous êtes fantastique et méritante

L’excitation est vite retombé, je me suis rajusté tant bien que mal et nous avons rapidement sorti le repas du traiteur, j’étais encore toute perturbé avec ses émotions lorsque j’ai entendu des rires venant du couloir.
Nous avions échappé au pire, car même si cela me faisait fantasmer je n’aurai pas voulu faire subir cet outrage à mon époux et c’était bien ainsi.

– A je vois que tout est prêt alors passons à table mes amis, tient chérie assis toi là juste entre nos invités vous avez tellement de choses à vous dire.

Marc décala ma chaise pour que je m’assoie, par galanterie mais aussi pour pouvoir me frôler les fesses discrètement, puis il s’ait assis à ma gauche et son ami à droite tous deux mon regardez avec un sourire qui en disait long.

– Vous nous gâter mon ami, nous avons votre épouse rien que pour nous, vous ne pouviez pas nous faire plus plaisir.
– Du moment que vous n’en abusé pas je vous la prête pour la soirée, mais sous ma surveillance il va de soit.

Ils ont ri tous ensemble trinquant de nouveau au champagne après avoir remplis également mon verre.

Je vous passe les pelotages sous la nappe que mes deux compères mon fait subir faisant remonter cette excitation malsaine en moi, chacun son tour voir parfois les deux en même temps ils m’ont caressé et doigté devant mon époux qui incroyablement ne voyait toujours rien.
Le repas a duré plus d’une heure, j’avais la tête qui tourne et la chatte en feu à force d’être malmené sous la table, le champagne coulait toujours à flot et mon mari semblait se fatiguer ralentissant ses phrases avec parfois des pertes de rythmes dans le discours.

Pour ma part se sentais que mes deux lascars se sentaient de plus en plus à l’aise devant mon homme, ils cachaient moins leurs mouvements lorsqu’ils passaient leurs mains sous la nappe pour me caresser, mais ce n’était peut être qu’une impression de ma part, il faut dire que coté sensations j’étais au maximum.

Mon mari parlait de moins en moins et semblait vraiment fatigué, quant à moi j’avais vraiment trop bu car maintenant je riais ouvertement alors que Marc venait d’ouvrir mon décolleté pour sortir mes seins à l’air libre.

– Messieurs… voyons cela ne se fait pas… mon mari regarde…

Je n’y croyais pas, je me laissais abuser là à moins d’un mètre de mon mari et lui il regardait sans réagir, c’était comme dans mes fantasmes les plus fous.
Les deux hommes ont poursuivis ma débauche, Marc m’a embrassé sur la bouche pendant que l’autre me suçais les tétons.

– Vous…êtes complètement… fous…il ne faut pas…hum

Chacun a plongé une main entre mes cuisses pour les saisir et les écarter au maximum, passant mes jambes par-dessus les leurs de façon à me bloquer dans cette position indécente.
Ma robe était complètement remontée, Marc me la retiré et je suis resté là uniquement en porte jarretelles, les cuisses ouvertes entre deux pervers qui me pelotaient sans vergogne devant mon homme.
Comme dans mon fantasme je me laissais partir entre leurs mains.

– Ho…chérie…regarde… ce qu’ils font…hum…
– Messieurs, ce n’ai pas… bien… Je suis une…hum…femme…mariée

Leurs doigts étaient déjà dans ma chatte depuis un moment à m’ouvrir et me doigter pour me faire sortir le jus, mes tétons pointés étaient mordillées et pincés, je sentais des baisés dans le coup, sur ma bouche et mes oreilles, le plaisir venait de partout en même temps.

Soudain Marc s’est relevé et à poussé tout ce qui se trouvait sur la table, il ma pris dans ses bras et ma déposé couché sur celle-ci, ma tête s’est retrouvé juste à hauteur de la braguette de son ami qui s’était aussi levé
Marc a ensuite poussé sa chaise pour s’asseoir jute devant mes jambes qui pendaient dans le vide, il a agrippé mes cuisses pour les relever bien haut ouvrant ma moule juste devant ses yeux.
J’ai immédiatement sentie sa bouche se poser sur mon sexe et sa langue humide me pourfendre la raie sur toute sa longueur pendant que l’autre avait sorti sa queue en me la présentant devant le visage.

Sous cet angle sa bite était énorme et sentait encore la chatte de m’avoir baisé mais je n’ai pas pu m’empêcher d’ouvrir ma bouche en grand pour l’engloutir.
Il m’a agrippé les cheveux pour aider ma bouche à coulisser sur sa tige selon ses coups de reins pendant que Marc me butinait les muqueuses, léchant la peau sensible de mon entre cuisses et me mordillant le bouton pour le faire grossir.
Sous le coup d’une première vague de plaisir qui ma tortillée dans tous les sens j’ai tendue mon bras vers mon homme comme pour m’assurer qu’il était encore là, ma main à pris la sienne en la serrant fort pendant que je jouissais sous la langue experte de Marc.

