La chercheuse ( septième partie )
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La chercheuse ( septième partie )
Sexe et monstres
-Quoi! S’étonna Odile. Tu te moque de moi! Un cirque de monstre! Je sais qu’il en existe mais… Sérieusement tu tes retrouver.. enfin je veut dire, on t’exposait a cause de ton pénis! C’est horrible de faire sa!
-Pas du tout. Affirma Judith avec son sourie craquant. Je me suis fait embaucher entant qu’homme a tout faire pour aider a monter et démonter le camp et pour faire plein d’autre choses. J’avais voler des vêtement d’hommes et je ne rechignait pas a travailler durement pour me ramasser un peut d’argent.
-Et sa prit combien de temps avant que quelqu’un ne voit tes seins cette fois?
-Trois jours si ma mémoire est bonne! Je suis tomber amoureuse du propriétaire un beau grand gitan au yeux ténébreux et au long cheveux noir, alors je me suis dévoiler a lui un soir tandis qu’il s’occupait de ma cheville y appliquant une baume. Assise dans sa roulotte, mon pieds poser sur sa cuisse, la jambe de pantalon remonter au genoux il as caresser mon mollet en disant; si sa ses des jambes de garçon mon gars, je veut bien être pendu! Alors j’ai soulever ma chemise et mes bandelette il a lisser les yeux en voyant ma poitrine et j’ai agripper mon entre-jambe en disant.
-Et j’ai une bite au lieux d’un con, mais ne t’imagine pas que tu vas m’exhiber comme tes monstres, si tu essais je prend ton épée et je t’embroche avec. Il a sourit avant de dire.
-Premièrement se ne sont pas des monstres mais des êtres humains différent ces tout, comme toi. Si j’ai appeler ce cirque le cirque des montre ses seulement pour attirer la foule. Deuxièmement, demoiselle, je vous trouve fort joli et beaucoup trop désirable pour partager la vue d’un si beau corps avec tout le pays et troisièmement je n’oblige personne a s’exposer, je leur offre du travail, il accepte ou refuse et on partage les profits!
-Pas besoins de te dire Odile que je n’ai pas trop résister quand il a commencer a me donner de doux baiser sur, les pieds, les mollets et.., bien plus haut! Il ma aimer comme j’étais, habituer au curiosité de la nature qu’il exposaient et moi j’en était folle. Il respectait tout ceux qui travaillaient pour lui, et voulait que se soit pareille pour tout le monde et il y veillait. Ces pauvres être rejeter par leur familles et leur village et laisser a eux même, il les accueillaient, il leur procurait du travail et au moins il survivait honnêtement sans avoir a quêter leur pitance dans les rues. Je ne dit pas que c’était un mode de vie idéal mais vue leur condition…
-Et qu’as tu apprise la bas?
-Premièrement a ne pas se fier juste a l’apparence pour juger les gens, vivres au quotidien avec des personnes difformes de naissance, handicaper etc… ma donner une grande leçon d’humanités et m’as aider grandement a m’accepter tel que j’étais. Moi, mon handicap ou ma différence si tu préfère est cacher, mais quand on a une troisième jambe ou un frère siamois qui vous sort du ventre, ou qu’on as le corps recouvert de poil noir comme un ours et j’en passe, sa ces difficile a accepter et surtout de vivre avec. J’adorais discuter avec eux, écouter leur histoire parfois drôle a se tordre de rire ou triste a en pleurer mais sa leur faisait du bien d’avoir une oreille attentive. Ils formait une groupe souder se protégeant les un les autres et vue que j’étais comme eux ils m’ont accepter tout de suite et puis mon gitant aussi avait son handicap voilà pourquoi ils traitaient bien touts ses gens. Il les comprenait mieux que personne!
-Le quelle?
Judith sourit malicieuse en se versant du vin.
-Allons, cesses de me faire languir coquine! Fit Odile!
Elle but en prenant son temps faisant encore soupirer Odile!
-Il était semblable a moi! Lâcha t-elle finalement.
-Non! Lui aussi était une fille avec un pénis?
-Pas vraiment une fille ni vraiment un homme, il avait en plus d’un beau pénis et d’une belle grosses paire de couilles un vagin juste en dessous.
-Androgyne?
-Oui,et les deux sexe étaient parfaitement fonctionnel, son pénis éjaculait, il avait aussi des seins plus petit que les miens et mignons comme tout, son corps était très enivrant.
-Alors la, lâcha Odile, vos nuits devait être torride!
-Plutôt et pas juste nos nuit. En fait ils pratiquaient ce qu’il appelait l’amour libre. Il y avait d’autre couple au cirque, mais personne ne s’offusquait si l’un ou l’autre baisait avec d’autre. Tout le monde baisait un peut avec tout le monde sans oublier personne. A ce cirque il n’y avait pas de place pour la jalousie et j’ai dut m’y faire et sa na pas trainer quant j’ai surprit mon gitant a baiser une naine sous une grande tente un soir tandis que la foule s’exclamait du spectacle que leur offrait les autres sous le chapiteaux principal juste a côté. Tandis qu’il la besognait elle, elle suçait son mari, un nain aussi pendant que l’homme a trois jambe masturbait ses deux sexe en les regardant. Tous étaient nue et crois moi quand je dit que j’ai vécue de drôle d’expérience dans ce cirque! C’est la que j’ai découverte le plaisir de baiser a trois, a quatre ou en groupe!
-Trois jambes et deux bite,? Et ta baiser avec lui?
