Ekim 12, 2021

pourquoi se priver de dessert

ile admin

Creampie

pourquoi se priver de dessert
J’avais trente ans, déjà mes deux enfants et déjà divorcée. J’étais célibataire et bien occupée entre mon travail et les enfants, très peu d’occasion de sortir et pas non plus vraiment envie.
Une amie Sophie, m’invite à une soirée entre copines. Mon père se propose de venir chez moi pour garder les enfants. Je vais donc à cette soirée.
Nous étions quatre femmes du même âge, toutes célibataires. Je ne connaissais pas les deux autres Cécile et Carine et elles ne se connaissaient pas non plus.
Rapidement dès l’apéro Sophie et Carine s’alcoolisent, alors que nous sommes deux à ne boire qu’un seul verre.
Nous passons à table et l’ambiance est très bonne. Cécile, une petite blonde au large sourire est assise à côté de moi. Son genou vient de temps à autre toucher le mien. Au début, je n’y porte pas vraiment attention, Mais, elle le laisse au contact du mien de plus en plus longtemps et je comprends alors que c’est intentionnel. Je la laisse faire .Je trouve cela mignon. Au bout d’un moment elle vient poser sa main sur mon genou, je suis un peu gênée sur l’instant, mais je ne bouge pas.
Comme nous sommes à table et que pour manger, elle a besoin de ses deux mains, celle posée sur mon genou le quitte pour y revenir, à chaque fois juste un peu plus haut.
Elle est très discrète et les filles en face, bien éméchées, ne remarquent rien. Lorsque sa main atteint le haut de ma cuisse, elle la glisse vers l’intérieur, flirtant avec le rebord de ma culotte .Elle la tire vers elle pour me faire comprendre qu’elle veut que j’écarte les jambes .Elle insistera à plusieurs reprises avant que je le fasse. Je vois bien ou elle veut en venir mais je suis partagée entre désir et retenue.
Lorsque que son doigt vient caresser mon minou de bas en haut en cherchant à dessiner ma fente, je ne suis pas surprise. Ses caresses sont douces et la situation très excitante. Très rapidement, je sens que ma culotte s’humidifie et, lorsqu’ elle s’attarde juste au-dessus de mon clito, je me concentre pour ne rien laisser paraitre, mais mes muscles se contractent et elle le sent bien.
Arrive la fin du repas, je n’ai pas mangé grand-chose. Nous débarrassons la table. Mon amie, Sophie propose que nous fassions un jeu de société, je ne me rappelle plus lequel. Cécile est allée aux toilettes, lorsqu’elle revient chacune a repris sa place à table. Cécile s’assoit et vient poser sa jambe sur la mienne. Elle reprend rapidement ses caresses.
Elle me fait un petit signe de la tête pour que je regarde en direction de son entre-jambe.
C’est une vraie blonde, elle a remonté sa robe et n’a pas de culotte, elle a surement profité de son passage aux toilettes pour l’enlever.
Cécile continuera pendant un long moment passant de mon minou au sien.
Sophie va laisser tomber un dé et c’est Carine qui le ramassera.
Je ne pensais pas qu’elle ait remarquée quoique ce soit !
Mais quelques instant plus tard elle murmurera à l’oreille de Sophie et elles se mettront toutes deux à rirent aux éclats.
Sophie laisse à nouveau tomber un dé, mais nous voyons bien que c’est tout à fait intentionnel. Elle le ramasse et de dessous la table.
« Vous le faites plus ? ».
« De quoi tu parles ».
« Carine vous a vues ».
« Quoi ? »
« Attends ça fait peut être bien deux ans que t’as pas baisé, et tu es assise à côté d’une lesbienne…….. »
Je suis gênée et agacée ne sachant quoi dire, je sors fumer une cigarette. Cécile ne tarde pas à me rejoindre. Elle me pose un gilet sur les épaules.
« Suis désolée c’est moi qui te met dans cette situation, de plus elles ont bu …… ».