Il ne réagissait toujours pas, mais regardait la scène les yeux grand ouvert, était t-il consentant ?
Peut être qu’il aimait çà, me voir offerte à deux mâles en rut, moi en tout cas je m’éclatais sous tous les angles suçant cette grosse tige qui ma si bien ramoné et ondulant du cul sous les léchouilles de mon amant.

– Marc, baise moi… je t’en prie… prend moi…

Se tournant vers son Maître

– Je peux monsieur ?
– Je vous en prie Marc, faite vous plaisir.

Il n’avait pas fini sa phrase que la bite de Marc entrait déjà dans ma vulve

– Haaaa… salope… depuis le temps… elle est trop bonne cette pute…

Il accéléra en me donnant de puissant coups de bite qui claquaient contre mes fesses en libérant des flots de mouille a chaque pénétration, il a du me retenir par les reins car a chaque coup de bite mon corps avançais sur la table.
Je tenais toujours la main de mon homme pendant que son Maître cadençait les vas et vient dans ma bouche sur les coups de bite que Marc me prodiguait.
Han… Han…Hum… Ils gémissaient en duo, redoublant d’efforts pour me défoncer chacun de leur coté, je ressentais les pines entrer et ressortir en cadence libérant des ondes de plaisir de plus en plus fortes.

– Monsieur…han…puis-je… han… l’enculer ?
– Allez y… vous verrez…han… c’est une… han… merveille

Ces deux salauds me considéraient comme leur objet sexuel, tout leur était maintenant permis sans même demander ma permission ni celle de mon mari qui semblait toujours absent malgré son regard pointé sur nous.
Sans prévenir, il ma embroché le cul jusqu’aux couilles avec un grand cri

– Haaaannnnn… putain de salope… je t’encule enfin…

Ce salaud venait de me tutoyiez alors qu’il ne l’avait jamais fait, comme s’il venait enfin d’obtenir ce qu’il désirait le plus au monde.

– Oui…haaaa… enculez moi… plus fort… oui…

Notre excitation à tous était tellement forte que nos corps se sont mis à trembler en cœur, nos cris de plaisir s’entremêlaient en résonnant dans la pièce et mes hommes me limaient de plus en plus vite, un dans ma gorge et l’autre dans mon cul.

– Haaaaannnnn…

Ils ont craqué ensemble déversant leur semence en moi, j’ai déglutie tout le liquide possible mais la quantité était trop importante, le sperme coulait hors de ma bouche malgré qu’il me tenait fortement la tête à deux mains avec sa queue toujours au fond de ma gorge.
Marc lui déversait encore des flots de foutre dans mon cul à chaque contraction de sa bite et je sentais le liquide chaud et poisseux couler dans mes intestins.
Vous ne me croirez peut être pas mais j’étais fière d’avoir fait jouir deux hommes en même temps avec mon corps et puis quelle expérience extraordinaire pour une femme, jamais je n’aurais imaginé jouir autant.

C’est toute courbaturé que je me suis relevé, assise sur le bord de la table j’ai attaché mes cheveux en chignon et reprenant doucement mes esprits j’ai regardé mon mari qui était toujours là sans rien dire.

– Ne vous inquiétez pas, il va bien mais il ne se rend compte de rien.
– Comment ça, mais il a tout vu
– Oui, mais demain il ne se souviendra de rien, vous verrez
– Comment est-ce possible… il à l’air parfaitement conscient

Ça c’est notre petit secret, on ne peut pas tout vous dire, allez venez allons le coucher car seule vous n’y arriverez pas.
Une fois mon mari au lit, Marc et son ami mon remercié pour cette agréable soirée en me promettant de me revoir très vite, ce dont je ne doutais pas.

Effectivement au petit matin, malgré mon appréhension, mon mari ne se souvenait de rien du tout concernant notre soirée de débauche, c’était incroyable mais Marc m’avait promis qu’il en serait ainsi et qu’il m’expliquerait plus tard les raisons de cette amnésie mystérieuse

Mais j’ai tout de même voulu questionner mon époux sur ce qu’il pensait de nos nouveaux amis, histoire de tâter le terrain.