-Absolument! J’étais un peut déçut de voir mon nouvel amoureux fourrer la petite dame mais en même temps je l’enviait. Elle avait de belle rondeur et en voyant les deux bites de l’autre j’ai saliver et lui était maintenant tout éxiter de me voir alors je me suis déshabiller et agenouiller devant lui. Il ma laisser prendre ses deux pénis recourber, mains sur les hanche bien appuyer sur ses trois jambes. Je les et embrasser, sucer, lécher jusqu’à ce qu’une autre naine vienne m’aider après s’être dévêtu, restant debout pour sucer une bite, moi a genoux m’occupant de l’autre. Elle aussi avait de jolie rondeur et beau cul bien bomber. Mains sur nos tête Adréas, l’homme a trois jambes a d’abord décharger dans la bouche de la naine qui a tout avaler, puis dans la mienne abondamment puis nous a remercier et ses rhabiller pour aller se montrer en spectacle. Ensuite Lilia, la naine ma regarder la bite bander dur en s’essuyant la bouche avec sa petite main potelet en me disant soulevant ses gros seins.
-Cela te tente ma grande?
Je me suis jeter sur elle folle de désir l’étendant dans la paille, je l’ai pénétrer doucement puis je l’ai baiser en grognant tandis quelle me suçait les tétons jambes en l’air. Ce visage de femme mure prenant son plaisir et se corps d’enfant était un mélange troublant et surtout très bandant.
Les trois autres avait terminer et nous regardaient en se rhabillant les yeux brillant. J’ai découvert également cette fois la qu’il était aussi très éxitant de se faire regarder entrain de copuler.
-C’est pas croyable, lâcha Odile les yeux petit, j’aimerais bien d’autre détails croustillants!
Judith fit encore entendre son rire franc si magnifique.
-Bien… Comme être debout sous un ciel étoilé derrière une tente remplie de spectateur et être entrain de sucer un géant qui ne l’avait pas si grosses mais longue quasiment comme mon bras et qui déchargeait comme un cheval! Ou une diseuse de bonne aventure qui avait trois seins ce qui lui faisait un sacré décolleté a couvrir de baiser. Une autre avait deux vagin, le deuxième étant juste sous le nombril et aussi chaud, humide et accueillant que l’autre. Parfois moi et mon gitant en la prenait ensemble tandis qu’un nain me prenait par le cul et qu’un autre me la mettait dans la bouche. IL y avait aussi cette femme immense qui pesait bien 350 lbs, fort jolie et rieuse. S’étendre sur elle c’était une sacré expérience croît moi avec ses seins gigantesque si doux et son cul fabuleux. Sans parler de l’homme illustrer, tattouer sur tout le corps même la bite et les couille, l’hercule, la femme squelette tout en os et j’en passe.
-Doux Jésus, murmura Odile.
-Il n’était pas rare de faire des orgies, surtout sur la route en forêt loin des villages, le soir au près du feux, on baisait tous ensemble après avoir festoyer et c’était fabuleux. L’air de la nuit s’emplissait de douce lamentation, de soupir de cris de jouissance. Un des conducteur de chariot avait aussi deux bite, il pouvait prendre une femme par le con et le cul en même temps et jouir par les deux. Imagine touts ses gens, nu, dans une grande mêlé la nuit autour d’un feux, c’était dément et fantastique!
-Et bien, fit Odile rêveuse, j’aurais bien aimer être la, surtout pour celui qui en avait deux. Mais on parlais d’érudition et tu me parle juste de sexe et de monstres, appelons les comme sa, même si je n’aime pas dire sa.
-Mon gitan pratiquait l’art de l’illusion. Il avait un numéro qui stupéfiait les gens et même moi, qui pourtant l’assistait et connaissait la plus part de ses tours. Il avait énormément de traiter sur le sujets, de parchemins et d’ouvrages relier, surtout en arabe et ses la que j’ai apprise cette langue très riche et je l’aidait a en dénicher d’autre quant on traversait une grande ville et comme je savait lire et écrire le latin et un peut le grec ancien, je l’aidait énormément. Ce que j’avait apprise au monastaire l’aidait énotmément. C’est avec lui que j’ai commencer a apprendre le métier qui allait devenir le miens, chercher et trouver de ouvrages de tout genre, mais sa je ne le savait pas encore.
-Assistante d’un illusionniste, voilà autre chose! Fit Odile. Cela a durer longtemps avec ton gitan ou gitane je ne sait trop?
-Deux année, enfin presque jusqu’à ce que l’on entre dans Paris attirant les foules et que je rencontre un homme fabuleux un soir, celui qui a bouleversé ma vie. Un homme d’une grande beauté, un érudit très charismatique sombre et mystérieux que j’ai aimé des que j’ai vue ses yeux noir et pétillant d’intelligence se poser sur moi.
-Ahhh, sa, on en as presque toutes un comme ça qui nous a marquer plus que les autres, je le connait!
-Oui!
-Et quelle est cet homme si extraordinaire?
-Celui avec qui tu aimerais bien baiser demain matin!
-Ton cocher! S’exclama Odile totalement surprise, comprenant enfin bien des choses mais pas tout. Pourquoi un homme aussi extraordinaire était t-il maintenant son serviteur, se demanda t-elle.
-Oui, mon cocher! Mais sa ses une trop longue histoire Madame la curieuse et j’ai mal a la gorge de trop parler.
-Et la langue sa vas? Fit Odile malicieuse en s’étendant sur le dos ayant une vue imprenable sur sa bibliothèque, jambe écarter, talon poser sur la table en se prenant les seins. C’est la que je vais voir si tu est une femme de parole la chercheuse. Et elle amena ses mamelons a sa bouche pour se les tété.
Judith cala sa coupe, la posa près du codex et alla se placer entre les jambes d’Odile se sentant un peut soule ce qui la rendait très vicieuse habituellement.