Les vigiles
Les vigiles
Comme souvent, quand je m’ennuie, je n’ai qu’une idée en tête, c’est d’aller faire du shopping ou me faire baiser. Cette fois, mon périple s’est fini dans des conditions très particulières. Ce vendredi, le temps est maussade, l’automne prend place et les températures chutes. Terminé les petite tenue affriolantes.
je décide donc d’aller faire du shooping au chaud dans les galeries marchandes. J’entre dans une boutique de bijoux fantaisies. Mon attention est particulièrement portée sur un ensemble, bague, collier, bracelet et boucles d’oreilles. Alors que je passe à la caisse, je suis intercepté par un grand noir. C’est le vigile de la galerie.
« Voulez-vous bien me suivre madame ? » Me dit-il d’une voix grave qui me fait frissonner.
Je le regarde surprise et lui dis :
« Mais que se passe-t-il ? J’ai rien volé ! »
Pour seule réponse, il me répond :
« Ouvrez votre sac et présentez-moi vos tickets de caisses ! »
Devant tout le monde, c’est plutôt humiliant d’autant qu’avant les bijoux, j’ai acheté de la lingerie sexy pour affûter mon mari le soir même. Mais rougissante et de bonne grâce, je le suis dans son bureau. Il prend mon sac et le vide sur la table. Je m’insurge :
« Mais vous n’avez pas le droit ! »
Il me regarde tout sourire en me répondant :
« J’ai tout les droit ici ! »
Il s’attarde sur ma lingerie fine en disant :
« Et bien vous n’allez pas vous ennuyer avec ça ! »
Je ne sais plus quoi dire, j’ai le souffle coupé et sens la chaleur empourprer mon visage. En faisant tourner un string au bout de son doigt, il me lance :
« Je ne vois pas de ticket pour cet article ? Vous êtes certaine que vous ne cachez rien d’autre sur vous ? Je vais être obligé d’appeler la police ! »
Je deviens rouge écarlate et je me sens très mal à l’aise. Je tente de lui expliquer :
« J’ai tout acheté Monsieur ! Je vous jure ! Le ticket de catisse a du s’égarer ! »
Je sais que je n’ai rien volé et c’est très humiliant de le voir farfouiller dans mes lingeries intimes.
« Je dois vérifier si vous n’avez rien volé sur vous ! » Me répond le type en me regardant avec un petit sourire en coin.
En l’écoutant je suis terrorisée et mes jambes ont du mal à me porter. Je tente de reprendre la main sur ce vicieux.
« Vous savez que vous ne pouvez me fouiller ! J’exige de l’être que par une femme et hors de votre présence ! »
Il se met à éclater de rire en me disant :
« Parce-que tu crois être en droit d’exiger quoi que ce soit ? A poil salope ! »
Je sursaute par ce changement de ton. Ne bougeant pas, il me retourne et me dit :
« puisque tu n’obéis pas, je vais le faire moi-même ! »
Il se place derrière moi et commence à me palper les épaules et passe rapidement à une palpation de mes seins. Je pousse un cri mais il continue à me tripoter sans ménagement.
« Ne vous gênez pas surtout ! Vous allez voir ! Vous entendrez parler de moi !» Lui dis-je sur un ton agressif.
Il n’en a que faire et passe ses mains sur mes jambes en remontant vers ma culotte. Malgré la situation plus qu’humiliante j’ai mouillé mon sting et il empoigne ma chatte en me lançant :
« Mais c’est qu’elle mouille la grosse bourge ! »
A ce moment un collègue du black entre dans la piéce. Le black lui dit :
« Tu tombe bien ! J’ai un peu de mal avec cette salope récalcitrante ! »
Il se baisse et passe sa main entre mes cuisses en suivant ma fente. Il sort sa queue et d’un seul coup entre dans ma chatte gluante. A ce contact, je sursaute et me prend une claque sur les fesses. Même si la situation est franchement déplaisante, ma chatte dégouline.
L’autre me demande de le sucer. Il est encore plus gros que celui qui m’enfile. C’est très fort. Je suis à deux doigts de jouir. Puis, il s’allonge sur le sol et me dit :
« Empale toi sur ma queue putain ! »
J’ai honte mais j’obéis. Dans la position où je me trouve, il peut à loisir contempler mon anus et ma chatte qui s’ouvrent au fur et à mesure que je descends pour m’empaler sur son vit. A ce moment, je sens l’autre appuyer son son gland sur mon anus et pousser fermement. Je pousse un cri quand son gland passe la frontière de mon anus.
Je n’en peux plus. Je hurle de douleur et de plaisir. Je me faispénétrer les deux orifices par deux inconnus en même temps.
« Salope ! Toi t’e une chaudasse de bourge ! »
Après m’être faite littéralement labourer, je sens celui qui me sodomise qui se crispe. Il se retire brusquement et éjacule sur mon visage et sur mes seins. En me regardant dans les yeux il me traite de salope.
L’autre se libéra dans ma chatte et m’asperge le cul. Je suis anéantie et honteuse d’avoir pris autant de plaisir sous les coups de bites de ces deux salops. Les vigiles me disent :
« Rhabille-toi la bourge et file ! Pour cette foi on n’appelle pas les flics ! »
Je m’enfuie souillée de sperme. Une fois chez moi je prends une douche et je repense aux événement qui viennent de se passer. Je ne vais plus osé entrer dans cette galerie. J’ai honte d’avoir acceptée ce chantage et d’en avoir tant joui en étant contrainte d’accepter..