– Et bien ma chérie, je les trouve très sympas, surtout comment s’appelle t-il déjà… à oui, surtout Marc nous avons bien discuté tous les deux, l’autre était plus distant et tu as bien fait de t’en occuper car je pense que le feeling passe moins bien entre nous.
– Moi aussi je trouve que Marc est plus sympa.
– Mais tu sais le plus bizarre, c’est que j’ai du prendre une belle cuite car a partir d’un certain moment j’ai comme un trou noir, aucun souvenir du reste de la soirée, j’espère que je ne t’ai pas fait honte ?
– Non pas du tout, effectivement tu as bien bu et… tu es parti te coucher plus tôt car tu ne te sentais pas très bien et j’ai fini la soirée avec nos invités, ils ne sont d’ailleurs pas partis très tard car ils reprenaient la route ce matin.

Là j’étais totalement rassuré et nos aventures allaient pouvoir se poursuivre.
Nous avons donc passé le weekend à nous reposer et nous câliner tendrement, nous prenions le petit déjeuné ensemble et je le regardais en repensant à cette soirée de samedi, étonnamment je n’avais aucun remords juste le regret de lui mentir et de lui cacher les choses.

J’aurais tant aimé qu’il soit complice de ma débauche, l’organisateur de mon apprentissage libertin et qu’il participe à mon éducation sexuelle avec mes amants.
Mais il en était ainsi et je ne voyais pas comment je pourrais aborder un sujet aussi épineux sans risquer de le perdre, il en était hors de question car je l’aime vraiment malgré ce que tout un chacun pourrait penser.

Je me suis donc résignée à subir le destin tel qu’il se présentera, après tout n’était ce pas déjà lui qui ma fait rencontrer Marc dans ce cinéma, n’était ce pas lui qui a fait en sorte que je me laisse abuser de la sorte.
Serait aussi le destin qui a placé ces êtres pervers sur ma route pour que je découvre les plaisirs de la chair, pour me faire découvrir le plaisir infâme que j’éprouve à cocufier mon époux.
Ces sales pensés me parcouraient l’esprit en toile de fond laissant néanmoins le quotidien de la vie se dérouler tant bien que mal.

C’est avec amour et tendresse que j’ai embrassé mon chérie sur le pas de la porte alors qu’il partait à son travail, c’était une belle journée, les oiseaux faisaient la fête entre les branches et le soleil s’infiltrait tranquillement entre les maisons.
Je me sentais heureuse et comblée de ce que la vie m’apportait, une vie de famille, un travail agréable, un homme que j’aime et cerise sur le gâteau je découvrais des sensations et expériences sexuelles exceptionnelles qui me réconciliaient avec mon corps de femme.

Sur le trajet du travail je me surprenais à croiser le regard des hommes qui me plaisaient tout en répondant à leurs sourires, je me sentais plus belle et désirable que jamais.

La circulation était fluide pour un mardi matin et je suis arrivée très en avance à la boutique, une fois n’étant pas coutume j’ai décidé de flâner en regardant les jolies vitrines.
Alors que j’étais en admiration devant un petit ensemble de lingerie j’ai ressentie deux mains fermes se poser sur mes anches et avant même de pouvoir réagir je l’ai entendu dire :

– Ne bougez pas, ce n’est que moi.

J’ai reconnu le reflet de mon amant dans la vitrine et le son de sa voix ma immédiatement rassurée.

– Vous êtes toujours aussi désirable, je ne me lasse pas de votre beauté.

J’ai appuyiez mon corps contre le sien et posé ma tête en arrière contre son torse.

– Et vous, vous êtes toujours aussi flatteur à ce que j’entends.
– Détrompez-vous, je n’ai nul besoin de flatter ce que je possède déjà.
– Donc vous êtes sincère ?
– Plus que vous ne le croyiez, mais venez allons prendre un petit café.

Nous nous sommes installés en terrasse d’une agréable brasserie, il faisait chaud et il y avait déjà plusieurs personnes installées autour de nous.
Alors que le jeune serveur posait nos cafés sur la table, Marc dit tout haut :

– Alors Emilie, cette petite soirée de débauche vous à telle plu ?

Le serveur m’a regardé dans les yeux avec un léger sourire en coin pendant que je piquais un fard, toujours sous son regard j’ai chuchoté vers Marc :

– Je vous en prie… ne parlez pas si fort… c’est gênant.

Comme s’il ne m’avait pas entendu, il reprit :

– Je me doutais que vous étiez chaude, mais à ce point c’est plutôt rare.
– S’il vous plait… dis-je d’une voix presque étranglé.

Le serveur me regardait toujours, il prenait son temps pour essuyez la table ce qui décuplait ma honte.
Marc le regarda et lui dit :

– Comment la trouvez-vous ?
– Qui çà monsieur ? dit le serveur jouant le faux naïf
– N’ayez pas peur, je veux juste votre avis.
– Et bien, monsieur, vous avez une très belle femme, et croyiez moi, avec mon métier j’en vois beaucoup à la journée.
– Si je vous l’offrais pour un moment qu’en diriez-vous ?