« Je n’en veux pas à Sophie, c’est un bonne copine, et le pire c’est qu’elle a raison, cela fait très longtemps qu’on ne m’a pas touchée. Je sais aussi qu’elle souffre du départ de son copain, il y a 8 mois et puis elle n’a rien dit de méchant ».
« Tu as fini ta cigarette, viens rentrons ! ».
Nous rentrons ! Sophie et Carine ne sont plus à table mais sur le canapé, mais ce que nous voyons nous laisse toutes deux pantoises.
Sophie a enlevé son jean, elle est à califourchon sur Carine robe relevée, et elles s’embrassent fougueusement tout en se caressant les fesses.
Elles sont toutes deux une peu rondes, des formes généreuses, de gros seins fermes. Carine passe ses mains sous la culotte de Sophie et les masse fermement alors que Sophie se tortille frottant son sexe sur le ventre de sa copine. C’est comme si nous n’étions pas là.
Cécile : »et nous ? »
« Je ne sais pas ! »
« Tu n’as pas aimé tout à l’heure ».
« Si ! Mais … » Pas le temps de finir que Cécile est à mes pieds et baisse ma culotte. Je lève un pied puis l’autre. Elle porte ma culotte à son nez, la respire.
« J’adore ton parfum ! ».
Elle se place en face de moi, pose une main sur mon sein et l’autre entre mes jambes et me caresse ! Sa main à plat, un doigt entre mes lèvres. Je me laisse faire sans la toucher, alors elle prend ma main et vient la placer en haut de son ventre, la fait descendre sur son minou. Je me mets moi aussi à la caresser, d’abord timidement puis comme elle le fait avec moi de façon plus précise et plus appuyée.
Sophie « Vous êtes la ! Allez venez « dit-elle tout en titubant, se dirigeant vers la chambre. Carine la suit, en ôtant le reste de ses vêtements.
Cécile me prend par la main « viens ».
Sophie et allongée sur le dos les bras en l’air les jambes écartées, jamais je n’aurais pensée voir mon amie dans cette position.
En s’adressant à Carine : »Baise moi ma grosse avant que ça cicatrise». Carine est prise d’un fou rire communicatif. Je dois reconnaitre que la scène est cocasse et qu’elles sont toutes deux vraiment drôles. Carine se laisse littéralement tomber sur Sophie et en appui sur ses bras tendus simule un coït tout en tirant la langue et en haletant.
Sophie » Mais t’as pas de bite ma grosse «. Carine se redresse sur ses genoux, regarde son entre jambe « Ha ! Oui c’est vrai » nouveau fou rire général. Elles vont de nouveau s’embrasser et rapidement finir par s’endormir l’une sur l’autre, complétement saoules.
Nous étions toutes deux-là à la porte de la chambre, pendant que nous les regardions, Cécile me caressait les fesses et sans vraiment m’en rendre compte je caressais les siennes.
“Elles vont avoir froid comme cela ” Cécile les recouvre avec la couette au pied du lit, éteint la lumière et referme la porte.
“Nous sommes seules maintenant et je ne pense pas que nous soyons dérangée ” me dit-elle en souriant. Je vois l’heure à la pendule du salon, 2h35 !
“Il va falloir que je rentre”
“Ha non ! Tu peux pas me faire ça, j’ai trop envie de toi, maintenant” tout en passant derrière moi. Elle déboutonne le haut de ma robe puis dégrafe mon soutien-gorge. Elle me caresse le ventre d’une main l’autre me massant les seins, tout en m’embrassant dans la nuque. Elle fait glisser ma robe. Je me retrouve nue.
“allonge toi” je m’allonge sur le canapé, laissant un pied au sol. Elle finit de se dévêtir devant moi. Elle est petite, très athlétique, des petits seins fermes aux mamelons rose clair, des hanches larges accentuées par une taille toute fine, des cuisses musclées et un pubis recouvert d’un joli duvet blond. Elle se glisse entre mes jambes vient contre moi et m’embrasse tout en me caressant les seins