Là, c’est le serveur qui est devenu tout rouge et n’osait plus nous regarder en face.

– Monsieur, je vous en prie c’est gênant pour moi et pas très sympa pour votre dame.
– Ne vous inquiétez pas pour madame, elle est très obéissante et elle adore les beaux jeunes hommes.

Devant de telles paroles, je me suis effondré dans ma chaise, comme à chaque fois ma soumission et les mots crus faisaient naître en moi ce plaisir malsain décuplé par la honte.
Le serveur m’a de nouveau regardé comme pour s’assurer de la véracité des propos que Marc venait de tenir à mon égard, il semblait gêné et curieux à la fois.
Son regard se faufilait sur mes épaules et s’engouffrait sur la peau laiteuse de mes seins que laissait voir mon profond décolleté, il cherchait à gagner du temps pour réfléchir à cette incroyable aubaine, il se tourna de nouveau vers Marc.

– Comment puis-je savoir si vous êtes sérieux ?
– Vous nous offrez les cafés et elle vous fait une petite gâterie
– Là maintenant, c’est possible ?
– Emilie, dite au monsieur si cela est possible.

Sous le regard insistant du serveur je me suis entendu dire :

– Oui… si vous le souhaitez
– Si vous le souhaitez quoi ? Emilie voyions.
– Si vous le souhaitez… monsieur… je peu vous… sucer

Le serveur n’en croyait pas ses oreilles, il regardait autour de lui comme s’il cherchait quelqu’un pendant que j’apercevais le début d’une érection à hauteur de mon regard.

– Serge… ho, serge… tu peux me remplacer un moment, j’ai quelque chose d’urgent à faire.

Il venait d’apostropher un collègue tout en me demandant de le suivre, mais Marc lui précisa :

– Elle vient mais je reste présent, c’est à prendre ou à laisser.
– Ok mais venez vite, je n’ai pas trop de temps.

Me prenant par la main comme pour ne pas perdre sa proie, il nous a fait traverser toute la brasserie jusqu’à un escalier descendant au sous sol.
Au passage je sentais tout les regards sur moi comme si ils pouvaient deviner ce qui se tramait, mon humiliation était à son comble et l’humidité de mon entre jambes trahissait la monté du plaisir.

Arrivés en bas nous avons croisé deux messieurs qui sortaient des toilettes homme mais le serveur nous à dirigés vers une autre porte plus en retrait, nous sommes rentrés tous les trois dans ce qui faisait office de vestiaire pour les employés de la brasserie.
Il m’a assise sur l’unique banc de la pièce et tout en ouvrant sa braguette il a de nouveau demandé à Marc :

– Vous êtes sur, je peux y aller ?
– Je vous en prie, profitez en bien vous n’allez pas le regretter.

Aussitôt il exhiba son sexe devant mon visage, il ne bandait pas encore à fond mais affichait déjà de bonnes mensurations.
Se délectant par avance de la scène, Marc me dit :

– Allez Emilie, faite moi honneur, régalez monsieur

Comme un automate, j’ai pris la verge dans une de mes mains et j’ai glissé l’autre dans la braguette grande ouverte pour soupeser les testicules encore bien pleines.
Rien qu’a ce contact le jeune homme à frémit et lâché un râle enroué.

– Humm… ce n’est pas possible…. Je rêve

Deux, trois, vas et vient de mes doigts le long de la tige on suffit pour la gonfler à bloc, le gland était gorgé de sang lorsque je l’ai enfin pris en bouche.
Marc s’est placé derrière moi et a pris mon visage entre ses mains de façon à ressentir et suivre le mouvement du sexe dans ma bouche.
Le jeune homme n’avait pas l’habitude d’un tel niveau d’excitation, il bougeait vite, bien trop vite dans ma bouche, j’ai compris qu’à ce rythme il ne tiendrait pas bien longtemps.
Marc la aussi ressentit et à préféré prendre les choses en main.

– Doucement mon ami, ralentit sinon tu vas abîmer cette jolie bouche.
– Humm… oui… monsieur… mais c’est… trop…bon
– Je sais, mais laisse toi faire, tu va voir elle saura te maintenir plus longtemps.
– Oui… humm…
– Ferme les yeux et pense à autre chose, fait durer le plaisir.

Par instinct, je serais mes doigts à la base du pénis pour ralentir la monté du plaisir, j’ai ressorti le sexe de ma bouche pour le parcourir de haut en bas avec la pointe de ma langue sous les encouragements de Marc.

– C’est très bien, appliquez vous

Mais ses paroles excitaient encore plus la virilité de notre serveur et j’ai du mordiller sa verge pour éviter le pire.

– Humm… oui… aie… doucement…
– N’ai crainte, elle veut juste t’empêcher de jouir trop rapidement
– Oui… monsieur… mais c’est trop bon… on m’a… humm… jamais fait ça…

Ma langue léchait délicatement le gland bien dur, salivant au maximum et titillant le méat.
Puis je repoussais le prépuce pour recouvrir le gland tout en emprisonnant ma langue que je faisais tourner doucement sous la peau, je sais que les hommes aiment cette caresse particulière et c’est mon mari qui me la apprise du temps ou il était encore fougueux.
De nouveau quelques vas et vient bien mouillés, je ressortais la totalité de la verge pour mieux l’engouffrer jusque au fond de la gorge, le pauvre garçon tremblait de toute parts il devait être au bord de la syncope.

– Ho… humm… je ne vais pas… tenir… madame…

Brave garçon, se sentant venir il avait encore la délicatesse de me prévenir mais Marc ne l’entendait pas ainsi et tout en me maintenant fermement le visage il lui dit :

– Laisse toi aller mon garçon, vide toi elle aime ça
– Haaaaa… c’est trop bon…

J’ai bloqué son sexe au fond de ma gorge et je lui ai malaxé les couilles pour qu’il se laisse partir, une, deux et trois giclées, il m’a mit la dose et je n’ai pu empêcher le surplus de couler sur mes joues.
Avec ses doigts, Marc empêcha le liquide visqueux de couler plus bas en le remontant vers ma bouche.

– Vous voyiez dans quel état vous mettez ce jeune homme ? J’espère que vous allez bien le nettoyer on ne peut pas le laisser comme ça.

Le sexe ramollissait vite dans ma bouche laissant perler quelques dernières gouttes, je l’ai sorti, léché et entièrement nettoyé sous le regard satisfait de Marc.
De toute ma vie, cela ne faisait que la deuxième fois que j’avalais la semence d’un homme, ce que j’aurais trouvé dégouttant avant me satisfaisait maintenant au plus haut point, cela me donnait comme un sentiment de puissance inexplicable.

– Waouh… je ne pensais pas que vous iriez jusque au bout, c’est incroyable, mes amis ne vont pas me croire.
– Là mon garçon tu te calme, il faut savoir garder les secrets sinon nous ne reviendrons jamais, c’est bien clair.
– ho, oui monsieur c’est très clair, je ne dirais rien à personne, promis.

Marc m’a tapoté la joue.

– Vous faite de réels progrès je suis fiers de vous

Je l’ai regardé avec mon air de chienne battue pour lui clémender de pouvoir jouir à mon tour, joignant le geste à la parole j’ai glissé mes mains sous ma robe découvrant ma vulve toute lisse.

– Vous ne pouvez pas me laisser ainsi, cela serait cruel.

Sous le regard des deux hommes, j’écartais mes grandes lèvres pour laisser mes doigts coulisser le long de ma raie jusqu’à venir toucher mon petit bouton qui électrisait mon corps.

– Waouh… je n’ai jamais vu ça, elle a le feu au cul.
– Veuillez rester poli jeune homme, c’est n’est qu’une dame qui demande à être récompensée pour son obéissance.

Marc savait toujours quoi dire et en toute circonstance, sa défense ma emplie de fierté, j’ai posé ma main sur son pantalon pour tâter sa grosse queue gonflée tout en le défiant du regard.
Le jeune serveur restait là ébahi mais encore tout excité, il nous regardait avec gourmandise attendant la suite des événements.
Devant son silence j’ai ouvert le pantalon tout doucement vérifiant à chaque millimètre que j’avais encore son accord, j’ai sortie sa bite à l’air libre, bien plus grosse que celle du gamin qui n’a d’ailleurs pas pu s’empêcher d’en faire la réflexion.

– Fichtre quel morceau… Je n’aimerai pas la prendre dans le cul.

Je l’ai regardé avec des yeux brillants comme pour lui dire, et bien moi je l’ai déjà prise dans le cul et j’aime çà, j’ai ensuite ouvert mes lèvres pour gober le sexe convoité de mon amant.
Les bruits de sucions ont retentis dans la petite pièce, tel une vorace j’avalais la totalité de la verge parfois même jusque aux couilles ce qui semblait impressionner notre jeune mateur.
J’étais vraiment excitée et me branlais le clito comme une folle, ne voulant pas souffrir d’avantage je me suis relevée pour m’appuyer contre le mur d’en face écartant les jambes au maximum et courbant les reins pour faire apparaître ma chatte inondée.

– Prenez… moi vite… je vous en prie…

Marc à vérifier mon état en passant sa main entre mes cuisses, je dégoulinais comme une fontaine, puis il a dit au jeune homme

– Vous avez vu dans quel état vous me l’avez mise, il va falloir que je finisse votre travail.