Elle m’embrasse comme jamais personne ne la fait, tournant sa langue autour de la mienne, léchant mes lèvres, mes dents. Ses caresses sur mes seins sont douces, je me laisse complétement aller et gémit de plaisir, oubliant tout. Mes mains parcourent ses fesses rebondies, elle gémit elle aussi en frottant son pubis sur mon ventre. Nos corps se cherchent dans un mouvement lent mais permanent. Elle descend sa bouche sur mes seins et je bombe le torse pour l’accompagner, elle embrasse, lèche et suce chaqu’un de mes tétons dressés, ses mains sur mes hanches. Sa bouche descend sur mon ventre, petit à petit elle se rapproche de mon sexe. Mon désir grandit, j’en tremble. Elle se redresse, se met à genoux devant le canapé et me fait comprendre de me glisser vers le rebord pour lui offrir ma chatte .Je le fais sans pudeur aucune. Elle me caresse lentement l’intérieur des cuisses que j’écarte plus largement, puis passe ses doigts dans ma toison brune. Elle se rapproche doucement de ma fente ouverte, sans la toucher. Je sens couler mon plaisir le long de la raie de mes fesses. Elle laisse monter mon désir, son regard ne quitte pas mon entre jambe. Lorsqu’ elle pose sa main à plat sur ma chatte, je ne retiens pas un gémissement plus audible, jamais je n’ai été aussi excitée. Sans que je ne commande quoique ce soit, je me cambre. Sa main ne bouge pas, en fait, c’est moi qui caresse l’intérieur de sa main avec ma chatte et mes mouvements du bassin.
Elle pose à présent ses mains en haut de mes cuisses, ses pouces me caressent l’extérieur des grandes lèvres. Lorsque je sens le contact de sa bouche sur ma vulve, une chaleur envahie mon ventre. Elle me lèche, m’aspire, me suce, de sa bouche de sa langue. Avec deux doigts elle fait ressortir mon clito de la gaine qui le protège en appuyant de chaque côté et lorsqu’ elle y dépose un petit bisou, j’ai l’impression que j’explose de plaisir. Elle va continuer ses caresses buccales en prenant soin de faire durer pour que je ne parte pas trop vite. C’est extraordinaire, jamais cela n’a été aussi bon, aussi doux. Elle sait que maintenant je suis tout à elle, qu’elle peut me faire, me demander n’importe quoi pourvu qu’elle continue. C’est la première fois qu’une femme me fait l’amour.
Elle se relève « Attends, j’arrive « Elle revient de la salle de bain avec une grande serviette, l’étend à même le plancher et me dit de m’allonger sur le dos. Elle récupère dans le frigo une coupe de mousse en chocolat, reste du dessert. Elle plombe ses doigts dans la coupe et m’en badigeonne copieusement le minou, puis fait de même avec le sien !
« On y a à peine gouté à ce dessert, c’est dommage »
Elle s’installe au-dessus de moi, colle sa chatte à ma bouche et commence à me lécher goulument. C’est la première fois que je fais ça, je veux dire lécher une chatte et c’est pour manger un dessert. Je m’applique autant qu’elle le fait elle-même, léchant chaque pli de ses lèvres, chaque petit recoin de son minou jusqu’à son petit trou, dont les plis forment une étoile rose.
C’est moi qui la première, dans l’action, la pénètrera d’un doigt puis de deux, son vagin est rempli de nectar au gout de chocolat salé , je le bois mais le sens aussi couler sur mes joues. Elle se redresse légèrement et me pénètre à son tour.
De son autre main elle vient me caresser le clito, d’abord doucement et de plus en plus rapidement. Je la doigte de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Je sens les muscles de son vagin se contracter au moment au mon plaisir atteint son paroxysme. Je jouis la première, mais elle ne tarde à me suivre. Nous vibrons toutes deux, collées l’une à l’autre.
Nous avons la moitié du visage couvert de chocolat et de mouille et de salive mélangées.
Après avoir pris une douche ensemble, nous avons papoté tout en nous caressant tendrement. Je rentrerais à l’aube, fatiguée mais heureuse.
Sophie m’appellera le soir même, pour s’excuser, elle et Carine ont trop bu, elles ne se rappellent pas de la fin de la soirée. Je lui dirais « tu n’as pas à t’excuser, j’ai passé une excellente soirée, me suis beaucoup amusée, et oui je voulais te dire aussi ta mousse au chocolat était un délice Cécile et moi nous sommes régalées.
« Merci vous êtes gentilles, Cécile m a félicitée, elle aussi pour ma mousse au chocolat »