Sans un mot de plus il s’est collé contre mes fesses et d’un puissant coup de reins il m’a logé sa pine au plus profond avec un cri rauque.

– Han… tenez… votre récompense… han…han…

Ma chatte s’est remplie d’un seul coup, je s’avouerais tout en regardant notre voyeur qui se branlait déjà.

Tout en me besognant Marc parlait avec le jeune homme.

– Il faudra… que je vous montre… comment satisfaire…humm… une femme… comme celle…humm…la

Sa queue entrait et sortait en rythme de ma cavité et mes chairs épousaient à chaque pénétration la circonférence de cette belle colonne de chair huilée à la perfection.
La présence de ce jeune homme à nos cotés pendant que je me faisais saillir décuplait toutes mes sensations et j’aurais pu jouir rien que d’y penser.
Mais cette queue qui me labourait en cadence me procurait bien plus de plaisirs que toutes autres choses, je ne me préoccupais plus de son propriétaire c’est dans ces moments là que n’importe qui pourrait prendre la place de l’intrus.

Dans ces moments là que les acteurs passent au second plan et que votre esprit se concentre sur les chairs qui se dilatent à chaque poussé du membre qui vous fouille.
C’est dans ces moments là que vous rêvez de bites énormes vous écartelant la moule et vous inondant de semence, que vous n’êtes plus qu’une femelle soumise à toutes les perversités inimaginables.
C’est dans ces biens trop courts instants, juste au point de non retour, que votre âme se perd dans ce mélange de sensations plus sales et vicieuses les une que les autres.
Et c’est là, que vous sombrez d’un seul coup dans l’abime de la jouissance, espérant que cela puisse durer éternellement, tellement vous êtes submergé de plaisir.

C’est en reprenant mes esprits que je sens le sexe de Marc qui ramollit doucement dans mon vagin débordant de liquide séminal, que j’aperçois notre jeune voyeur debout près de nous se tenant encore le sexe tout visqueux de sa propre jouissance.

– Bon sens… j’ai jamais vu ça… quel pied
– Content que cela t’ai plu mon garçon, mais il faut que je ramène madame à la réalité.

Après un léger brin de toilette histoire de ne pas faire trop pute en retraversant la brasserie, marc ma accompagné jusqu’à la boutique que ma vendeuse avait déjà ouverte.

Encore toute excitée de ce nouvel épisode j’ai voulu le garder encore un peu

– Venez Marc, je vais vous faire visiter
– Vous êtes sure ? Et votre vendeuse que va-t-elle penser ?
– Vous savez elle se doute déjà que j’ai un amant, alors pourquoi pas
– Bonjour Claire, comment allez-vous ce matin ?
– Très bien Emilie et vous ?

En regardant Marc elle se reprit:

– Heu… pardon, bonjour monsieur je ne vous avais pas remarqué.
– Claire vous nous faite un petit café que je vous présente mon ami.

Marc semblait apprécier la beauté de ma petite vendeuse car il ne quittait pas ses jolies courbes des yeux alors quelle se dirigeait vers l’arrière boutique.

– Vous cherchez à me rendre jalouse ?
– La jalousie peut être source de plaisirs, vous l’apprendrez en temps utile et puis cette gamine ne m’appartient pas… du moins pas encore.

Ces quelques mots ont raisonné cruellement en moi, regrettant d’avoir fait entrer le loup dans la bergerie j’ai effectivement ressentie de la jalousie mais je me suis gardé de lui montrer.
Claire est revenue avec nos petits cafés, nous regardant avec un air malicieux et plein de curiosité.

– Alors vous me présentez votre…ami
– Oui bien sur, Marc je vous présente Claire, Claire je vous présente Marc l’ami dont nous avons parlé l’autre jour…

Rien qu’a ces mots et à mon clin d’œil, Claire compris tout de suite ce qu’il en était

– Ha… je vois et je comprends mieux…
– Que comprenez vous mieux, mademoiselle ?
– Heu…rien de particulier… ce n’est pas ce que je voulais dire

Claire, était toute rouge, consciente d’en avoir trop dit mais Marc en a profité

– Et alors, que vouliez vous dire ?

Claire me regardait avec des yeux coupables pour que je lui vienne en aide

– Ce que Claire veut dire, c’est quelle est au courant pour notre relation particulière
– Oui…c’est ça et je comprends mieux… parce que vous êtes…bel homme
– Donc si je comprends je vous plais aussi ?
– Heu…Non…si, oui…

Claire était toute confuse et balbutiait ses mots tout en cherchant à éviter le regard de Marc.
Consciente de sa gêne et surtout sous le coup de la jalousie grandissante j’ai tenté de reprendre la main.

– Marc, voyons laissez Claire tranquille et arrêtez de la taquiner
– Vous avez raison, excusez moi et ne m’en voulez pas car je suis très joueur
– Ce n’est rien… mais je vais vous laissez tranquille… j’ai du travail

J’ai pris Marc par la main et nous sommes entrés dans le bureau j’avais envie de le remettre à sa place

– Marc vous êtes un gougeât et n’avez aucune morale

Mes paroles ont du le blesser sérieusement car il a écarteliez les yeux, ma coincé contre mon bureau tout en me saisissant brutalement par les cheveux pour me dire avec une voix inhabituelle.

– Moi je n’ai aucune morale ? Ne vous trompez pas…madame…ce n’est pas moi qui cocufie mon mari depuis des semaines avec le premier des inconnus.
– Ce n’est pas moi qui me laisse baiser par qui le veut bien.
– J’ai cru voir qu’on à pas besoin de vous forcer pour vous la mettre et vous dite que c’est moi qui n’ai pas de morale !

C’est surement la pire des humiliations que l’on m’ait fait subir, je n’en menais pas large et regrettais amèrement mes paroles.

– Nous abusons de vous parce que vous le désirez et je ne perdrais pas mon temps avec une banale salope, les rues en sont pleines.
– je vous ai dit que vous aviez du potentiel, le dressage sera long mais c’est ce qui nous motive mon maître et moi.
– J’espère que c’est la dernière fois que vous me contrariez de la sorte et si un jour je souhaite baiser votre petite vendeuse sous vos yeux, je veux que ce soit vous qui lui présentiez ma queue, est ce bien compris ?
– Oui… c’est compris… je suis…désolée
– Allez bon, nous avons assez perdu de temps et n’en parlons plus

Il lâchât mes cheveux pour venir me caresser la joue, me sourit et me déposa un baisé sur les lèvres.

– Ce soir votre mari va vous annoncer une surprise
– Qu’elle surprise ?
– Si je vous le dit ce ne sera plus une surprise, c’est mon maître qui à tout manigancé pour que votre mari accepte
– Mais… pour qu’il accepte quoi ? Si je ne suis pas au courant… que vais-je dire ?
– Cela fait partie du jeu, vous improviserez dans le bon sens, nous savons que vous savez très bien mentir, pas vrai ?
– Sur ce, je dois vous quitter, à bientôt…

Aussitôt parti, je suis resté là abasourdie par la magistrale claque que je venais de me prendre, ruminant le mélange de colère, de jalousie, de honte et d’humiliation mais aussi et toujours de ce plaisir malsain qui remontait dans mon bas ventre.
Il avait bien raison, personne ne m’a obligé à quoi que ce soit, j’ai toujours été consentante allant même jusqu’à provoquer les choses, j’avais cette perversité ancré en moi et il fallait juste la faire ressortir au grand jour.
Bien plus tard, Marc m’expliquera que toutes les femmes ont ce gêne du plaisir, il faut juste découvrir par quel chemin on peut les y mener, peut importe le temps et les moyens à devoir y consacrer le résultat dépassera toujours vos espérances.

Le reste de la journée sait passé tranquillement, Claire était encore un peu bouleversée et nous n’avons plus osé reparler de Marc jusqu’au soir.
Sur le chemin du retour je cherchais à découvrir quelle pouvait bien être cette fameuse surprise, si toutefois ont pouvait appeler cela une surprise, car connaissant nos deux compères il ne pouvait s’agir que d’un piège de plus.
De toute façon cela devait avoir encore un rapport avec le sexe, que pouvaient-ils me réserver de plus ?
J’allais bientôt en avoir le cœur net car je voyais déjà la maison au bout de la rue.

– Bonsoir chérie, tu as passé une bonne journée ?
– Oui et non, j’ai eu comme un nœud au ventre et je suis anxieuse.
– C’est peut être a cause de ta future semaine de formation
– Quelle… heu…oui c’est surement ça… mais qui te la dit ?
– Et bien tu sais, c’est le patron de Marc qui m’en as averti par téléphone
– Par téléphone ?
– Oui, vu que nous sommes mariés, il ne voulait pas te confirmer sans avoir mon aval
– Ha oui, c’est gentil de sa part
– Sachant que cela est important pour toi, je lui ai donné mon accord et je lui ai garanti que tu ne leurs dira pas non.
– Mais, tu sais une semaine c’est long
– Oui mais tu verras ça passe très vite et puis sa te fera beaucoup de bien, parfois ça fait du bien de se faire prendre en main.
– Oui, tu ne sais pas si bien dire…
– Donc vous partez tous Dimanche prochain, c’est ça ?
– Heu…oui… mais j’attends la confirmation… c’est pour ça… que je ne t’en avais pas parlé, ce n’était pas encore sur.
– Tu voulais me faire la surprise mais tu as été trahie, ils ont été plus rapides
– Ça c’est sur ils sont très rapides.

Maintenant je savais ce qu’ils me réservaient, pendant toute une semaine, nuit et jour et avec l’accord de mon époux j’allais devenir leur soumise attitrée, ces deux pervers étaient vraiment très forts et avaient de la suite dans les idées.
Dans ma situation je ne pouvais même pas me défiler, de toute façon ils n’accepteraient aucune excuse et conservaient les moyens de m’y contraindre alors pourquoi fuir l’inévitable.
Quatre jours me séparaient encore de ma prochaine débauche, jours pendant lesquels je n’ai cessé de penser à ces dernières semaines, à toutes ces jouissances que j’ai découvert grâce à eux, eux mes amants pervers.

Mais je gardais une affection toute particulière pour Marc, car c’est lui qui ma découverte, c’est lui qui m’éduque et me libère de mes tabous et si je forniquais avec d’autres c’est parce qu’il le souhaitait, parce que je voulais lui faisait plaisir.
Ce samedi soir là, je préparais tranquillement ma valise lorsque mon mari est venu me rejoindre dans la chambre.

– Tu veux de l’aide mon amour ?
– Non merci, c’est rapide juste quelques fringues et le tour est joué
– Comment ça quelques fringues, mais je veux que tu sois la plus belle et tu ne prends même pas tes petites robes sexy.
– Mais je ne peux pas… et tu ne seras pas avec moi
– Qu’est ce que ça change ? Là ou pas là, je veux que tu sois belle, sexy et désirable, je veux que tous les hommes bavent sur ton passage
– Tu n’es pas bien, je ne suis pas une…
– Fille facile, mais non et cela n’a rien à voir, fait moi plaisir prend ces jolies robes et ces petits bustiers qui mettent ta belle poitrine en valeur

Au fur et à mesure il me passait les vêtements qu’il sélectionnait

– Tient prend aussi ce maillot de bain, on sait jamais tu pourras peut être te baigner s’il y a une piscine, et ça aussi ces petits strings tous mignons.
– Mais tu n’es pas bien… je vais les montrer à personne alors pourquoi tu veux que j’emmène ça
– Parce que même si personne ne les vois, toi tu sais que tu les portes et ça te rend plus belle et désirable.

Il voulait jouer au petit coquin, je suis donc entrée dans son jeux.

– Mais si je suis trop belle et désirable alors tu prends peut être de gros risques, je serais seule et sans défenses loin, très loin de toi et à la merci de tous ces prédateurs.
– La peur n’évite pas le danger et peut être que je trouve ça excitant, vas savoir ?
– Ne me dit pas que cela t’excite de me savoir ainsi convoitée
– Mon amour tu n’imagine pas à quel point cela m’émoustille
– Et tu n’es pas jaloux ?
– Si bien sur, mais j’ai confiance en toi et je sais que tu m’aime
– Ça c’est sur que je t’aime gros bêta, mais n’empêche on ne sait jamais sur un moment de faiblesse, après tout, je ne suis qu’une femme.
– Tu vois tu fais tout pour taquiner ma jalousie, allez emporte ta plus belle lingerie il faut que tu sois irrésistible.
– D’accord mais c’est toi qui la cherché, je ne porterais aucune responsabilité et ne répondrais de rien s’il arrive quelque chose.
– c’est ça qui est excitant, trêve de plaisanteries une semaine ca passe très vite et cela va nous faire du bien à tous les deux.

La valise était prête, remplie de robes et dessous plus affriolant les uns que les autres et je suis sure que mes amants n’en espéraient pas tant.
La nuit fut courte et mon homme m’a fait l’amour avec un peut plus de fouge que d’habitude, surement l’excitation de mon départ, cela m’a fait du bien de faire l’amour sans être vulgairement baisé, ce n’est pas aussi intense mais c’est aussi très agréable.

Au petit matin et à l’heure convenue un taxi s’est présenté aux pieds de la porte, le temps que le chauffeur range ma valise, nous nous sommes embrassé avec passion comme si je partais pour une éternité mais le temps était compter et le taxi avait des consignes.
Je lui ai fait des signes à travers la lunette arrière jusqu’à que je ne distingue plus sa silhouette et c’est avec le cœur noué que je me suis retournée vers le chauffeur pour lui demander :

– Pouvez vous me dire où vous m’emmenez ?
– Non madame, on m’a juste que c’était une surprise et que vous comprendrez.

a suivre lol